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Jelomar
Nouvel accès de botulisme de notre "pompeux cornichon national" (dixit Daniel Mermet) qui confond Cassen et Cassen:
http://www.acrimed.org/article3507.html -
JREM
Et en plus personne ne lit ses livres!
ventes -
aux abonnés absents
Je vois que la bastonnade continue. Vous ne vous êtes pas rendu(e)s compte que BHL était déjà loin ? Vous tapez dans le vide mes pauv'zamis !
Quelqu'un a écouté Florence Aubenas sur France Culture ce matin (réécouter) ? J'avais déjà un à priori défavorable sur sa démarche mais après avoir dû supporter ses gloussements pendant toute l'émission, et pas seulement les siens ceux des autres aussi, ça ne s'est pas arrangé. -
Cassandre
" JUSTICE AU SINGULIER " (sur le blog de Philippe Bilger)
" BHL tout de même sur France Inter !
Ce matin, Bernard-Henri Lévy était l'invité de Nicolas Demorand sur France Inter.
Le philosophe-écrivain a été brillant comme d'habitude mais deux questions fondamentales lui ont été posées qui, me semble-t-il, l'ont mis mal à l'aise, son oralité remarquable peinant à convaincre.
Avant d'aborder ces deux moments, je voudrais faire un sort à la question d'un auditeur qui avec ironie a conseillé d'inviter encore plus souvent BHL sur France Inter, puisqu'il venait pour la septième fois en quatre ans (Le Post). "Le malheureux" a été renvoyé dans ses cordes avec désinvolture, voire un peu de mépris comme si sa remarque n'avait pas de sens et ne méritait pas d'être discutée.
D'abord, une telle attitude est choquante. Je ne vois pas au nom de quoi tel ou tel devrait être tourné en dérision. Si on désire des auditeurs selon des critères bien définis, il faudrait le dire.
Ensuite, il est passionnant de connaître les secrets de fabrication d'un produit, les modalités préparatoires d'une émission. Sept fois en quatre ans, ce n'est pas rien et plutôt que de se débarrasser d'un impertinent avec une chiquenaude, il aurait mieux valu nous révéler les raisons évidentes d'une telle sollicitude. Celle-ci est d'ailleurs d'autant plus étonnante en cette période qui a vu BHL bénéficier d'un "matraquage" inouï pour la sortie de ses deux derniers livres. Il n'est pas honteux que France Inter s'agrège à cette masse promotionnelle mais pourquoi ne pas avoir le courage de l'affirmer, de l'assumer ? En tout cas, il est paradoxal de sembler reprocher à BHL une médiatisation que par ailleurs on favorise sans véritable nécessité sinon celle de médias qui ne maîtrisent plus leur destin et s'abandonnent à des opérations de pure complaisance. Les curiosités, sur ce plan, sont donc parfaitement légitimes.
Enfin cet auditeur, au-delà du cas de BHL, aurait permis, si on l'avait respecté, une réflexion même rapide sur le cercle restreint des invités sur France Inter le matin. C'est un petit monde, en définitive, et par moments, même si l'émission a beaucoup de succès, on étouffe à écouter les mêmes développer les mêmes arguments, dans le domaine politique, social ou culturel. L'intervenant apparemment a commis le pire : le crime de lèse radio. Obliger une radio à justifier ses choix. La pire des offenses alors que tant de choses sérieuses la mobilisent!
Venons-y.
BHL s'est défendu de n'avoir pas la moindre empathie pour la cause palestinienne. Il a rappelé son opinion, selon lui constante depuis son premier article consacré à ce sujet : la nécessité de deux Etats indépendants, israélien et palestinien, coexistant dans une mutuelle considération. Apparemment, ce qui faisait problème, c'est que toutes les positions publiques de BHL avaient été perçues comme unilatérales, en faveur seulement d'Israël. Je suis persuadé que son intuition sensible aux mouvements médiatiques et soucieuse d'un équilibre auquel il dit tenir le conduira peut-être à infléchir son discours sur cette dramatique et lancinante réalité qui, faute d'être apaisée, gangrène la vie internationale.
