sandy 27 juin 2017 à 18:09
Petite question, quelqu'un pourrait peut-être me renseigner.

Sur les marchés des obligations, qui fixe les taux ( du marché, de rendement des obligations etc ... ) très concrètement ? J'ai lu que la plupart des transactions se passaient de gré à gré, et donc comment se passe la négociation de gré à gré entre l'emprunteur et le créancier là aussi très concrètement ?

Merci d'avance.

Tony A 29 mai 2017 à 12:29
Personne ne "tord le bras" de Macron, comme c'est justement souligné, à plusieurs reprises, plus haut.

La finance ne fuit jamais. Elle va là où est son intérêt.

La critique du Pouvoir peut-elle être efficace si elle participe, par la reprise de formules toutes faites, à l'enfumage ?

Ervé 28 mai 2017 à 16:56
Et l'éléphant transforma le chasseur en galette de viande.
Aucun rapport avec le sujet de cette chronique, merci de me l'avoir fait remarquer, mais il fallait bien que je case ce réjouissant fait-divers quelque part.

admin 27 mai 2017 à 14:39
Ah...là... faire un billet sur la toute-puissance de la finance qui tord les bras des chefs d'état et finir avec:
"alors que "lafinance", fuyant la City, va certainement se précipiter à Paris ou à Francfort"...
Peuchère la finance toute puissante s'enfuit...
In your dreams
Meuh non elle s'enfuit pas la finance, vous pensez bien que si elle était contre le brexit celui-ci aurait été dilué dans un autre truc oou contourné ou annulé.
Qu'elle décide de fermer ici des salles de matché pour en ouvrir ailleurs, c'est le quotidien de la furtivité.
Des nouvelles des dark pools, ils vont s'enfuir aussi?, les Caïmans vont ramer pour rejoindre le continent de la prospérité du pays de Junker, Draghi et Shauble?
Par contre si on prend l'exemple du blanchiment d'argent des cartels de la drogue, pour lequel HSBC a été condamnée, il n'est pas impossible que lafinance se réjouisse de ne plus être dans le champ visuel des miradors de l'UE, qui n'avait même pas des bonnes jumelles pour voir clair et des fusils à bouchons...

Bor 26 mai 2017 à 18:47
La finance ne lui tort absolument pas le bras puisque Macron en est son représentant. Il a été mis là entre autre pour faire capoter ce type de projet, et je pense qu'il en est fier et l'assume très bien.

emilie bouyer 26 mai 2017 à 17:18
C'est ceux qui en gagnent le plus qui ne veulent pas participer à hauteur de ce qu'ils gagnent.

smaksing 26 mai 2017 à 16:00
Pour se faire tordre le bras il faut opposer résistance.
Moi j'ai plutôt l'impression que Macron et la finance sont bras dessus bras dessous, pour le coup...

Strumfenberg ( Aloys von ) 26 mai 2017 à 12:13
Taxer le fric plutôt que son contraire, c'est pourtant pas sot.

EdC 26 mai 2017 à 12:06
La taxe sur les transactions financières ... forcément dans le camp du bien !
Pourquoi ? pourquoi ?

nobody 26 mai 2017 à 11:17
à Paris ? ha, ha ! ! ! elle est bien bonne ! !

Al1 26 mai 2017 à 11:03
On s'autorise à penser dans les milieux autorisés…

Germain RITAL 26 mai 2017 à 11:00
[quote=Daniel Schneidermann]Mais comme toujours, il y a ce que montre l'image, et ce qu'elle cache.

Ce 9:15 illustre au plus simple et au plus juste la vocation du site à la déconstruction. Au plus juste, parce qu'il renvoie du montré à l'opposé dissimulé. Et au plus simple parce qu'il ramène l'attention sur la question devant ordonner le décryptage de l'ensemble des informations qui nous sont chaque jour confusément livrées. Question capitale à ce double titre qu'elle n'est pas tout simplement la plus importante, mais qu'elle l'est en tant qu'elle interroge le capital dans sa forme, on n'ose dire récente, car Lénine, il y a un siècle, dans L'impérialisme, stade suprême du capitalisme l'avait exposée. Mais qui aujourd'hui aurait l'incongruité de s'en réclamer? La victoire idéologique du capitalisme est si apparemment totale que que le terme de finance n'évoque plus depuis longtemps le capital financier auquel un an après son livre Lénine infligea la cuisante défaite que l'on sait.

