Traroth 11 octobre 2022 à 13:06

Il y a un problème de fond qu'on ne peut pas faire oublier : la cellule de lutte contre les VSS d'EELV n'a pas estimé nécessaire d'interroger Bayou. Et ça, en soi, c'est un problème.

lycaste 7 octobre 2022 à 10:24

Je soupçonne cette personne outrancière de ne pas avoir digéré sa courte défaite aux  primaires d'EELV et de chercher à mettre la main sur le parti.

Par ailleurs ce flicage d'un individu par n'importe qui est hallucinant. Pourquoi se gêner? C'est un "mâle blanc" donc il est coupable. Qu'est-ce qu'on dirait si on accusait une "femme  noire"? C'est de la faute du mec s'il est né blanc et de sexe masculin? Moi j'appelle ça du racisme. Ces aberrations ne font pas de bien à la cause des femmes (j'en suis une). 

Talleyrand a dit "tout ce qui est excessif est insignifiant". A méditer.

Docteur Panel 5 octobre 2022 à 20:18

Je ne comprends pas cette phrase : "Sur ce plan, jusqu'à aujourd'hui : rien, alors que l'ex-compagne de Bayou cite des faits précis, avec certains journalistes." qui me paraît en contradiction avec tout le reste de l'article et même le début de la même phrase, qui dit que justement il manque des faits concrets. Ou alors elle dit des choses en "off" ? A vrai dire cette chronique me semble illustrer l'emballement général : indignation publique trop précoce sur un fait trop peu caractérisé, et une fois le coup parti, tout le reste n'est déterminé que par le coup d'avant - bien ou moins bien joué -  plutôt que par le fait originel. C'est le cas pour l'accusatrice, pour la cellule d'EELV, pour les femmes de la boucle whatsapp, pour Bayou, jusqu'à ASI : 2 chroniques à si peu d'intervalle pour ce "fait divers" c'est beaucoup, mais Daniel, vous semblez vous sentir devoir un droit de suite. Finalement personne n'a rien à gagner à cette histoire, sauf Sandrine Rousseau qui quel que soit le dénouement, gagne des heures d'antenne gratuites chaque fois que ce sujet est à l'affiche.

Fr@nck 5 octobre 2022 à 19:15

Il y a une coquille dans l'article : vous avez ecrit que Sophia Aram est humoriste!

J'imagine que c'etait ironique mais on ne sait jamais.

Tatanka 5 octobre 2022 à 18:41

Ça avance, ça avance

Décadence

Tristan Le Gall 5 octobre 2022 à 17:04

Contre offensive? Daniel s'est enfin décidé à parler de l'Ukraine ? 

Ah non. 

GPMarcel 5 octobre 2022 à 16:35

Pour ceux qui seraient passer à côté de ce bijou de  "vomissures" dégueulé sur France Inter par guillaume roquette du figaro magazine ayant pointé ses culottes chez valeurs actuelles....le mardi 04 Oct 2022

Alors on finit ou pas le boulot de 89

Voici son dégueuli, aucune réaction du nicolas ou de léa. Ils devaient se faire les ongles ou jouer au tennis de table.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/en-toute-subjectivite/en-toute-subjectivite-du-mardi-04-octobre-2022-3205227

Bartabac 5 octobre 2022 à 15:30

Si ça c'est pas une société en décomposition , ça y ressemble fortement .Surtout que quand on a pris acte de ce qui heurte l'autre il suffit de ne plus le faire et point besoin d'inquisition .Cette situation est d'une débilité , mais c'est toujours pareil ,quand un coup leur réussi , ils ne savent jamais s'arrêter , ils se noient toujours dans l'outrance . Et c'est un manque d'intelligence de ne pas comprendre les limites .

Davesnes 5 octobre 2022 à 15:02

Quand elle a dit qu'elle avait l'intention de me quitter, j'ai trouvé ça d'une grande violence psychologique. Auprès de qui je peux me plaindre ?

GPMarcel 5 octobre 2022 à 13:47

Ça sent très fort la décomposition...

Incitatus proclamé Consul par Caligula. Celui-ci était fou a-t-on dit?

Coupe du monde au Qatar et la clim en temps de restrictions énergétiques 

Jeux d'hiver asiatiques en Arabie Saoudite qui n'a jamais vu un flocon...

Le Cap ferret veut un bout de méditerranée*

Je veux absolument manger un steak de dinosaure*

Je veux que les parigots quittent la vallée d'Aspe*

Bref tout va bien. Et hop!!

Rions, rions camarades. Ça s'emballe.