Enfin, une joute stimulante a opposé BHL à Bernard Guetta. Un peu de temps tout de même pour l'essentiel que cet éditorialiste réputé n'a pas éludé. Bernard Guetta a résumé la pensée philosophique et politique de BHL - qui avait évoqué la question du Mal comme étant centrale - en une triple détestation : antifascisme, anticommunisme et anticolonialisme. Or, selon Guetta, ces trois dangers n'avaient peut-être pas disparu mais n'imposaient plus une veille quasiment obsessionnelle qui détournait forcément BHL des problèmes fondamentaux d'aujourd'hui. Ce qui, pour une fois, a sorti ce court débat de l'ordinaire des confrontations avec ce philosophe, c'est que Bernard Guetta ne s'est pas laissé faire ni séduire à bon compte. Notamment lorsque BHL a invoqué le fascisme, "le réflexe fasciste" à l'encontre de Georges Frêche ayant traité les harkis de sous-hommes, l'éditorialiste s'est franchement esclaffé et on ne peut que l'approuver. Qualifier de fasciste tout propos, dont la bêtise vulgaire et l'arrogance nulle sont d'abord le terreau, c'est banaliser cette pathologie historique. Cohn-Bendit tombe dans le même travers en assimilant Frêche à Mussolini (JDD.fr). Il faut garder le fascisme pour la "bonne" tragédie, l'enfer véritable. Il n'est pas partout ni dans tout. Bernard Guetta a pointé la tendance de BHL à fuir aujourd'hui et ici pour livrer des combats où sa culture générale lui sert infiniment. La prose quotidienne des luttes de la misère et de l'inégalité, quoi qu'il en dise, n'est pas "son truc".
La huitième invitation de BHL sur France Inter, c'est pour bientôt ? " -
Boddisatva
La capacité de Daniel Schneidermann à constater qu'il n'est pas antisémite sans que ça prenne des journées entières est impressionnante. Dommage que ni Siné ni Pierre Péan n'aient pu profiter d'une telle puissance d'analyse. -
corentin MASSOT
BHL invité sur le plateau de Demorand dans C Politique cet après midi même. Qu'on ne me fasse pas croire à une réelle bastonnade... Comme l'avais signalé un auditeur, 7 fois en quatre ans sur inter. il est chez Demorand en terre ami, tout le monde le sait. -
Varlin
Est-ce qu'aujourd'hui il y a encore des Pierre Vidal-Naquet et est-ce qu'on trouverait un grand journal qui accepterait de publier ce genre de démontage ? -
JREM
L'opportunisme de BHL n'a pas de limite.
Voilà un communiqué de pressequi salue de façon bizarre l'ours d'argent de
Polanski pour la mise en scène de son dernier film au festival de Berlin.
A quel titre BHL publie-t-il ce communiqué? Est-il producteur du film?
Comment peut-il se permettre ces 'éloges" pour un jury? En quoi le fait
de donner un prix à une mise en scène qui le mérite certainement justifie que
l'on parle de l'honneur d'un jury?
De quelle meute parle-t-il? Ne fait-il pas une promotion grotesque du livre
de son ami Yann Moix si élégamment intitulé La meute?
Ne peut-on parler du manque de courage du jury qui n'a pas osé
donner l'ours d'or, pourtant mérité, à Polanski dont le film est exceptionnel?
Au fait les deux derniers livres de BHL, ils se vendent bien? Combien de pigeons? -
yann-ber
"Musclé" l'échange sur France Inter ce matin? Une promotion de plus pour de nouvelles marchandises sur le marché oui, France Inter Boutique.
Ce qui est désolant c'est qu'il n'y ait pas de véritable analyse du travail de l'auteur. Rien que du blablabla.
Sur le site du Nouvel Obs, nous sommes renvoyés à des articles intéressants sur l'auteur, dont un de Castoriadis, mais, mais c'est peu.
Quand l'auteur-vendeur, nous fait remarquer que la journaliste du Nouvel Obs a participé à la promotion de son livre sans parler de Botul, c'est intéressant. Quand la journaliste explique pourquoi elle a agit de cette façon, c'est également intéressant.
Les journalistes se borneraient à promouvoir parce qu'ils sont polis et payés pour ça, mais là il y a eu remords de ladite journaliste???
Maintenant on ne parle que de l'anecdote Botul, que du vide, et blablabla, et cela ne nous informe pas, cela ne nous rend pas moins bête.
