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  • Diogene 11 décembre 2017 à 18:28
    Salut Jean d'O.
    Je n'aimais pas tes positions politico-philosophiques et j'étais rarement d'accord avec toi, mais t'entendre ou lire ta prose était un régal: tu savais croiser le verbe comme d'autres l'épée.
    Ca manque.

  • Boblebar 9 décembre 2017 à 17:27
    rubrique nécro-alcoologique

    un dandy à particule bleue , un rocker à l'alcool détaxé
    moralité :

    " Il dort mais songeant le jauni alité "
    sic transit

  • folavril-170143 folavril 7 décembre 2017 à 19:16
    Daniel Mermet sur ce Charlie qu'était donc Jean d'O "massacres grandioses dans des paysages sublimes" (à propos du génocide du Rwanda)

    https://la-bas.org/la-bas-magazine/textes-a-l-appui/jean-d-ormesson-au-rwanda-des-massacres-grandioses-dans-des-paysages-sublimes

    "La leçon de la tragédie du Rwanda, c’est qu’il n’y a pas que le racisme des skinheads sans conscience. Il y a aussi celui, plus pervers, plus mondain, plus refoulé, plus inconscient, d’hommes dont j’apprécie le soin qu’ils apportent à choisir leurs cravates."

  • evemarie 6 décembre 2017 à 18:02
    D'ormeson le censeur de Ferrat, l'unique ... Ce type etait un bourgeois c'est tout , on s 'en fou, y'en a des pelleté de ce genre de mecs suffirait qu'ils aient des tunes, comme BHL , des nul friqué et surtout des mecs blancs, surtout. Amenez moi autant de femmes connues et nuls, y'en a , celles qui servent comme le scotches ou les excité, mais des académiciennes , elles sont fortes, pas les mâles.

  • Robert· 6 décembre 2017 à 07:55
    D'Ormesson se lâche enfin: ce petit con me gâche ma sortie.

  • Fitz_ 6 décembre 2017 à 00:35
    Bon bah j'ai lu sa biographie sur wikipédia. Pas foufou, je changerais pas d'avis.

  • Fitz_ 6 décembre 2017 à 00:16
    Connais pas le type. Il a écrit au figaro? Pas mécontent qu'il soit mort.

  • Oblivion 5 décembre 2017 à 21:36
    Drôle votre chronique, car en voyant les hommages, je me rappelais de lui que je l’ai toujours imaginé plutôt lourd avec les femmes.
    Hypothèse.
    (Ce qui ne signifie pas forcément que j’imaginais qu’il ait commis quelconque délit.)

    Autrement, même si l’année n’est pas terminée, hommage. Ils ont disparus en 2017.

  • utr_dragon 5 décembre 2017 à 21:34
    Ils m'ont tellement gavé chez Inter à en faire des caisses sur sa mort que j'ai fini par changer de station. C'en devenait gênant. J'ai horreur de ce genre de directs où l'on ne sait quoi dire à des invités qui sont soit sous le choc, soit connaissaient à peine le gars, où les questions sont débiles (mon dieu, Léa Salamé "il a toujours dit qu'il partirait sans avoir tout dit, et c'est aujourd'hui. Qu'est-ce qu'il n'a pas dit ?. Réponse du gars : "Je ne peux pas le savoir, car il ne l'a pas dit". Merci Madame la meilleure intervieweuse de l'année 2015 (Prix Philippe Caloni...).

  • GPMarcel 5 décembre 2017 à 21:19
    Ce qui me chiffonne dans le décès prématuré, à 90 ans, de ce grand homme qui dut supporter, moult années, l'amiante sise dans la coupole de l"Académie, comme tout vulgaire hangar de construction navale, sans se plaindre et sans en dire un seul mot c'est le désarroi de Michel Drucker qui ne pourra plus l'inviter sur son canapé rouge, ne lui laissant qu'un Stéphane Bern nous exposant les vapeurs de la Grande Duchesse..

    Où ira donc ce monde sans ces phares là?
    Est-ce que Jack Lang a dit quelques mots?
    Trop triste pour faire une recherche...

  • Youri Llygotme 5 décembre 2017 à 19:34
    Je ne l'ai pas beaucoup lu mais je me suis toujours laissé fasciner par le discours élégant et savoureux, plein d'optimisme un peu forcé de ce grand lettré, à la pensée souvent percutante et pertinente, qui voilait un peu l'homme de droite.
    Paix à votre âme, Jean d'Ormesson.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 5 décembre 2017 à 19:22

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Bernard JOECKEL 5 décembre 2017 à 18:03
    Sans avoir la prétention de dire "les grands esprits se rencontrent" j'avoue avoir eu la même réaction au moment de la réponse de Orsenna. Peut-être suis-je gagné par l'ambiance actuelle de suspicion, au demeurant bien légitime, mais qui fait quand même froid dans le dos : à qui peut-on encore se fier ?

