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  • Ervé 17 octobre 2017 à 20:08
    La Une de ELLE.

  • OH 17 octobre 2017 à 15:40
    http://www.leparisien.fr/faits-divers/bertrand-cantat-les-verites-du-juge-qui-l-a-libere-13-10-2017-7329999.php

    Un avis peut-être à entendre ? Sans me crier dessus ?

  • Oblivion 16 octobre 2017 à 09:17
    En juillet dernier, Gala nous avait gratifié d’un article titré Tuer passionnément à propos de Cantat.
    PAS-SION-NÉ-MENT !

    Gala annonçait son dossier ainsi :

    Une star de la chanson, une actrice hollywoodienne ou un champion du monde sont-ils des justiciables comme les autres ?

    Revivez les grands procès de 12 personnalités au destin tragique et sulfureux, depuis la découverte des corps jusqu’au verdict, en passant par les rebondissements de l’enquête, forcément à sensation !
    Le désarroi de Marlon Brando, le scandale Michael Jackson, le cauchemar vécu par Charlize Theron, l’horreur des affaires Bertrand Cantat et Oscar Pistorius : autant d’énigmes et de drames que la justice s’est efforcée de résoudre, malgré l’extraordinaire notoriété des protagonistes, accusés ou victimes.


    Donc, au milieu de gens qui ont eu affaire avec la justice, nous trouvons Charlize Theron.
    J’aimerais bien connaître le grand procès qu’elle a connu, moi. L’affaire des bijoux qu'elle n'a pas portés ?

    Non, parce qu’en fait, Charlize Theron, c’est sa mère qui a tué son époux en état de légitime défense.
    Son père Charles sombre peu à peu dans l'alcoolisme, et se montre de plus en plus distant vis-à-vis de sa famille. Puis, un jour de 1991, alors que Charlize est de retour de l'école pour le week-end, sa mère Gerda subit à nouveau les violences de son mari, et le tue par balles en état de légitime défense. Aucune poursuite judiciaire n'est engagée.

    Mais c’était sans doute sympa (sensation !) de mettre une victime dans le lot de ceux qui tuent, violent.

  • Youri Llygotme 14 octobre 2017 à 12:26
    L'affaire Ferrand classée sans suite: j'imagine déjà que le 9:15 de lundi va être saignant.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 13 octobre 2017 à 18:49

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Anthony 13 octobre 2017 à 15:23
    dur dur d'imaginer à quel point l'esprit de ce type est «anormalement» constitué... ne pas se rendre compte de ce qu'il symbolise aujourd'hui. J'imagine que dans une société égalitaire et juste nous ne nous poserions pas toutes ces questions... mais là ... pffff

  • SL 13 octobre 2017 à 13:56
    Je suis assez choqué par le dernier paragraphe, dont les mots clés sont "on n'en sait rien". Et pourtant vous tirez des conclusions définitives :
    "Cette interview est exclusive"... sauf s'il en donne d'autres.
    "Habituellement ça se passe comme ça"... mais pas toujours.
    "La direction a refusé de répondre"... donc on va deviner ce qu'ils pensent dans le secret de leurs âmes.
    "Aucune raison que ça se soit passé différemment"... et aucune preuve non plus.

    Même dans un édito, ça fait tâche ce genre de chose sur @si.

  • Cyril CAMUS 13 octobre 2017 à 13:55
    Un album de rock français intitulé Amor Fati? Je me demande si le groupe de punk Guerilla Poubelle serait en mesure de lui intenter un procès... ;-)

  • shigeyuki 13 octobre 2017 à 12:28
    Oui chronique intéressante qui éclaire encore autrement l'interminable suite des maltraitances violences patriarcales faites aux femmes et qui sont en ce moment révélées peu à peu.
    Imaginons une seconde l'inversion suivante:
    "Lady gaga tue à coup de poings son amant Louis Garrel!" ( Pure fiction of course)
    Une rédemption aussi flatteuse que nietzschéenne lui serait-elle accordée?
    Ah ce musée des grands HOMMES!

  • Remi 13 octobre 2017 à 12:28
    Peut être cela a t'il déjà été dit mais la décence aurait voulu que lui décide des conditions de cette exclu et qu'il s'oppose à l'utilisation de son image en une. Y a t'il une logique économique aussi à chercher de ce côté là ? Certainement pas une logique éthique en tout cas.

  • Didier Sztern 13 octobre 2017 à 12:01
    Au delà de tout, ce qui m'est personnellement et réellement insupportable, c'est qu'un homme ayant tué une femme à coups de poings puisse encore partager une quelconque pensée
    philosophique ... se permette de donner publiquement son avis et ses éternelles leçons démagogiques sur le Brexit ou les migrants ... Quand on est un homme qui a tué une femme à coups de poings, on la ferme ... tout simplement ...