Y a-t-il vraiment une presse, une critique, ou n'est-ce qu'un circuit de promotion? Tous ces gens qui causent, écrivent, se pavanent ne sont-il que du petit personnel au service de la marchandise?
Je me suis abonné à @si après avoir vu une émission en libre accès qui tentait de montrer les possibles rouages des images télévisuelles, comme autrefois dans le poste de télé. Cela m'a intéressé.
Maintenant sur @si, je suis obligé de trier parmi un tas de choses qui ressemblent à la soupe que l'on sert dans tous les trucs du PAF.
J'ai l'impression de retrouver ce même milieu qui envahi la radio: la famille pipole où l'on ne parle que de la famille pipole entre membres de la famille pipole. Une consanguinité à faire peur. Ras la casquette des pipoles !
Tant que vous parviendrez à m'étonner de temps en temps avec de belles et solides choses, ça ira encore un petit bout de chemin.
Et mettez toujours plein de liens. Je ne suis pas doué pour les trouver moi-même. -
frederic pape
C'est la nouvelle maladie du siècle: lire du BHL ou visionner du paul grignon peut vous rendre antisémite.
Mais bordel, c'est quoi un sémite ? C'est dangereux ou quoi cette histoire ? J'ai peur ! Y'a un vaccin de prévu ? -
Gaël Champigny
Exactement, les cas BHL/Botul, BRP/Didier Porte, sont en tout point semblable à l'affaire Val/Siné, c'est les même relents nauséabonds qui refont surface, les même raccourcis grotesque prétextant l'antisémitisme comme seule réponse à toute critique négative.
Attention, aujourd'hui dans notre pays, si vous n'aimez pas le goulash, c'est que vous êtes antisémite : si vous aimiez les juifs, vous mangeriez du goulash !
Si vous n'avez pas ri devant "La vérité si je mens", c'est également que vous n'aimez pas les juifs, car si vous n'étiez pas antisémite, ce film aurait normalement dû vous faire marrer !
J'imagine donc que, de même, si vous n'appréciez pas les écrits de Tahar Ben Jelloun, ou l'humour de Jamel Debbouze, c'est que vous n'aimez pas les musulmans...
Si vous n'aimez pas non plus les chroniques de Guy Carlier, attention: cas flagrant de racisme anti-gros !
Et si on n'est pas d'accord avec les idées de Le Pen, c'est de l'anti-bretonnisme primaire ? -
Jelomar
Par curiosité, je viens de me connecter à Google et j'ai tapé "accusation d'antisémitisme".
Faites de même. C'est édifiant !
Mon sourire, d'abord amusé, s'est peu à peu transformé en agacement puis en franche inquiétude face à cette moderne inquisition.
Incroyable !!! -
Gaël Champigny
Bruno Roger-Petit nous a déjà fait le coup, à propos d'Arthur, sur lequel Didier Porte tape systématiquement, à cause, selon BRP, "d'Arthur, sa fortune, son argent, son train de vie", et ceci répété au moins cinq ou six fois dans l'article, pour bien laisser sous-entendre que si Didier Porte s'en prend si souvent à Arthur, c'est uniquement pour dénoncer "sa fortune, son argent, son train de vie", comme Arthur, est, lui aussi, juif. Apparement, BRP n'a pas imaginé un instant que si Didier Porte ne rate jamais une occasion de se foutre de la gueule d'Arthur, c'est surtout parce qu'Arthur est un des plus gros producteurs d'émissions télé merdiques du moment, qu'il fait aussi des spectacles tout aussi merdique, et que s'il s'enrichit, c'est grâce à des soaps-reality pourri comme Koh-Lanta, La Ferme, ou autre daube insipide du même genre... -
Varlin
Si l'on comprend bien, c'est un antisémitisme inconscient, qui a guidé les critiques de BHL.
