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  • ceci n'est pas un pseudo 28 novembre 2017 à 07:44
    "C'est ce que nous voulons voir". Macron aux burkinabés.

    Bon, vous avez compris, les nèg' ?

  • Youri Llygotme 27 novembre 2017 à 12:23
    La FI aurait-elle donc raison?

  • sylvie 26 novembre 2017 à 15:58
    Vous avez raison l’essentiel n’est pas là. Mais ses mots traduisent cette espèce de mépris qui imprègne bien souvent les propos d’Em2.

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 26 novembre 2017 à 10:39
    Heureusement que nous avons des journalistes honnêtes, cultivés, pondérés, indépendants ; parce que s'ils étaient pleutres, soumis, ignares et corrompus, qu'est-ce qu'on serait dans la mouise.

  • mimile 24 novembre 2017 à 22:59
    Je crois que l'interprétation de DS est fausse : elle se défend du fait que son budget sera insuffisant pour arriver à tenir la promesse de Macron. Ceci dit, oui, il n'y a pas vraiment de mépris de classe dans cette parole de ministre (pour une fois).

  • Ervé 24 novembre 2017 à 13:19
    Pas de neuf-quinze aujourd'hui, c'est black friday.
    DS fait depuis ce matin le tour des commerces, et je ne vais pas tarder à en faire autant pour bénéficier des remises sur tout ce dont je n'ai pas besoin.

  • supergromama 24 novembre 2017 à 11:23
    Je trouve que les interrogations de Daniel Schneidermann sont légitimes. Loin de moi l'idée de prendre la défense de la ministre ou de Macron!
    Mais là encore cela prouve la nécessité de s'informer véritablement avant de "s'enflammer" sur twitter ou ailleurs. Ce battage autour d'une petite phrase
    empêche tout le reste du sujet sur le remboursement des lunettes d'être approfondi.... Et c'est dommage.

  • shigeyuki 24 novembre 2017 à 00:52
    Levothyrox + lunettes chanel = MEPRIS
    Oui.

  • cirneaf 23 novembre 2017 à 20:49
    C'est drôle, mais "panier de soins", moi ça me donne des frissons. Entre la nécessaire qualité et le luxe, il y a un fossé. Serait-ce à dire que la nécessaire qualité n'est pas nécessaire pour tous ? Ou que le luxe ne concerne que les idiots qui auront les moyens de se le payer.
    À la fin, contexte ou pas contexte, il y a dans la manière de présenter les choses de ce ministre (et de bien d'autres) quelque chose qui met bien mal à l'aise.
    Quelque chose comme de la charité de dame patronesse de l'ancien temps.

  • Damh 23 novembre 2017 à 20:45
    Les mots ont quand même du sens, parler de "panier de soins" est déjà assez révélateur: on ne parle pas de sécurité sociale mais plutôt de consommation/marché de soins...

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 23 novembre 2017 à 18:02
    La proportions de feignants ne cesse de croître parmi les jaloux.

  • DéLecteurdeVraiThé 23 novembre 2017 à 17:38
    Bon faire du Macron bashing, ça ne sert à rien qu'il soit haut de gamme ou bas de gamme
    On n'est pas là pour disséquer du sexe des anges, on sait que le Sauveur Macron est celui que ses disciples ont élus et mis en place. Point final, fermez les guillemets.

    Épitre de Gattaz "Contrôler les chômeurs, c’est les accompagner"
    Explication de texte, le contrôle au fasciés, c'est de la protection avancée

    Et puis peut-on mal comprendre les mots de Agnès Buzyn, elle qui sur son compte Twitter milite pour les solidarités à travers les mots de Jaurès qu'elle cite.

    Non plus de bashing, faisons du praising, de la louange, de la glorification, peut-être qu'ainsi nous ferons vibrer la corde du ridicule chez ceux qui en semblent dépourvus totalement et parle de solidarités alors que dans le même temps, ils n'ont de mots plus dénigrants pour ceux qui font face aux plus grandes difficultés.

  • HBK 23 novembre 2017 à 16:55
    Cette chronique pourrait avoir du sens dans un monde où Bernard Friot n’existe pas.

    Le point le plus choquant n’est pas le mépris de classe, mais la stupidité qui consiste à considérer la santé comme un coût.

  • PONTEUXIN 23 novembre 2017 à 15:03
    "On n'est pas là pour offrir des lunettes Chanel..."
    Le long de nos routes on lit "le conseil départemental (ou régional,ou le ministère...) TRAVAILLE POUR VOUS.".
    On est content et on les remercie bien et,après réflexion, on se dit que ces gens n'ont pas sorti les fonds de leurs escarcelles MAIS DES NÔTRES...Et puis ceux qui ont fait le boulot étaient des travailleurs du public ou du privé dont aucun n'émargeait au budget des élus du conseil départemental (ou autres élus)...Et parfois de sacro-saintes rétrocommissions avaient enrichi les dits élus!
    De même les lunettes sont payées par les cotisations sécu et mutuelle et non par la largesse de Buzyn et Macron.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 23 novembre 2017 à 14:41

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Jiemo 23 novembre 2017 à 14:07
    "Je n'ai pas une enveloppe financière prédéfinie dans laquelle j'essaie de faire entrer les soins au chausse-pied"

    Cette phrase m'est incompréhensible , j'ai beau y chercher sa signification , je ne la comprends pas.

    La conclusion de l'article reflète pourtant ce qu'il faut mettre en avant.

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 23 novembre 2017 à 13:36
    L'idée d'une planification des besoins- à l'origine du concept de " panier de soins"- définit très précisément le stalinisme économique. Quand aurons-nous droit à une vraie réflexion sur le luxe ?

  • hansolo 23 novembre 2017 à 13:06
    Suffit de voir "Pièces à conviction" consacré aux Maisons de retraite ou Mme Buzyn intervient pour se faire une idée du mépris et de la suffisance de cette dernière
    J'ai du mal à croire que Daniel n'a pas vu cette émission

  • Carnéade le Fataliste 23 novembre 2017 à 11:59
    Je dois être le seul mais je trouve que Daniel a raison. Le reste du discours montre quelle était l'intention, et l'intention est plus importante que le détail d'un propos (ou on se retrouverait à justifier la condamnation des Filoche et autres maladroits)

  • GPMarcel 23 novembre 2017 à 11:58
    Quoique, à la réflexion de mes verres anti-reflets, laissant passer la belle robe rouge de ce carbernet franc-merlot, avec un nom comme Buzyn il n'est pas étonnant que cette dame là, fasse le Buzz.


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