ReOpen911 18 février 2014 à 23:08
Il est en effet intéressant de s'intéresser aux biais de confirmation et de narration, puisque nous en sommes tous victimes.

Voici l'article que nous avons consacré au sociologue Gérald Bronner qui a des difficultés à voir les siens :
Gérald Bronner ou le côté obscur de la sociologie

joelle lanteri 17 février 2014 à 15:21
les français ne sont pas suffisement pauvres ,à la rue ,pour accpeter n'importe quoi comme salaire mais ils vont y arriver !!!
travailler pour survivre voilà la mondialisation de la misère qu'ils proposent

Mlemaudit 17 février 2014 à 14:12
l'info marrante du week end c'était ça:

http://www.metronews.fr/info/vous-etes-une-merde-integrale-nicolas-dupont-aignan-se-paye-frederic-haziza/mnbp!OqdMSpBpdEoA/

il était temps que quelqu'un lui dise à Haziza, pour un journaliste, c'est toujours embetant d'être le dernier informé. :-D

Tony A 17 février 2014 à 13:12
Quand l'Etat est plus puissant que les grands pouvoirs privés, en matière d'économie du territoire, il fait de l'aménagement. C'était la mission de l'ancienne DATAR.
Quand il est plus faible, il fait une politique d'attractivité. Autrement dit : la danse du ventre.

charlie.lapared 17 février 2014 à 11:44
Depuis longtemps, je ne lis plus la presse papier (sauf Fakir), je boycotte les JiTés et autres émissions de "causeries politiques"... donc hier soir, quelle n'a pas été ma surprise, en voulant regarder et écouter Jean-Luc Mélenchon sur B.F.M., d'entendre, dans la bouche des journalistes présentes sur le plateau :
- tout l'argumentaire du MEDEF chez une Edwige ch'éplusquoi, clone de S. de Menthon au point que j'ai cru qu'elle en était le porte-parole invitée pour l'émission
- tout l'argumentaire d'un gouvernement ultra-libéral pour les autres "travail cher, trop d'interventionnisme de l'Etat, etc. "
- tous les mensonges du F.N. sur quelques chiffres

Donc bon, pourquoi les journalistes diraient-ils la vérité alors que c'est tellement plus simple et reposant (pour eux) d'endormir les foules en recopiant les sujets pré-mâchés qui leur sont envoyés par les cabinets des divers ministères concernés par la réunion en question.
Lesquels sujets ont d'ores et déjà été pré-mâchés par quelques directives lancées par le MEDEF et ... allez, quelques pigeons exilés à San Francisco ?

Ptilou 17 février 2014 à 11:33
Le cirque Barnum continue... Vive la politique spectacle!

emilie bouyer 17 février 2014 à 10:34
Pendant que les patrons en France refile le boulot à l'étranger,on demande aux patrons étrangers de refiler du boulot au français...C'est moderne. Et si on pouvait au passage assouplir le droit du travail.la durée du travail et alléger un peu plus les salaires...Empapaoutés par la presse .Empapaoutés par le pouvoir... On a de la chance.

JIEM 92 17 février 2014 à 10:25
Bonjour
Et pendant ce temps là on fabrique des histoires fausses avec les chiffres que vous ne voulez pas voir
Franchement la liberté occidentale a du plomb dans l'aile (ou cela fait longtemps que sa propagande existe à l'insu de notre plein gré).

BuboBubo 17 février 2014 à 10:18
C'est là qu'il est précieux de se rappeler à quel point Hollande et ses responsables de com' sont sensibles à l'avis des torchons anglais, comme on s'en souvient après l'épisode de "mon adversaire, c'est la finance", qu'ils s'étaient empressés d'édulcorer auprès de nos chers rosbifs de la City ...

Au-delà des mécanismes (utilisation d'indicateurs aussi robustes qu'une bonne bouse bien fraîche) par ailleurs très bien décrits, il faut se poser la question de l'adhésion de l'action politique aux moindres sursauts de la [s]presse libérale[/s] presse.

freudqo 17 février 2014 à 10:15
En même temps, un compte rendu précis, circonstancié et mesuré de la situation du pays n'intéresse personne. Dire que finalement, on s'en sort pas si mal malgré la crise économique, que nos problèmes datent de bien avant (ou plutôt notre problème), ça n'intéresse personne.

Quel politique ferait rêver en disant une chose pareille ? Non, il faut que la France soit ce pays en perdition au pied du mur de l'inévitable désastre et au bord du gouffre où elle court à sa perte. Quel que soit le côté de l'échiquier, vous trouverez des travailleurs en souffrance, des entrepreneurs entravés ou des artisans désespérés. Et dans un pays où le journalisme sert servilement le politique, eh ben il faut raconter la bonne histoire.

Msettimio 17 février 2014 à 09:59
Un premier de la classe doit forcémént réussir, les fayots du FMI itou, et purtant...

La Fortune comme une jolie fille, choisit parfois, un balourd au grand dépit des premiers de la classe.

Les britanniques devraient se réjouir, et pourtant ils incitent les français à retenir les industriels plutôt qu’à les laisser partir en Grande Bretagne où on leur déroule le tapis rouge et aménage un code du travail aux petits oignons..

Si tous les bateaux de la route du rhum prenaient la route des alizées il n’y aurait pas de suspens, les favoris gagneraient à tous les coups.

Les britanniques ne supportent pas qu’on suive une autre route qu’eux, ça pourrait marcher et donner des idées à ceux des leurs qui pensent qu’il y a une autre politique possible.

ceci n'est pas un pseudo 17 février 2014 à 09:55
décidément on n'en a pas fini avec les anglais, nos meilleurs ennemis.

Cultive ton jardin 17 février 2014 à 09:52
Cocorico et cocoricrac sont les deux mamelles nationalistes où s'abreuve aujourd'hui, paradoxalement, le libéralisme. Quelqu'un pour nous expliquer ça?

Ervé 17 février 2014 à 09:49
Des investisseurs chinois dans la cour de l'Elysée.
Photos et selfies, à la manière d'un Thomas Wieder dans le bureau ovale.
De ces responsables dépend l'avenir économique de la France. Sérieusement.

M.Pat 17 février 2014 à 09:48
Et pendant ce temps Cameron demande l'aide de l'UE car son gouvernement ne peux faire face aux inondations dans son pays. Quelle blague...