Peut-être bien que Philippe Boggio, lui-aussi, lit dans le secret de l'âme... -
vpl
Datant de quelques jours, et pas aussi explicite sur l'antisémitisme rampant de la critique de BHL, il y avait aussi la chronique de Bruno Roger-Petit, qui semble voir derrière chaque emballement "webien" une sorte de tribunal du puritanisme aux sous-entendus nauséabonds. Il y voit une façon de lui faire payer son soutien à Polanski !!!
http://www.lepost.fr/article/2010/02/09/1931700_bhl-et-le-philosophe-qui-n-existe-pas-une-bourde-qui-tombe-bien.html
Je pense que BRP n'est pas aussi explicite sur ce soupçon parce qu'il doit se rendre compte confusément que c'est n'importe quoi, mais quand même, comment peut-il écrire :
"Et sans doute se trouvera-t-il un zozo, ici où là, pour gloser sur le train de vie de BHL... Un type qui cite un philosophe qui n'existe pas et gagne de l'argent avec ses livres a-t-il le droit moral de posséder une grande maison dans un pays du Maghreb? Mais ça ne sera pas grave, ce sera juste pour rire... De toutes façons, riche et puissant, c'est louche non?" -
marie-laure guettai
ha très très bon papier!
Encore une preuve avec le papier de Boggio qu'il vaut mieux réduire le discours pour mieux l'écarter!
He ben ouai! Face à la raison, rien ne vaut la démagogie! Merci Boggio de nous prendre pour des cons!
Henri Levy se dit intellectuel! Il est donc normal de reprocher son manque de travail intellectuel! Non? -
Serge ULESKI
Comment s’attribuer, en toutes circonstances, le beau rôle ?!
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La force de BHL, après toutes ces années, ça reste son culot qu’il met inlassablement au service de la recherche d’un beau rôle qui est toujours... le meilleur des rôles : celui qu’il faut occuper et tenir d‘une main de fer, une fois tous les prétendants évincés.
Une gueule, un look d‘enfer, une parole compassionnelle, et bien qu'il sache aussi se faire oublier, patient, dans l'attente de la prochaine opportunité qui lui permettra de briller seul, jamais BHL n'hésite à s’attribuer le beau rôle, et l'on pourra que difficilement le lui reprocher car, enfin, qui d'entre nous, n'a pas rêvé de pouvoir en toutes circonstances, occuper ce rôle, le beau rôle, pour ne plus le quitter, offrant ainsi à notre entourage médusé et comme envoûté, le meilleur de nous-mêmes - magnificence, probité, admiration, rayonnement ...
Un avantage d'une valeur inestimable, ce beau rôle érigé au rang de véritable concept chez BHL (doit-on accueillir là une de ses rares contributions à la philosophie, sinon la seule ?) et qui le protège de toute remise en cause sur le fond - pour peu qu'il y en ait un... de fond : abysses ou bien, petit bassin pour poissons rouges ?
Ce beau rôle fera de tout détracteur un jaloux, un envieux ou bien, un individu sans coeur lorsque BHL se répand dans les médias pour sauver la planète, un pays, un peuple, le temps pour lui de se préparer à en sauver un autre, ailleurs, quelque part, et plus tard, à son heure qui est la sienne et celle de personne d’autre.
Plus BHL se produit en public, plus la critique s'acharne sur lui. Contre productive, plus la critique s'acharne sur BHL, virulente, plus elle contribue à forger son image, à la sculpter et à la renforcer ; elle est aujourd'hui indissociable du personnage qui s'en nourrit, voire même, s'en délecte car, sans cette critique, BHL peine à exister.
Intellectuel et philosophe pour une classe moyenne dont le flirt avec ce qu'elle croit être "le monde des idées" aussi famélique et timoré soit-il, trahit sans aucun doute un besoin de supplément d'âme, admirative aussi de ses coups de gueule qui ressemblent le plus souvent à un coup de force sur nos consciences...
A défaut d'un Tapie parti en congé - BHL étant chez les Intellectuels ce que Tapie est à la politique : un intermittent amoureux de son propre spectacle, de sa propre image dans le gigantesque miroir médiatique auquel il a librement accès jusqu'à en abuser -,
Nombreux sont ceux qui ressentent le comportement et l’omniprésente de BHL dans les médias - incantations, effets de manche, ton péremptoire -, comme une gêne, un malaise et parfois même, jusqu'à la colère : en nous, le sentiment qu’on nous vole notre intelligence, qu’on nous prend en otage ; et puis, surtout : la certitude que BHL parle des autres pour mieux parler de lui, en boucle.
Pour tout interlocuteur, pas d’échappatoire ni de contestation possible : il doit se soumettre ou bien, quitter les lieux au plus vite : avec BHL, il n'y a de place que pour BHL.
