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  • Tichonchon 24 février 2020 à 11:44

    Les épithètes contre les "communautés"  ne sont qu'une énième fois la répétition de "l'assomption" de Celui  qui pense  avoir l'Autorité, le Pouvoir, que dis-je, la Vérité suprême, unique,  contre tous ces autres "mécréants" qui semblent  la détenir aussi !! Devrait-il n'y en avoir qu'un seul qui "détiendrait l'Ultime Vérité ?  (laquelle ?) alors,  les juifs, les jansénistes, les jésuites, les protestants divers, les anglicans, les bouddhistes, les hindouistes, les témoins de Jéhovah, et j'en passe..??... Mais ne  sommes-nous pas  des laïques en France...avant tout ?  Quelle fumet..!!

  • R Beaumont 22 février 2020 à 19:23

    Pourquoi ridiculiser les personnes inquiètes de l'islam politique ? Zineb est ridiculisée lorsqu'elle pose pour son éditeur mais sa prestation au Sénat n'est pas évoqué, pas un mot sur l'Enquête de Rougier mais quelques phrases qui leu place en agent de Macron. Pourquoi ? Pourquoi pas d'émission sur le sujet ? 

  • R Beaumont 22 février 2020 à 19:19

    Toujours ce ton moqueur concernant les journalistes qui tentent d'alerter sur le travail d'un Islam politique, comme celui des frères musulmans, pourtant jamais d'émission ni d'analyse sur cette question❓ Je suis estomaqué d'en arriver à douter du chef d'ASI. Y aurait il une raison personnelle qui rende difficile de réfléchir à ce sujet ? D'inviter l'auteur de Taqqyia et l'un des responsables ou ex de l'UOIF? 

  • smurf 22 février 2020 à 13:30

    Ce qu'illustre cet article, c'est surtout le suivisme des médias par rapport à l'agenda présidentile/gouvernemental, quitte parfois à donner la parole aux personnes qui critiquent la position du gouvernement mais toujours sur le sujet choisi par le gouvernement. Alors qu'il y a tant d'autres sujets qui pourraient être évoqués.

    Quand on regarde la télé, c'est particulièrement frappant car on va avoir pendant quelques semaines les mêms sujets, les mêmes débats dans toutes les émissions sur toutes les chaînes, ce qui provoque d'ailleurs un sentiment de trop plein, de déjà-vu.

    Au tout début de feu "Ce soir ou jamais" de Frédéric Taddéi (quand l'émission était quotidienne), il y était souvent abordé des sujets divers et pas forcément le sujet dans l'air du temps. Cela s'est gâté quand l'émission est devenue hebdomadaire.


    On parle du "séparatisme", pourquoi pas? C'est un sujet qui peut avoir son importance mais pourquoi juste quand Macron en parle.



    Ce "suivisme" explique le désarroi des médias et des politiques au moment des gilets jaunes. Comment ? Un mouvement spontané, des idées qui arrivent toutes seules sans plan de communication bien rôdé : la fracture territoriale, l'inégalité face à l'écologie, le RIC...

  • Tichonchon 20 février 2020 à 15:32

    A quand les  "Macronnades" contre les "séparatistes", comme on parlait des Dragonnades de Louis XIV contre les "séparatistes" protestants  ?? L'Histoire, c'est comme les rages de dents, ça revient si on ne prend pas garde à ce qu'on mâche tous les jours !!

  • Pates Fraiches 20 février 2020 à 12:46

    France5 puisque tel est le sujet de la chronique n'est pas un territoire conquis de E Macron mais certains espaces sont très probablement victimes de .... séparatisme : C est dans l'air, C à vous, C politique, C l'hebdo,  notamment.


    Ces émissions à l'origine plutôt bien construites ont dérivé vers le soutien à la propagande. 


