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Tatanka
Intéressant.
Intéressant aussi de voir qu'on parle toujours des Bougjloulistans mais pas de cheu' nous. Nous sommes pourtant sur la même voie....
Hé hé hé...
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Vive le roi
La "dictature" brésilienne, c'est 21 années d'horreur pour 400 morts. Le "bonheur" gauchiste de Lula et Roussef de ces 10 dernières années, c'est 500 000 morts. 67 000 rien qu'en 2017 . Vous avez raison Daniel, on a bien un problème en France avec la manipulation des mots et l'asphyxie idéologique.
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Jiemo
...un autre pas vers l'abîme : https://twitter.com/i/status/1056954106865160192
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Yanne
Ce qui m'ennuie le plus, dans cette situation, c'est que le front de la gauche mondiale est en train de s'effriter en Amérique du Sud, qui en était le bastion le plus prometteur.
Actuellement, les idéaux pacifistes, non violents, égalitaires et de liberté sont en recul partout dans le monde, sauf une toute petite partie de l'Europe du Sud.
Les libéraux sont en train de gagner partout, quittes à organiser des dictatures, à la grande mode des années 70 avec la CIA aux manettes., avec l'excuse à l'époque du danger communiste.
Là, on a beaucoup de mal à y croire...
Sale temps pour l'avenir....
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DéLecteurdeVraiThé
Pour ceux qui voudraient avoir un avant goût de ce que fut et sera la dictature brésilienne
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thomas roulet
Avez vous remarqué la réaction des marchés financiers ? Non ? C'est normal . Il n'y en pas. L’horreur est compatible avec les marchés bien sur . Trump et les autres idem ... Et grace a eux, les Macron se presensent comme grand defenseur des libertés et de la democratie ... egalement soluble dans le marché. Bolsonaro, c'est avant tout, l'horreur financiere, en passant par Macron, jusqu'a Tsipras ...
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grrrz
j'en profite pour relayer ce qui se passe en France coté répression politique:
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Tristan Le Gall
Comme d'habitude, quand la démocratie libérale vacille, c'est l’extrême droite qui en profite. Ce n'est jamais la gauche.
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grrrz
en l'occurence il n'y AUCUNE ambiguïté, aucune "nuance", aucune espoir de "ce sera pas si pire", encore moins qu'avec Trump. Jusqu'à présent les fascistes avançaient à visage masqué, ils utilisaient des euphémismes, des "code words", pour faire passer leurs idées en contrebande (que ce soit les hommes politiques dans les discours ou les milieux fafs)
tout ça c'est fini, maintenant on ne se cache plus. et le pire c'est qu'il reste toujours de la marge entre l'horreur des mots et l'horreur des actes à venir.
voir cette vidéo:
https://www.youtube.com/watch?v=0dBJIkp7qIg&index=7&list=PLJA_jUddXvY7v0VkYRbANnTnzkA_HMFtQ
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Germain RITAL
État de droit et démocratie
la conviction implicite que l'on ne peut pas véritablement sortir de la démocratie, comme le souligne l'historienne Maud Chirio, cette étrangeté visuelle a contribué à un large aveuglement européen sur la situation brésilienne.
L'itw de Maud Chirio est très éclairante. Non seulement par ce qu'elle nous apprend sur les préoccupantes intentions du président qui vient d'être élu mais, surtout, parce qu'elle nous conduit à dissocier ce qu'abusivement nous confondons: à savoir, démocratie et état de droit. En témoigne ainsi - aussi implicitement que fondamentalement - l'itw même de l'historienne qui utilise le terme de démocratie comme si celle-ci était synonyme d'état de droit. Alors que Tocqueville devrait lui avoir appris que la démocratie, loin d'être l'opposée de la dictature, est non même simplement une figure de celle-ci: "dictature de la majorité", "tyrannie de la majorité", ainsi qu'il la définit, mais qu'elle est , beaucoup plus gravement, porteuse du danger d'un despotisme aussi inouï qu'insoupçonné: ce que les divers totalitarismes du siècle dernier (fascisme, communisme, nazisme) ont depuis largement avéré. Ce que l'on nomme populisme aujourd'hui en est la menace désormais: la dictature de fait de la majorité au nom d'une "égalité" dont on oublie qu'elle n'est que "de conditions", comme Tocqueville sut le préciser, engendre en effet nouvellement le projet - plus expressément sécuritaire qu'économique à présent - d'une tentative de suppression plus ou moins progressive des libertés.