La couverture médiatique de BHL est à ce point disproportionnée comparée à sa production intellectuelle, philosophique et littéraire, sans oublier sa contribution (ou son absence totale de contribution) aux débats autour des graves questions économiques et sociales qui secouent régulièrement la société française (après trente ans de carrière, on cite à son sujet un ou deux livres, et seulement) que très vite on a le sentiment que l’on cherche à nous tromper ; et c’est alors que BHL en devient plus insupportable encore aux yeux de ceux qui connaissent d’authentiques acteurs sociaux, auteurs, intellectuels ou philosophes contemporains.
Comme une injure ou bien, une blessure, lancinant en nous le sentiment que... plus BHL semble vouloir s’occuper des autres, plus il s’occupe de lui.
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Avec BHL on peut sans peine identifier le profil type de l’escroc... mais, on ajoutera : escroc honnête - escroc malgré lui, dirons-nous ; on lui épargnera donc l'attribut de Tartuffe, puisqu'on lui accordera, en dépit de tout, le bénéfice du doute : la main dans le sac, à la sortie du supermarché, entre deux vigiles, il niera tout en bloc car, jamais Bernard Henri Lévy ne se résoudra à avouer que BHL est seulement intéressé par BHL, incapable qu'il est - du moins, c'est à espérer -, de soupçonner en lui une telle duplicité, et ce malgré les nombreuses « alertes » qui lui sont adressées depuis vingt ans.
C’est à se demander de quoi BHL est conscient ? (Peut-on y trouver là une piste quant à la rareté, voire la pauvreté de sa production en tant qu’intellectuel ?)
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Plus largement, et dans un Don Quichottisme qui, nul doute, en fera sourire plus d’un, peut-on et doit-on continuer de dénoncer la complaisance et la paresse de médias qui ne manquent jamais de nous servir tout au long de l’année des émissions aux débats non-contradictoires, par avance, verrouillés - émissions faire-valoir aux contenus promotionnels à peine cachés, aux invités plus indigents les uns que les autres, tout en nous promettant le Panthéon -, et alors que cette pratique s’est généralisée dans tous les médias quels qu’ils soient - télés, radios, journaux, revues, internet ?
Et la réponse ne se fera pas attendre...
Plutôt l’indignation, même au prix du ridicule, que l’indifférence et la résignation qui se répandent telles un poison dans le sang, dès qu’on cesse de dénoncer les abus de pouvoir, les mystifications, les connivences et les supercheries de toutes sortes, même et surtout, sous prétexte et sous le couvert de tenir le "beau rôle". -
aux abonnés absents
Je ne savais même pas qu'il était juif. De toute façon je m'en fous.
Pourquoi Slate.fr est-il allé se fourrer dans cette galère ??? Colombani n'a pas encore compris que le ridicule tue ? -
Gavroche
BHL s'est auto-entarté, il est soudain atteint de botulisme, mais on s'en tape, et d'ailleurs tout le monde trouve sa prose indigeste......
Voilà la morale de l'histoire... -
Gaël Champigny
De toute façon, vu le climat de merde puant la suspicion qu'il règne aujourd'hui dans ce pays, dés qu'on dit du mal ou que l'on critique quelqu'un qui soit, de prêt ou de loin, d'origine ou de confession juive, on est tout de suite catalogué antisémite, et ça, ça commence à me sortir par les trous de nez, c'est insupportable ! On a le droit d'être circonspect quand aux écrits de BHL, et même de le critiquer à tout va, sans rien avoir contre sa judaïcité ! Le fait que je trouve que c'est un clown pathétique n'a aucun rapport avec sa religion, il pourrait être musulman, bouddhiste, ou adorateur de Raël, ça ne changerait pas mon opinion quand à ses écrits !
Pour prendre un autre exemple, dans le cas de la phrase de Georges Frêche sur "la tronche pas catholique" de Fabius. Sans vouloir légitimer les propos de Frêche, mais j'aurai pû moi-même sortir cette phrase lors d'un repas de famille, par exemple, sans aucune arrière-pensée, puisque c'est justement à l'occasion de cette polémique que j'ai apprit les origines juives de Laurent Fabius, je ne le savais absolument pas avant ! Cela aurait-il fait de moi un antisémite notoire ?