    Déjà avec Y Calvi à la manoeuvre, on pouvait noter que les invités (parité homme femme totalement absente, au passage, ASI l'avait remarqué) qui ne cadraient pas avec la doxa du moment étaient moqués, 


    Dans C L hebdo, il semble que l'animateur n'ait pas la qualité (ou la volonté) de se placer en terrain neutre pour faire émerger des points de vue. Il prend part à la "mise à mort" de l'invité avec l'aide de ses chroniqueurs, voire des autres invités (juste à titre d'exemple, voir comment M Pinçon Charlot a été empêchée de dérouler ses analyses, mais c'est le cas à chaque fois.) En fait, le but n'est pas d'aider le spectateur à se faire une opinion,  il s'agit de rendre l'invité ridicule pour que ce dernier adhère à la thèse des animateurs/invités/chroniqueurs (c'est du même niveau que P Praud sur une chaine d'info en continu.)


    Dans C dans l'air, la plupart du temps, les "experts" ne sont jamais en désaccord (donc aucun éclairage sérieux n'est proposé au spectateur?), mieux ils apparaissent quel que soit le sujet: capables de disserter Coronavirus, Syrie, finance mondiale, .... et pérorent avec le même aplomb, superficiel pour la plupart (on dirait que l'éternel C Barbier a disparu depuis ses dernières bourdes.)  Heureusement, certaines nouveaux venus de l'OCDE ou d'autres organismes réputés représentent l'exception qui confirme la règle.


    Dans C est à vous, on sert la soupe (voir au hasard Cecilia S qui vient essayer de lancer la carrière politique de son fils qu'elle a eu avec Nicolas S.)


    J'ai fini par arrêter de regarder d'un oeil de plus en plus distrait  ces émissions. J'avais basculé sur Arte (28 minutes, E Quin) mais avec ce que nous avons appris sur la présence d'une chroniqueuse consultante présentant des points de vue vraiment discutables sans que ses engagements politiques qui les soutenaient aient été mentionnés par l'animatrice, m'a fait douter de la qualité de la démarche.


    Ca me rappelle La Grande Librairie avec l'animateur qui invite sa compagne en la vouvoyant et sans le dire (pensant que ca ne se verrait pas?!!!).


    Que faire? Reste plus que Taddei? 

  • Olivier 20 février 2020 à 08:24

    A Francfort, le séparatisme des possesseurs de fusil de chasse.

  • Nastasia 20 février 2020 à 02:57

    C dans l'air serait egalement a analyser. Par exemple leur emission sur le cafouillage des elctions des democrates. Ils ont parle de tout les candidats (surtout boolmberg qui ne s'etaient meme pas présenté) et surtout du butitjej(je sais plus son orthographe pardon) pour dkre qu'il etait formidable, ou warren pour dire qu'elle avait bien perdue comme une merde, mais ils ont tout simplement contourné le sujet sanders. Alors que ici aux usa c'est un phénomène hein (j'y vis). Ils ne sont pas bourrins genre c un fou mais tout simplement ils evitent le sijet. Non-event. RAS. Verifiez le temps de parole sur chaque candidat c'est spectaculaire.

  • didiergiroux-171124 didiergiroux 19 février 2020 à 18:52

    il est curieux ( en fait pas tant que ça) que sur France 2 (je ne sais pas pour BFM télé) que le journal de ce mercredi midi n'ait fait aucun commentaire, aucun reportage sur la remise en liberté de Pavlenski.. Ces chaînes nous ont rebattu les oreilles sur le retrait de Griveaux, en ont parlé à longueur d'antenne ; et là pas un mot pour nous faire part de cette libération? Pas une interview de Pavlenski, et de son ex-avocat Juan Branco.. les feux de l'actualité se braquent sur les protagonistes dès que cela va dans le sens du pouvoir, mais dès qu'il est pris à contre-pied( le  principal lui-même en étant le premier surpris) c'est silence radio et télé ! manipulation??  j'ai envoyé un mot à Sophia Aram concernant sa chronique de lundi matin ; elle s'en est pris aux représentants des Gilets Jaunes.. sur un ton méprisant et arrogant... décidément le respect n'est pas la marque de fabrique de la macronie ou de ses supporters...


  • Carnéade le Fataliste 19 février 2020 à 16:46

    Par curiosité j'ai fait une petite recherche sur l'apparition* de "séparatisme islamiste" dans le débat public français, histoire de voir quels glands esprits se rencontrent. 


