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Alexandra
Et si on nous laissait être femme, tout simplement, comme nous le voulons, comme nous le souhaitons, chacune à notre manière, avec ou sans homme, avec ou sans enfant... Ce serait bien, non ? -
Galeiliante
Le communiqué de presse de La Leche League FRance a qui badinter dedie toujours des chapitres
http://www.wikio.fr/article/lll-france-repond-interpretations-elisabeth-badinter-169587643 -
Marianne
sur les couches lavables en Italie:
à Concesio (près de Brescia), par une iniciative des pouvoirs publiques, toute femme AVANT d'avoir un enfant a reçu une lettre de la mairie l'invitant à participer d'un programme d'utilisation des couches lavables. L'objectif était de transformer la ville une capitale de la clean economy.
De Juillet 2009 à novembre 1009, 92 mamans ont adhéré au programme et reçu gratos le kit avec le nécessaire (trois couches supérieurs, 24 di coton. Les nombres sont concluants: de toutes, seulement 2 ont laissé tomber le programme.
Les femmes, d'abbord méfiantes, se sont laissé convaincre par la PRATICITÉ des couches lavables que "au lieu d'être jétées à la poubelle sont jétées à la machine à laver"
Avant d'élargir l'expériment à tout le pays Le projet a été testé avec 5 mères "difficilles": avec plusieurs fils, sans aide domestique, avec un mari que ne changerai jamais une couche et très absorbées par leurs boulots. Ce sont leurs témoignages les plus convainquants.
"L'obstacle principal a été de convaincre femmes et maris. Pour la génération 68 les couches etables étaient une conquête et cela semblait un retour en arrière, vers l'esclavage des travaux domestiques. Pour les maris ils étient préoccupés que les couches salissent leurs chemises. L'expérience a montré que les deux préoccupations étaient infondées"
Ayant moi même déjà été nounou d'un bébé qui utilisait des couches lavables, je confirme: ceux qui disent que c'est plus de boulot ne savent pas de quoi ils parlent.
voici l'article italien:
LA STORIA
Ecco il paese senza i pannolini
più bimbi in fasce, meno rifiuti
Esperimento nel Bresciano: in 4 comuni solo prodotti lavabili le mamme: non inquiniamo più e le dermatiti spariscono
dal nostro inviato CINZIA SASSO
CONCESIO - Il paese che non usa più i pannolini è alle porte di Brescia e all'ingresso della Valtrompia ed era conosciuto finora - tanto per mischiare il sacro al profano - per aver dato i natali a papa Montini e la cittadinanza italiana a Mario Balotelli.
Qui, adesso, nelle villette dai giardini ordinati, appena nasce un bambino, prima ancora che sulla porta venga appeso il fiocco rosa o celeste, arriva una lettera: cara mamma - dice - le rubiamo pochi minuti per proporle di entrare a far parte di un nuovo progetto. Si chiama Pannolino Amico, è gestito dall'Associazione Eva, e ha l'ambizione di trasformare Concesio in una capitale, quella della clean economy. I pannolini usa e getta costituiscono il 15 per cento dei rifiuti non riciclabili. I componenti chimici utilizzati per renderli assorbenti danneggiano la pelle dei bambini, tanto che secondo uno studio tedesco le dermatiti sono aumentate in questi anni dell'857 per cento e perfino la crescita dell'infertilità maschile viene fatta risalire all'aumento di temperatura causata dal pannolino. A ogni famiglia costano, per i tre anni in media in cui vengono utilizzati, una cifra che supera i 1.500 euro.
Da luglio sono 92 le mamme che hanno aderito e che hanno ricevuto, gratis, il kit necessario: tre mutandine e 24 pannolini di cotone, di quelli da lavare e riutilizzare. E se a convincerle sono state le assicurazioni che "non è un ritorno al passato, i pannolini di stoffa sono uguali a quelli usa e getta: semplicemente, anziché gettarli nel pattume, si mettono in lavatrice", adesso sono loro a spiegare perché non tornerebbero più indietro. L'associazione ha chiesto alle mamme di tenere un diario quotidiano per misurare le difficoltà e per verificare se la prima delle obiezioni - ci vuole troppo tempo e troppo lavoro - è fondata. Ed ecco cosa scrive Alessandra: "All'inizio ero titubante, poi ho visto che basta impratichirsi".