L'intérêt du 9:15 d'aujourd'hui est ainsi de nous dé-montrer que l'image cache bien plus qu'il ne semble. Non seulement qu'un président, le principal président de l'Occident, a, contrairement à l'apparence, tordu le bras au plus récent, mais que la pièce qui s'est jouée ouvertement au début du siècle précédent est rejouée désormais subrepticement, depuis assez longtemps: 1989 avec la destruction du mur de Berlin. Nouvelle séquence à laquelle, somnambuliquement, notre précédent président fit aussi fameusement et gaffeusement qu' infidèlement référence en sa campagne: Mon ennemi c'est la finance.

Un siècle bientôt après Octobre 17, rappeler en l'actualité ces "dix jours qui ébranlèrent le monde" (John Reed), que la Russie d'aujourd'hui préfère laisser oublier, telle aura ainsi été la manière dont "la vieille taupe" aura, en ce lendemain d'Ascension, choisi de faire discrète apparition.

Monsieur X 26 mai 2017 à 10:56
Cette furie du commentaire sur les poignées de main, les mots dans les livres d'or, même les couacs de communications se fait absolument systématiquement au détriment du commentaire essentiel, fondamental, critique de toute chose réellement politique. Donc ça suffit de se cacher derrière le "le langage corporel c'est important, ça fait sens". Pour un livre trois ans plus tard, peut être, mais certainement pas dans ces proportions et certainement pas au détriment de l'information sur les choses très réelles qui se passent, comme par exemple les 100 morts civils admis par le gouvernement US dans un bombardement sur Mosul en Mars, soit trois petits mois après la façon dont la presse avait couvert la bataille d'Alep. Imagine-t-on le foin si le bombardier était russe ?

Strumfenberg ( Aloys von ) 26 mai 2017 à 10:34
La mort de Don Giovanni a quand même une autre gueule.

evemarie 26 mai 2017 à 10:34
Non Daniel 'la finance' n'a tordu le bras d'aucun président, la finance gouverne la France , le monde, et vous vous êtes juste là pour nous faire croire que Macron et la finance sont séparé, comme Hollande vous l'a fait croire déjà, mais là Macron n'a jamais dit qu'il était d'un autre monde que celui des oligarques de la mondialisation.
C'est les femmes qui ont les bras tordues a force de bosser sans paye, de porter les enfants et les vieux sans aide, merci la finance et les mâles blancs des medias qui la vendent aux autres mâles qui eux sont bien content de faire les oligarques aussi (a lire la BD la charge mental des femmes (pas que mentale,physique surtout).
d'ailleurs le vote le prouve , des mecs employé votent Macron, ... des petits princes égoïstes.
'Au niveau du genre, les différences de vote sont ténues mais on peut tout de même remarquer que les hommes ont été plus enclins à voter pour Emmanuel Macron et François Fillon alors que les femmes ont plus souvent choisi Nicolas Dupont-Aignan, Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon. La seule candidate féminine, Marine Le Pen, ne voit dans sont électorat aucune différence entre hommes et femmes.'
tout l'article : https://www.contrepoints.org/2017/04/27/287778-presidentielle-decrypter-le-profil-des-votants

Yanne 26 mai 2017 à 09:56
Ce qui me frappe, c'est l'espèce de rictus qui tient lieu de sourire quand Macron serre la main de Trump. Comme s'il craignait d'être mangé tout cru, ou insulté.
Mais de toutes façons, il n'est pas prévu dans le programme de Macron qu'il renverse la table. Ce sera le bon chien à sa mémère Merkel qui va entériner la toute-puissance de l'Allemagne en UE. C'est celle qui a le porte-monnaie, pas seulement l'argent mais aussi la banque, qui commande. Il ne fallait pas le lui donner, maintenant, lui arracher tout cela supposerait une énergie que nous ne pouvons fournir...

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 26 mai 2017 à 09:47

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Bellatrix 26 mai 2017 à 09:42
Macron n'a jamais promis à ses électeurs potentiels qu'il allait terrasser la finance.