  • Iznogoud64 13 octobre 2017 à 11:59
    Tant que Bertrand Cantat ne dit pas qu'il est fier ce qu'il a fait (ce serait condamnable comme apologie de crime), il n'y a juridiquement rien à reprocher, ni à lui, ni aux inrocks.
    Financièrement, c'est un jackpot pour les inrocks, et un énorme buzz.
    Conclusion : pourquoi voulez-vous qu'ils s'en privent ?

    La morale en prend peut-être un coup, certes.
    Mais bon, la morale, un patron de presse s'en fout.

    D'autre part, le gros problème avec la morale, c'est qu'elle est subjective.
    Beaucoup de gens s'insurgent contre la visibilité médiatique de Cantat, d'autres se réjouissent de son retour.
    On peut juger que les premiers ont raison, mais les seuls arguments sont des arguments moraux, qui diffèrent pour chacun.
    C'est votre droit de penser que votre vision du monde est la meilleure, pas de l'imposer à tous.

  • Msettimio 13 octobre 2017 à 11:56
    La simplicité n'a rien à voir avec la pauvreté d'esprit.
    D'après ce que j'ai compris, l'excès d'analyse et d'intellectualisation durcit le sentiment, ferme le cœur, obnubile l'esprit et empêche d'éprouver le sentiment si simple de "common decency".

  • Fran?ois Chevret 13 octobre 2017 à 10:12
    Etonnant quand même cette exception culturelle dont on parle en France. Aurait-on accepté que n'importe quel autre meurtrier fasse la Une d'un hebdo ? C'est la même justification pour Polanski "Oui, mais quand même, c'est un grand réalisateur qui a fait des chef-d'œuvre." Certains seraient au dessus de tout. Raison économique, oui, sans aucun doute, il faut vendre, il faut créer l'événement. Quand aux Inrocks et leur nouvelle formule, il faut vendre et ce n'est pas la Une de JR qui a attiré de nouveaux lecteurs, donc en revenir aux choix éditoriaux bien gras, bien lourds. A des Unes qui ressemblent à des affiches de bêtes de foire, où l'on présente le monstre.
    Question est-ce que les annonceurs suivent ? Est-ce que Dior ou Chanel ont envie de cette proximité ?

  • Ervé 13 octobre 2017 à 10:03
    Au nom de quoi boycotter Bertrand Cantat ?
    Au nom de la décence, du respect dû à sa victime et à ses proches.
    Mais c'est trop demander aux charognards, aux pisse-copies mercantiles des Inrocks.
    Et à vous, visiblement, qui cautionnez leurs choix.

  • Bellatrix 13 octobre 2017 à 09:58
    Il est intéressant, cet éclairage sur la proximité entre journalisme culturel et promotion. On s'en doutait un peu, vous nous indiquez les modalités.

  • alain-b 13 octobre 2017 à 09:58
    Je pose là ce texte touchant et juste http://www.diasteme.net/2017/10/11/marie/

  • Tristan Le Gall 13 octobre 2017 à 09:57
    Je tique sur votre dernière phrase, Daniel:
    [quote=DS] Pour peu qu'on prenne une décision rédactionnelle, et pas économique.
    Le choix d'accorder cette place à Cantat, et dans ces conditions, est une décision rédactionnelle. Peut-être pas celle que vous et moi aurions prise, mais ça n'en reste pas moins un choix qu'ils ont fait et qu'ils doivent assumer, en bien ou en mal. Avec votre formulation, on a l'impression qu'ils n'avaient pas le choix, que les motifs économiques interdisaient tout autre choix.

  • Pierre DEGOUL 13 octobre 2017 à 09:55
    D'abord, il faudrait arrêter de parler de "meurtre" ou, pire, d'"assassinat" parce qu'il semble assez évident que CANTAT n'a pas eu de volonté homicide.
    De fait, il a été condamné pour des faits de violences ayant entrainé la mort, que l'on qualifie souvent de 'coups mortels'.

    Ensuite que l'on parle de "Vilnius' n'est pas dérangeant, même si les termes de l'interview ont été négociés

    Ce qui l'est, en revanche, c'est que l'on ne parle jamais de son ex, mère de ses enfants, qui avait été larguée, et qui l'a pourtant soutenu lors de l'épisode 'Vilnius'.
    Après la libération de CANTAT, elle s'est pendue, au domicile conjugal, les enfants présents. La signification de ce geste terrible, de la part d'une femme intelligente et sensible, n'est jamais exploré.

    J'aimerai savoir si CANTAT a des regrets, la concernant.

    Elle s'appelait Christina RADY.


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