* Propositions que je déposerai en mairie avec, il se peut, une camisole de force ou l'appui d'un avocat  qui ne soit pas du Mexique.

Erwan 5 octobre 2022 à 12:43

Cette question spécifique n'est pas intéressante, mais la dynamique qui est derrière l'est plus a mon sens : la violence est historiquement de moins en moins acceptable et rejetée comme illégitime. Dans ce contexte les violences faites aux femmes sont dénoncées, et inévitablement cela va au delà des violences les plus visibles. Mais du coup le refus de cette violence-ci va amener toutes sortes de questions sur plein d'autres formes de violence encore considérées comme acceptables ou inévitables : société de consommation, de répression, de rapport de force, de reconduite a la frontière, de compétition éducative, intellectuelle et économique, de dommages collatéraux, de misère psychologique et sexuelle...  On en accepte beaucoup, des violences. On préfère ne pas y penser.

claude315 5 octobre 2022 à 12:21

Daniel , franchement , on s’en tape . 

Dacoda 5 octobre 2022 à 11:07

Daniel vous faites, avant hier, une chronique sur la sobriété médiatique et vous rempilez ce matin sur l'affaire Rousseau-Bayou-EELV qu'on ne sait plus quoi en dire tellement tout se dit  (il y a le temps de l'enquête désormais, que l'on a bien pris soin au passage de mettre après les déclarations, d'où tout ce tapage, une nouvelle fois).

A l'instar de Mme Clémentine Autain, n'y a t-il pas des sujets avec du contenu à médiatiser davantage : tiens par exemple deux proches de Macron et haut placé dans le gouvernement sont mis en examen, dont il faut le faire, un ministre de la justice et un bras droit de l'Elysée suspecté de prise illégal d'intérêts. J'veux dire ça devrait tous nous retourner. 

Très bon titre lu sur Médiapart : "Kohler, Dupond-Moretti : et soudain, il ne se passa rien".

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 5 octobre 2022 à 11:05

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Ata Raxie 5 octobre 2022 à 10:54

Joseph K.   aimerait bien qu'on lui parle des réactions présidentielles démesurées et  d'une cruauté absolue  envers ses fidèles ( et innocents ) collaborateurs, absolument intègres et désintéressés.

chenine 5 octobre 2022 à 10:50

J'ai le sentiment que Bayou est également victime de violences psychologiques de la part de ses ex.

Avec les violences psychologiques (vs physiques) je pense qu'on doit pas être loin de l'égalité homme/femme en la matière.

poisson 5 octobre 2022 à 10:39

Il manque "c'est ce soir" du 27/09, où l'avocate rappelle que c'est en juillet qu'il y a eu une réelle mise en avant journalistique. La question à Rousseau n'était qu'une "réplique" au sens volcanique. Et tout le monde se demande pourquoi sa réponse, mais personne pourquoi la question? 

Julien Bayou vient-il montrer qu'il est cuit, avec ses orbites creusées, pour qu'on le laisse tranquille?, ou vient-il tenter de sauver sa carrière politique? 

Est-ce que ça m'intéresse? Non. 

On aimerait manger du "Dupont-Moretti a présenté sa démission qui a été acceptée, Darmanin se retire de la vie politique pour faire de la télé avec Stéphane Plaza, le président du sénat lâche Macron et l'oblige à répondre des actes qu'il assume, Benalla, Sarkozy, Ppda vont en prison,etc." et non, rien de tout ça. Mais c'est pas une raison pour croire qu'on est prêt à se goinfrer de cette fast-food indigeste. 

Simon 5 octobre 2022 à 10:36

sacré règlement de comptes à OK EELV. ça donne l'impression qu'on touche aux limites des cellules internes de traitement des violences sexuelles. pour une fois j'ai tendance à être du côté de Bayou. les accusations qui le visent sont imprécises et ne semblent pas relever du pénal.

Ke-sais-je 5 octobre 2022 à 10:31

 " Dépourvue d'âme, la femme est dans l'incapacité de s'élever  vers Dieu. En revanche, elle est est, en général, pourvue d'un escabeau pour s'élever vers le plafond, pour faire les carreaux. C'est tout ce qu'on lui demande. "

(  abbad  ou Desproges )

Bénard 5 octobre 2022 à 10:29

Dingue, cette histoire. Il ya quand même une marge entre les violences sexuelles et les violences psy. Je ne dis pas que ces dernières ne sont pas graves, mais dans cette histoire la démesure des accusatrices (sans preuves formelles) est sidérante. À devenir anti féministe (heureusement ça ne m'arrivera pas).