Aussi bien : "La liberté, pourquoi faire ?" : comme après son retour de six ans d'exil au Brésil Bernanos en publia la question. L'itw de l'historienne laisse espérer qu'une fois de plus en ce pays et - quoi qu'il puisse en coûter - la réalité se chargera de démontrer que la réponse à la question n'est autre que celle-ci : invincible est la passion de la Justice au coeur de l'humanité.
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Hallucined Imposteur
Slogan de plus en plus d'actualité, hélas:
Election piège à cons !
Bon, j'aurais pu vanner en paraphrasant le commentaire cinglant de Colluche pour les pâtes "Bolino":
"Pas la peine de l'essayer, "Bolsonaro", à jeter aux chiottes directement"
Mais là pas envie du tout.
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Avatar
Puisqu'une image vaut mille mots :
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Cultive ton jardin
Et chez nous, on renverse la maxime de Victor Hugo, "Ouvrez une école, fermez une prison" en "moins de profs, plus de flics" dans les lycées, les collèges et pourquoi pas les crèches? Faut habituer assez tôt nos bambins à respecter l'Ordre Nouveau.
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DéLecteurdeVraiThé
Les bras m'étant tombé depuis longtemps
il ne me reste plus rien
Je navigue entre les inepties et mensonges du menteur pathologique d'outre Atlantique
qui n'exprime aucun sentiment de compassion au lendemain de la tuerie de Pittsburgh
et n'a qu'une accusation : la synagogue n'était pas assez armée
Sur la grande Synagogue de la Paix de Strasbourg, il y a ces mots : "Plus fort que le glaive est mon esprit "
Si les peuples imbéciles se dotent partout de chefs comme Trump et ce Bolsonaro,
il faudra remplacer ces mots par le contraire, reléguant l'esprit au fin fond des valeurs humaines
s'il en reste encore quand on voit cette perversion intellectuelle, cette action immorale qui consiste à détourner un ouvrage fut-il le plus innocent (tel ce Titeuf) de ce qui en fait la substance première
Seule restera alors la bête
La démocratie enfante elle-même les monstres qui la tuent
et parfois même les prestidigitateurs comme Macron capables de faire croire qu'ils sont le contraires de ce qu'ils sont et défendent
Jacques Weber « Macron est un grand escroc, un mensonge permanent, une dichotomie entre le discours et les actes. »
Et ce n'est pour autant que j'absous les électeurs : faut tout de même être taré de chez taré comme celui-là qui se réclame "gay" et vote Bolsonaro en disant qu'il ne faut pas prendre à la lettre tout ce qu'il dit...
Et ces autres qui ont élu Trump et l'ont laissé faire ces appels au lynchage et autres invectives et à qui aujourd'hui Fox News cache les vitres du van de l'auteur des attentats à la bombe car ces vitres ne sont remplies que d'affichettes reprenant les propos de Trump
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Ervé
Espérer que les stades ne servent qu'à la pratique du futjebol...
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Alain Gérard
C'est Jair, pas Jaïr.
Pas de tréma en portugais, n'ajoutons de l'horreur orthographique au dégoût matinal. -
GPMarcel
Et les élections,
et les votes régleront tous les problèmes des Mondes.
Amen.
Beaucoup, encore essaie de titiller, caresser, réveiller la Démocratie enfermée dans l'urne en y glissant, ô symbole, un bulletin enveloppé.
Encore une fois...loupé!.
Ne vous a-ton pas dit que Dieu est au-dessus de tout!
Bien avant, les Olympiens vainquirent les Titans.
Qu'en reste-t-il?
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Robert·
"frontières de l'inimaginable, '
l'imaginable a peut-être des frontières, on ne peut en imaginer à 'inimaginable.
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HBK
Prochainement sur vos écrans !
Ah non, on me dit dans mon oreillette qu’on a déjà une droite extrémiste au pouvoir.