    Pas trouvé de politique employant directement cette formule avant Macron et Sibeth Ndaye (je parie qu'ils ont vérifié qu'aucun(e) Lepen ne l'avait sortie). L'occurrence précédente la plus citée est l'Appel de 100 "intellectuels" contre le séparatisme islamiste publié par Le Figaro en 2018 (signé entre autres par Finkielkraut,  Elisabeth Levy et Ivan Rioufol suite à l'affaire de la réunion non mixte de SUD éducation).


    Si la formule exacte n'apparait que rarement avant, on en trouve un paquet de déclinaisons chez ces deux derniers, prenant la forme chez Elisabeth Levy de "sécession culturelle" [des musulmans] ou chez Ivan Rioufol  de "séparatisme culturel". Ou encore "séparatisme ethnique", qui se trouve dans des résumés d'un ouvrage de Rioufol sorti en 2007, La Fracture Identitaire. 


    Ce terme peut lui être venu d'un détournement de "séparatisme social", qu'on trouve plusieurs fois employé dans des articles sur les banlieues suivant les émeutes de 2005 (et pouvant venir de l'ouvrage "Le ghetto français enquête sur un séparatisme social" du sociologue Eric Maurin publié en 2004). On peut aussi mentionner son lien avec une autre expression parfois appliquée aux islamistes, "séparatisme sexuel" ou "sexo-séparatisme" qu'on trouve surtout employée par des féministes ou antiracistes du courant universaliste, comme Christian Delarue du MRAP, avec des occurrences à partir des années 2000. 




    Sinon pour ce qui est de l'esprit de la formule, et de son apparition au sommet de l'état, il faut se rappeler que François Hollande, dans Un président ne devrait pas dire ça (il aurait d'ailleurs mieux fait) disait (après un "Nul ne peut nier qu'il y a un problème de l'islam en France") :


    « Comment peut-on éviter la partition ? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire : la partition ».


    Hollande qui lui même semblait rendre hommage à son prédécesseur Nicolas Sarkozy qui écrivait dans Tout pour la France (avant qu'elle lui réponde tout sauf lui) : 


    "dans certains de nos quartiers, les habitants ont parfois le sentiment de ne plus être en France. Certaines pratiques sont devenues inacceptables, et si les choses continuent de dériver à ce rythme et avec cette force, le risque d'une forme larvée de guerre civile ne peut plus être complètement écartée"


    Faut remonter à Chirac pour trouver un président qui (s'il tint des discours plus qu'un brin raciste à quelques reprises) n'a jamais présenté l'islam comme une menace pour la cohésion française (ou en tout cas je retrouve pas de citation de ce style de sa part, au delà d'évoquer "les particularismes qui séparent" ou "les dangers du communautarisme" du temps de la loi sur le voile).



    * évidemment dans la mesure très limitée où une recherche internet peut renseigner là dessus, si ça se trouve l'expression était employée bien avant ou a une origine précise dans un bouquin peu cité sur le net, ou j'ai juste loupé des trucs ; ça devient pénible à faire avec tous les sites de journaux immunisés à la recherche datée (genre tu cherche les articles datés d'avant 2010 et ceux sur Macron apparaissent car ils sont dans le sommaire)

  • Jiemo 19 février 2020 à 16:28

    Et la sécession des "pourvus" on en parle quand dans ces cours d' "anthroplogie" à deux balles ?

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 19 février 2020 à 13:14

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Olivier 19 février 2020 à 12:49

    Pour l'asinaute Promethée que je fais bien rire, et tant mieux :D

    Juan Branco, en fait, c'est Lucifer dans l'Ancien Testament tel que narré par John Milton dans Le Paradis Perdu.

    Au ciel, Lucifer, archange, tient une bonne place dans cette société d'en haut (littéral pour le coup). Mais dieu s'entiche d’un nouveau minion, alors Lucifer en conçoit de la jalousie.

    Lisez le bouquin de Branco, c'est bien ça. Il est minion, Gabriel Attal.