Luisella: "Per il mio primo figlio avevo il bidone della spazzatura sempre pieno e mi chiedevo se ci fosse un modo per inquinare di meno". Gianna: "Ho fatto il conto: servono 20 minuti alla settimana, tre minuti al giorno". Marina: "Temevo che il bambino restasse bagnato, ma non è vero". Chiara: "Mi piace toccare il cotone e sentire il profumo di pulito quando si asciuga al sole". Soprattutto, però, la dicono lunga i numeri: solo due famiglie hanno desistito.
Maria Braibanti è la ginecologa che ha ottenuto l'appoggio del comune (che ha stanziato 23 mila euro), di A2a, l'utility dei rifiuti (che, su richiesta della Regione Lombardia, allargherà il progetto a tutta Brescia), e delle farmacie. "L'ostacolo principale - racconta - è stato convincere le nonne e i mariti. Per la generazione del '68 quella dei pannolini usa e getta è stata una conquista e questo sembrava un ritorno al passato, verso la schiavitù dei lavori domestici. I mariti, invece, erano preoccupati che i panni dei bambini, in lavatrice insieme a tutti gli altri, sporcassero le loro camicie. L'esperienza ha mostrato che tutte e due le preoccupazioni erano infondate".
Prima di allargare l'esperimento a tutto il paese, Eva aveva testato il progetto su cinque mamme "difficili": con tanti figli, senza aiuti domestici, con un marito che mai cambierebbe un pannolino, impegnate nel lavoro, e sono state loro le testimonial più convincenti.
Spinta da una direttiva europea che impone la riduzione dei rifiuti, favorita da una maggiore attenzione a quello che fa bene al corpo, aiutata dalla crisi economica, la campagna sull'uso dei pannolini lavabili si sta diffondendo in tutta Italia. Partita da Reggio Emilia, dall'Associazione famiglie numerose, ha visto realizzarsi progetti diversi: dal Trentino, dove i pannolini di stoffa vengono regalati, al Modenese, dove viene versato un contributo per l'acquisto, e al comune di Camigliano, in provincia di Caserta, che ha deliberato uno stanziamento pro-pannolini di stoffa. La Provincia di Torino garantisce sconti del 50% per l'acquisto di quelli lavabili mentre a Vico Equense, nel Napoletano, viene distribuito gratis il kit pannolino più mutandina. Così l'ecopannolino si fa strada. -
Cassandre
Merci Daniel Schneidermann pour cette chronique. Alors que vous êtes un homme, vous comprenez bien ce que peut ressentir une femme devant les absurdités des propos de Badinter, la féministe qui n'a rien compris au bonheur de s'occuper de ses enfants.
On voudrait nous faire croire que la femme est plus heureuse quand elle travaille ! Quitte à passer pour une ringarde, il m'arrive de regretter le bon vieux temps ou la femme n'était pas impliquée dans cette société de consommation à outrance.
Badinter est une révisionniste des violences que les femmes subissent. -
Stéphanie Boccalini
Lire et décrypter les medias, bravo.
Chercher la petite bête, l incohérence, les mensonges, excellent en ces temps d'"information" ultra banalisée et blanchie à la javel du pouvoir.
Mais il est tellement bon de veiller à ne pas sombrer soi même dans les inexactitudes...
Elisabeth Badinter, si elle n'a pas répondu à Marianne, s'est clairement exprimée sur la candidate voilée NPA, et ce en répondant à une question lors de l émission de Demorand, sur France Inter.
Et c est un exemple parmi d autres.
Arrêt sur image : je regrette amèrement la disparission de votre émission, et suis abonnée depuis peu au site.
Je note parfois tout de même trop souvent inexactitudes et à peu près, qui peuvent ressembler davantage à des coups de gueule d adolescents "anti tout" plutôt qu à un journalisme critique de fond.
Ne baissez pas le niveau d exigence. -
marcel verplaetse
Bysone vraiment pas de "bol" si les femmes ont pas de lait !!
(bon d'accord pas terrible) -
bysonne
Bon j'ai lu la chronique et presque la totalité du forum, je vais dire que la chronique est caricaturale, dans le forum beaucoup de choses intéressantes, contradictoires, bref un bon forum.
Tout de même DS, réduire la parole d'EB à une prise de postion sur la couche culotte, et laisser entendre que comme fille de riche elle ne pourrait pas avoir de cerveau pour philosopher ....
