MiCA38 28 septembre 2020 à 06:02

Bien sûr c'était une grande dame de la chanson. Mais...

 le côté sophistiqué et sur-joué de ses interprétations me hérissent au plus haut point. 

Tout est beaucoup trop calculé. Il me manque de la spontanéité et du naturel.

Ervé 26 septembre 2020 à 10:02

Laurence Lacour sur Facebook :

T'es toute nue sous ton pull...

Déshabillez-moi...

C'est bien le jour de partir Madame !!! 

Ervé 25 septembre 2020 à 22:43

Entendu il y a quelques minutes  sur France 3, dans une émission consacrée à Gréco, un extrait de son interprétation de la Chanson des Vieux Amants de Brel. Inécoutable. Un massacre.

Oblivion 25 septembre 2020 à 20:34

C’est tout mignooooon : je me désolais de ne pas connaître, apprécier, de cen’estpasmagénérationner Juliette Gréco. Puis, soudain, alors que je prononçais les mots « comme un petit poisson », les méandres de mes neurones ont mis la ritournelle-hommage dans ma tête. :)

Pierre38330 24 septembre 2020 à 20:21

Bon.

Le soir tombe et l'émotion s'apaise.

Je peux donc féliciter une fois encore le lider maximo pour sa magie des titres.

Quand je l'ai lu ce matin je n'ai pu m'empêcher de penser à ceci.

Parce que Gréco, elle n'est pas arrivée. Elle est partie.

H M-G 24 septembre 2020 à 18:58

Pourquoi les radios attendent-elles toujours que les artistes de langue française, telle cette grande dame, soient morts pour passer leurs chansons sur les ondes... ?

permanent waves 24 septembre 2020 à 13:31

une bonne nouvelle en chasse une mauvaise :

la cour d'appel de Paris, a rejeté ce jeudi l'essentiel des recours déposés par le camp de Nicolas Sarkozy qui contestait l'enquête sur des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007

anne.raymon-222203 anne.raymon 24 septembre 2020 à 13:00

Quel beau texte!

isaton 24 septembre 2020 à 12:22

Oui, je me souviens d’un soir à la télévision. Je ne sais plus si nous étions encore dans les années soixante-dix, ou dans celle des quatre-vingt naissantes. Mais, tout d’un coup, je recevais en plein cœur, assis sur le canapé familial, le J’arrive de Brel que Greco chantait. Elle avait traversée l’écran. Magistrale dame.

Guy Leboutte 24 septembre 2020 à 11:53

Bonjour,

C'est étonnant comme les avis peuvent varier. "La rose et le réséda" est une merveille, mais chantée par Juliette Greco, pour moi ça ne passe pas du tout: je trouve qu'elle en fait des tonnes et qu'elle sert plus sa caricature que le poème. Trop, c'est trop. Comparez avec la version de Lavilliers, et peut-être serai-je compris.

pompastel 24 septembre 2020 à 11:06

Ah, ce genre de chronique qui entr'ouvre une porte sur l'intime sensibilité de l'auteur tout autant qu'elle rend hommage : quel talent !

Tichonchon 24 septembre 2020 à 11:00

C'est tout le 20ème siècle qui se barre  et les fans de Juliette en prennent un coup  sur le cœur.. J'étais allée la voir à l'Olympia, j'en ai un souvenir impérissable comme  d'ailleurs celui de Léo Ferré, au Dejazet, lors de sa dernière apparition. Juste un "rayon de lune" du projecteur sur leur visage, ça suffisait pour partir en voyage dans leurs chansons.  Il y a tous les disques vinyl , cassettes et CDs qui nous restent,.. La technologie dans ces cas là a du bon. !!!

Francesca 24 septembre 2020 à 10:58

MERCI pour ce rappel du "J'arrive", bouleversant...

DéLecteurdeVraiThé 24 septembre 2020 à 10:56

Je viens deux lire deux rubriques en hommage à Juliette Gréco, dont l'une dans le New York Times

et j'y ai trouvé ces mots de Sartre qui me paraissent étonnamment si exacts pour quelqu'un qui n'était pas poète :

"Gréco a un million de poèmes dans sa voix"

Youri Llygotme 24 septembre 2020 à 10:35

Très bel hommage à la grande Juliette. Avec sa disparition c'est tout une période, celle de l'après-guerre, qui trouve un point final.

Quant au grand Jacques, à part Amsterdam, je ne peux pas, ne veux pas l'entendre. Il me terrasse, me déprime pour le restant de la journée. Même si c' est sublime.

Gerard RENAUD 24 septembre 2020 à 10:32

Superbe billet. Merci DS , et un au revoir à l'une des plus grande interprête du 20 ème siècle....

DéLecteurdeVraiThé 24 septembre 2020 à 10:24

Merci

l'hommage est là

on continuera à l'écouter

comme Barbara

avec cette qualité sonore qui fait qu'on les sait toujours là

Merci

Billvn 24 septembre 2020 à 10:24

Sur Brel, Brassens il faut voir le film fait sur la rencontre  Brel, Brassens, Ferré (Trois hommes sur la photo https://www.youtube.com/watch?v=sAgjH72Pu9Y ) et voir comment Juliette G parle d'eux, en riant aux éclats (vers 38'). Magique ! Salut, Madame !

permanent waves 24 septembre 2020 à 09:45

C'est un très beau billet, qui donne envie d'écouter les titres auxquels vous faîtes allusion; et les autres ...

Cible atteinte

Merci

Cultive ton jardin 24 septembre 2020 à 09:39

Merci Juliette. Femme libre.