    Lucifer lance une armée contre dieu mais est défait et chassé des cieux.

    Il atterrit sur Twit... dans le Gouffre du Tatare.

    Trompant la gardienne des enfers et son fils, la mort, il parvient à sortir pour découvrir le Jardin d'Eden, Paris, que dieu a créé, rongé par la culpabilité. Ici vivent Eve et Adam, soit Alexandra et Benjamin.

    Alors Juan Lucifer se transforme en serpent poutinien et convainc Eve De Taddeo de croquer des vidéos de Benjamin en tenue d'Adam dans son iPhone de la Pomme.

    "Ptior !" (flûte ! en vieil hébreux), lâche Benjamin en voyant le scandale.

    Pour la petite histoire, dieux chassa Adam et Eve de Paris, un peu comme maintenant, et le serpent perdit ses pattes pour ramper dans la poussière. Ca ne l'empêche pas d'écrire sur Twitter, qui mérite bien son nom de 8me plaie de la démocratie, même si des pretres sains tel Daniel y écrivent.

    Dieu rendit les humain mortel et la mort, fils de la gardienne de la porte, dit soudain à sa mère : "je sens des pouvoirs de destructions du tissu social et démocratique monter en moi."

    Conclusion : insulter les religions est le droit le plus con du monde, parce qu'il empêche de voir à quel point l'histoire des monde est biblique. Etonnant, non.





  • Tichonchon 19 février 2020 à 12:39

    Oublierait-on que le Qatar, plein aux as !!, grand ami de la France (dixit Sarkozy) finance plus d'une centaine de projets en Europe et parmi eux des lieux de culte de citoyens de confession musulmane. Peut-on dire en Macronie que les pratiquants musulmans, qui n'ont parfois que ces lieux pour se retrouver,  soient  responsables  du "séparatisme" ? Comme on pourrait dire que le malade de la peste est plus responsable  que le bacille Yersinia pestis lui-même ??

  • Hallucined Imposteur 19 février 2020 à 12:19

    Le paradoxe paradoxal parallèle :


    La Stigmatisation


    La stigmatisation vient de Stigma signifiant les marques du supplice de Jésus.


    Alors la stigmatisation, c'est du communautarisme ou séparatisme ?


    Bref, c'est que de la com camarade, rien que de la com camarade ...

  • Youri Llygotme 19 février 2020 à 11:46

    Dans leurs travaux, les Pinçon-Charlot et aussi Jérôme Fourquet ont constaté et dénoncé que  le  principal séparatisme effectif existe déjà: c'est celui des riches.


  • DéLecteurdeVraiThé 19 février 2020 à 11:38

    Sans oublier le séparatisme social de ces Gilets Jaunes


    Heureusement que l'on a un catalyseur, un rassembleur

    Halléluja


    La République am Arsch (comme on dit en Alsace... sur le cul)

  • Olivier 19 février 2020 à 11:22

    Contexte, dézoom.

    - Tu ne peux pas faire plus totalitaire que Brigade de reconquête républicaine.

    - Un député veut interdire la cigarette dans les rues de Paris

    Comment obtenir davantage de fraternité quand, au fond, on n'en veut pas ?

  • Prométhée 19 février 2020 à 11:04

    Rôôô, la bonne vieille grosse ficelle ! Crise sociale des Gilets jaunes et des retraites, crise politique des scandales à répétition, état de droit bafoué, médias aux ordres, police-milice en roue libre, crise climatique mondiale, bref, le pays est au bord du chaos, mais voilà qu'enfin on montre du doigt le vrai problème de la France : la menace des barbus-qui-veulent-égorger-nos-enfants-et-prendre-le-pays-d'assaut !!!


    Qu'est-ce qu'on va rire en 2022 ! Tic tac tic tac...

  • Olivier 19 février 2020 à 10:23

    Se rend-t-on compte que l'on vit dans un pays ou le Président de la République explique devant les caméras quonaunproblemeaveclesarabes et quysontpascommenousquandmême sans que cela cause le moindre problème ?


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