L'image dans la chronqiue des couches lavables, je regrette c'est déjà très moderne, paske mon fils de 41 ans maintenant a fait pipi dans des vraies couches lavables en coton très douces, un grand carré (comme un foulard si vous voulez :-)) mais blanc) il m'en reste quelquezunes dont je me sers encore pour différentes tâches (je suis une vraie petite fée du logis), zavez qu'à voir la solidité et le bon entretien, le progrès aidant j'ai utilisé les premières couches jetables, c'est-à-dire un grand rectangle très épais tenu par une couche triangulaire synthétique, lavable qui sèche vite, le pied. Le tout emballé dans une culotte plastique. Très sexy pour le BB, surtout quand il commence à marcher avec ce postérieur énorme. :-)) Le Père bison s'occupait très bien des couches et des biberons. Et pour remonter encore plus loin dans le temps, mon père qui aurait 100 ans cette année, donnait le premier biberon de 6 h tous jes jours de la semaine, et changeait la couche de son fils, mon frère.
Bon maintenant, sans déc***, on va pas en faire un caca nerveux de ces couches diverses et variées. Mais je voudrais comme Mona, qu'un matheux nous fasse le compte de ce qui pollue le moins, la couche jetable ou la couche lavable parce que là il y a un tas d'éléments à prendre en compte. Et tout ce qui important maintenant, c'est de faire des économies et de sauver la planète. Je ne me sens pas qualifiée.
En revanche il existe déjà aux Etats-Unis et en Europe aussi sûrement, des machines à laver qui lavent plus blanc que blanc et sans lessive, Pour l'instant "que choisir" n'aime pas. Il ne faut pas désespérer. On n'arrête pas le progrès.
Est-ce bien raisonnable de la part de mamie Badinter de s'intéresser au couches-culottes à son âge ? LOL ! :-)
Jolie tranche de philosophie non ? de vie :o)
J'ai oublié, si on parlait du prix des laits maternisés, hein ? Elles choisiraient quoi les femmes ? En dehors de toute autre considération. D'ailleurs dans les pays en voie de développement ???? C'est terrible pour les femmes qui n'ont pas de lait. -
Elihah
Ha j'avais pas vu, mais Agnès a commis ceci.
Je ne suis aps tjs d'acc avec tout ce qu'elle dit mais je cite un de ses comms sous son article:
"Quand elle parle de l'allaitement qui nous ravale au rang de mammifères, elle chie dans la colle. Et oui, son discours glorifie le "libre" choix du retour au boulot, sauf que quand tu n'est pas une bourgeoise CSP++, tu sais à quoi t'en tenir sur ta liberté de choix par rapport à l'entreprise, au travail. Pour moi, le libre choix des femmes est un choix de société. Cela signifie qu'en préalable, nous devons gagner la bataille contre tout ce qui est entrave à ce libre choix : lois, emplois, salaires, modes de garde, logements, etc. Et on est loin du compte.
Ensuite, la bataille pour l'égalité des droits tous genres confondus (ne nous arrêtons pas au petit diptyque hommes/femmes) ne passera pas par la négation de ce que nous sommes. J'ai longtemps envié les garçons et regretté d'être enfermée dans le sexe faible. Parce que la société me pousse dans ce type de vision de la sexuation des rôles. Du coup, je pensais pouvoir être l'égale des hommes en me comportant comme eux. Ce qui est doublement faux.
Parce que déjà, le comportement des hommes est lui aussi le fruit d'une construction sociale fausse. J'ai découvert à l'usage que beaucoup d'hommes s'efforcent d'entrer dans le moule viril, selon le miroir qu'on leur tend, en gommant les aspects trop "féminins" de leur personnalité ou, au contraire, en compensant trop dans ce registre, dans une louable tentative de réconciliation entre les sexes.
Et ensuite parce qu'être une femme n'est pas une tare, qu'avoir un corps de femme et des possibilités biologiques de femme n'est pas une honte qu'il faut dissimuler, mais une chance dont il faut profiter, si on le souhaite, comme on le souhaite." -
tm
Bonjour,
je ne suis pas d'accord avec le reproche qui est fait à Elisabeth Badinter avec comme argument (je parle de l'article de 17h15) que puisque l'on se revendique féministe, ou que l'on dit de nous que l'on est féminsiste, on doive traiter du sujet choisi par le journanliste au moment où il le veut.