  • jean-françois copé-décalé 5 décembre 2017 à 18:01
    Une fois n'est pas coutume, citons Laurent Baffie : "Jean d'Or c'est le prénom."

  • Djac Baweur 5 décembre 2017 à 16:38
    En fait, est-ce que quelqu'un peut m'éclairer : qu'a fait Jean d'Ormesson qui mérite un si vibrant hommage national ?
    Je n'entends parler que de l'élégance, des yeux bleux qui pétillent - mais point d'un grand œuvre dont nous serions redevable. C'est peut-être le cas, mais en tout cas ça reste discret.

    Parce que, quand Dutilleux est mort, ça a fait l'objet de quelques entrefilets rapidement cités par des journalistes ne sachant pas de qui il parlait. Et c'était juste un des plus grands compositeurs français de la seconde moitié du 20e siècle, joué partout dans le monde (Tout un monde lointain est devenu un des "tubes" des orchestres internationaux).

    Du coup, je me demande, en rapport avec la réflexion sur Anémone hier : d'Ormesson serait-il si hautement célébré seulement parce qu'il était un "bon client" ?
    Je ne fais que poser la question.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 5 décembre 2017 à 13:30

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • AYR 5 décembre 2017 à 12:09
    Monsieur d'Omerson est mort ce qui doit bien laisser indifèrent 90% de la population ce qui a pour avantage que l'evènement ne restera guère à la Une. Notez que je n'ai rien contre ce monsieur assurément talentueux, paix à son âme et tout ça sans oublier la famille. Je m'interroge juste sur ces gens importants dont tout le monde, enfin le monde hors media, se fou.

  • Laflume 5 décembre 2017 à 12:08
    Nous devons à d'Ormesson et ses aveuglements de sympathique réactionnaire une des plus belles chansons de Jean Ferrat:


    Un air de liberté

    Les guerres du mensonge les guerres coloniales
    C'est vous et vos pareils qui en êtes tuteurs
    Quand vous les approuviez à longueur de journal
    Votre plume signait trente années de malheur

    La terre n'aime pas le sang ni les ordures
    Agrippa d'Aubigné le disait en son temps
    Votre cause déjà sentait la pourriture
    Et c'est ce fumet-là que vous trouvez plaisant

    Ah monsieur d'Ormesson
    Vous osez déclarer
    Qu'un air de liberté
    Flottait sur Saïgon
    Avant que cette ville s'appelle Ville Ho-Chi-Minh

    Allongés sur les rails nous arrêtions les trains
    Pour vous et vos pareils nous étions la vermine
    Sur qui vos policiers pouvaient taper sans frein
    Mais les rues résonnaient de paix en Indochine

    Nous disions que la guerre était perdue d'avance
    Et cent mille Français allaient mourir en vain
    Contre un peuple luttant pour son indépendance
    Oui vous avez un peu de ce sang sur les mains

    Après trente ans de feu de souffrance et de larmes
    Des millions d'hectares de terre défoliés
    Un génocide vain perpétré au Viêt-Nam
    Quand le canon se tait vous vous continuez

    Mais regardez-vous donc un matin dans la glace
    Patron du Figaro songez à Beaumarchais
    Il saute de sa tombe en faisant la grimace
    Les maîtres ont encore une âme de valet

  • DéLecteurdeVraiThé 5 décembre 2017 à 11:57
    Jean d'Ormesson
    Quel beau nom avec deux nasalisations

    Nous ne sommes guère grand chose
    Poussière nous finissons poussière
    Et nos châteaux finissent eux en Espagne

    Stéphane Bern versera la plus grosse larme
    Car il n'est rien de plus émouvant que la fin d'un aristocrate pour ceux qui aiment les ors de la royauté

    Jean d'Ormesson était charmant et cajoleur de bons sentiments mais je n'ai pas été l'écouter quand il est venu à Strasbourg à la Librairie Kleber. C'est que j'étais accompagné la tête pleine de misères humaines, de celles qui n'ont pas leur place dans des journaux comme Le Figaro, de celles qui ne s'effacent pas à une tournure de phrase et un bon mot.

    Que de décennies nous séparent de Victor Hugo et de Dickens !

  • Clio77 5 décembre 2017 à 11:54
    Il y avait bien plus à dire sur cette idolâtrie et notre société que ces propos sur le physique et l'orthographe inclusive! C'est du travail bâclé!


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