Elle écrit un livre sur la tyrannie de la façon d'être mère aujourd'hui (en passant mon témoignage :entendue à la maternité où j'ai accouché : si vous n'allaitez pas vous augmentez aussi vos risques de cancer, quant au bébé.... : je ne suis pas arrivée à allaiter, je n'ai cessé de pleurer et voir ma fille pleurer pendant quatre jours d'affilée : quand le biberon est enfin arrivé... avec comme explication " vous n'étiez pas prête à allaiter, vous n'y aviez pas suffisamment réfléchi !!!). Si vous (ou marianne2) vouliez l'interroger sur le voile, il fallait le faire au moment où l'histoire sur le voile est sortie.
Quant à l'intêrêt du sujet qu'elle traite (ramené à une question de couches culottes.... !), pour les femmes actuellement c'est une vraie question. Si elle ne vous intéresse pas n 'en parlez pas. J'aime beaucoup arrêt sur images, mais je ne lis pas tous vos articles, quand le sujet ne m'intéresse pas.
Bref je trouve les deux articles sur E. badinter peu pertinents et ressemblants plus à des attaques ad hominem qu'à une véritable interrogation. -
Thierry Maurel
moi je dis que si les femmes décident de faire leurs propres choix en lieux et places de ceux des entreprises paternalistes ou qui utilisent jusqu'à plus soif le "terror management", dans quelle sociétés serions-nous contraint de vivre... n'est-il pas ? (sic) -
Béatrice TRIN-GOLDREICH
Je suis d'accord sur toute la ligne avec Marie Josée Habert. Moi aussi vous me décevez, votre papier est typiquement masculin, et la photo qui accompagne la chronique limite insultante, car elle rabaisse le combat des femmes a des afffaires de couches culottes, ce qui n'était qu'un exemple et non le thème central du propos d'Elisabeth Badinter. Cette femme nous accompagne depuis 30 ans et j'espère qu'elle sera encore là longtemps pour veiller à ce que la condition féminine ne se dégrade pas davantage. Quant à l'instinct maternel, non messieurs ça n'existe pas, sinon toutes les femmes voudraient des enfants, ce qui n'est pas le cas. L'instinct est ce qui régit les animaux, pas les humains !!! -
UBIK
Il est clair qu'Elisabeth Badinter a fait un choix : celui de ses convictions, de ses études, de ses recherches, de son travail, le choix d'être agitateuse d'idée, mais surtout le choix de ne pas suivre la voie de son père publicitaire. Toute sa vie a été consacrée à la défense d'idée sur l'émancipation de la femme. Jamais n'y a t on vu la moindre ambiguité publicitaire. Je ne m'imagine pas qu'elle puisse avoir à donner son avis sur telle ou telle publicité. Ce n'est pas son travail. Le fait d'être devenue héritière d'un publicitaire et actionnaire par filiation n'a rien à voir avec son travail. Cette constance ne s'est jamais démentie, et je trouve particulièrement déplacé que vous tentiez un rapprochement entre sa liberté si éclairée du choix de l'émancipation de la femme (y compris à allaiter, élever son enfant...) et la gestion d'un patrimoine. Je trouve que cela rabaisse injustement la puissance de sa pensée. Je ne vois pas de contradiction dès lors qu'à aucun moment je n'ai vu s'immicer une once de publicité dans sa pensée. Sa pensée est justement de dénoncer le courant bien pensant quand justement il pense trop bien au point de culpabiliser ceux qui au fond pensent différemment. Et son patrimoine ne change rien à cette pensée. E Badinter ne parle pas comme une publicitaire mais comme une universitaire, une chercheuse lumineuse. Mais il est vrai que N Demorand aurait pu lui demander : n'y a t il pas une contradiction entre votre défense de la femme et la vision qui en est faite par l'agence de publicité qu'à fondé votre père et dont vous êtes toujours une des actionnaires principales ? Peut être ... Je pense que ses travaux sont la meilleure réponse qui soit. Qui rend la question obsolète. Et votre dénigrement m'attriste. -
marcel verplaetse
Mme Badinter est aussi passée l'autre jour à l'émission de France 5
"Le magasine de la santé" présenté par Marina Carrère d'Encausse
et Michel Symès . Mais au fait Marina c'est de la famille à Héléne ??
Quelqu'un a t-il la réponse ?? -
Sabine M.
OK, EB (Elizabeth Badinter) est membre du conseil de surveillance de la multi-nationale Publicis... OK, à ma connaissance, elle n'a jamais écrit aucun livre sur l'image dégradante que peuvent donner certaines publicités de l'image de la femme et ce serait réellement intéressant d'avoir une discussion approfondie avec elle sur ce sujet, en tant que philosophe et féministe... Car c'est vrai que son silence là-dessus est éloquent... Une émission @si ou D@ns le texte, peut-être, serait intéressante ?
Mais moi, je m'interroge : qui commande des campagnes publicitaires à des sociétés comme Publicis ? Les marques. Qui publie ces publicités ? Les magazines, journaux, sites internet, etc. Et, prise de positions par EB ou pas, si les marques et[ les publicitaires et les supports de publicité avaient une déontologie respectueuse quant au traitement de l'image de la femme dans les publicités (et on pourrait aujourd'hui inclure aussi le traitement de l'image de l'homme, qui de mon point de vue, se dégrade aussi...), personne ne verrait ce que l'on voit aujourd'hui... Franchement, les responsabilités sont partagées à tous les niveaux, y compris par le dernier niveau de la chaîne, c'est-à-dire les consommateurs qui, en achetant ces marques, laissent croire que ce type de campagne marche...
Bref, il me semble que l'attaque dirigée contre EB dans cette chronique est un peu facile... -
Cassandre
Elisabeth Badinter (Publicis) : l'idéologie publicitaire pour justifier les nuisances. -
cosmos
"opposer les droits des femmes à ceux de la nature" ???????????????? arrgh, pas encore pigé que les "lois de la nature" sont les lois des hommes ?
Je suis agaçée par cette chronique!!!!!!!!! -
MJH
Non mais qu'est-ce que vous avez contre Elisabeth Badinter à @si???
Je me suis insurgée ce matin contre la chronique de D.Schneidermann ce matin, et ce soir, je découvre encore un article plein de vacheries contre elle dans les "vite dit", et des vacheries vraiment gratuites. Vous avez déjà oublié combien elle s'est engagée en 2004 contre le voile islamique? Vous avez la mémoire courte, ou quelques comptes à régler--que j'ignore-- avec cette femme intelligente et courageuse, dont le grand défaut semble d'être la fille de Bleustein-Blanchet, ou simplement, le féminisme tout court, qu'il est à la mode de dénigrer. -
Thibault
Une des auditrices de France inter lui a justement parlé du caractère propagandiste de certaines publicités (probablement sans connaître le lien entre la philosophe et Publicis);
et Mme Badinter s'est empressée de dédouaner la publicité qui ne ferait que suivre l'air du temps selon elle. -
Fan de canard
Vos chroniques, d'un jour sur l'autre, diffèrent d'elles-mêmes comme le jour et la nuit.
Peut-être partagent-elles le côté complémentaire de cette image, après tout.
Je la mettrai sur le compte de la provoc pure.
Je ne vous crois pas capable de raccourcis intellectuels pareils, monsieur Schneidermann.
Ni de pratiquer la confusion et l'amalgame que vous reprochez très exactement à certains de vos invités d'émissions.
Seriez-vous réducteur à ce point ?
Je vois bien que vous surfez sur la vague de ces derniers jours, du cognage de philosophe tous azimuts. Pourquoi pas.
Mais concernant BHL, il n'est même pas besoin de rappeler son appartenance à certaines fonctions stratégiques pour prouver sa vanité: des citations de certains de ses écrits et de ses comportements et phrases passés suffisent amplement.
Vous avez l'air de ressentir ce besoin envers Elizabeth Badinter pour relier ce qu'elle dit ou ce qu'elle écrit, à ce qu'elle fait ou à sa fonction dans Publicis - toute critiquable que soit cette dernière.
Il n'y a, je crois, aucun rapport, et vous-même, dans votre chronique, ne prenez même pas la peine de démontrer ce que vous insinuez.
Bref, chronique médiocre à mon sens, non pas parce-que vous vous en prenez à elle, mais pour la façon dont vous vous prenez à elle.
Je préfère grandement me souvenir de votre chronique d'hier. -
ennelle
Ouf, me voilà rassurée, j'ai craint un moment que DS nous concocte une émission avec cette invitée, partout présente! genre Frêche ou BHL ou je ne sais qui de trés médiatisé et là, il ne me semble pas que ce soit à l'ordre du jour, quelque soit l'intérêt des propos d'E Badinter, mais une journée sur France inter, c'est déjà beaucoup, je suis tout à fait d'accord.