Max Médio 9 mars 2023 à 23:31

Barré , à la différence d’Hanouna, lui, le fait exprès d’être grossier et vulgaire.

jbbron 7 février 2023 à 19:00

excellent, rien à ajouter, il manque des jean yanne

l'ôtre 1 février 2023 à 14:48

Merci  pour cette chronique et la citation. Je pense encore à une réplique d'Agnès Jaoui à la fin de "Un air de famille", qui fait remarquer à sa mère sa vulgarité de sentiments (celle de la mère), alors qu'on lui reproche sa grossièreté (à la fille). 

Dans le même ordre d'idées, une petite chronique sur le management de Sandrine Treiner à France culture, et le rapport qui doit sortir sur ledit management ? (voir article de Télérama : https://www.telerama.fr/radio/sandrine-treiner-quitte-france-culture-les-coulisses-d-une-demission-surprise-7013978.php). 

Sans rien savoir de tout cela, je me souviens l'avoir entendue une fois se moquer des auditeurs, dans l'émission du médiateur. Dans la même veine... Le mépris. 

Il faut un être humain, à ce genre de poste.

clomani 31 janvier 2023 à 14:55

Vive la grossièreté ! Vos gueules les sales cons vulgaires ! Pauvres suceurs de b... cathos-bolloréens !

VivlaLib 31 janvier 2023 à 10:59

Virer un humoriste qui évoque sans détours un sujet grave, (Hanouna et ses sbires), comme c'est petit ! ...et flippant !

Cultive ton jardin 31 janvier 2023 à 09:45

Selon Télérama,  ce serait plutôt "l’évocation des liens entre le groupe public et la société Banijay, propriété de Stéphane Courbit" qui aurait déplu. 

On le comprend: il y a de plus en plus de privé dans le public*, à qui il ne restera bientôt que la coquille, et il est malséant de rendre visible ce qui doit rester discret. 

* renseignez-vous, c'est valable pour TOUS les services publics, santé, enseignement, institutions, à coup de sous-traitances diverses le "public" est de plus en plus source de fric pour le privé.

TDC13 30 janvier 2023 à 18:46

rien de grossier chez l'un mais beaucoup de vulgaire chez l'autre

Hmm hmm 30 janvier 2023 à 18:29

Ça me rappelle la première "chronique de la haine ordinaire de Pierre Desproges". Il y parlait de son message de répondeur qui disait "bonne année mon cul!", puis il expliquait que c'était "suffisamment grossier pour que les cons trouvent ça vulgaire"

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 30 janvier 2023 à 18:12

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Papillon 30 janvier 2023 à 16:02

La grossièreté est-elle une réplique efficace à la vulgarité ? 

Vive Emmanuel Barré!!!

FORTUNALAND 30 janvier 2023 à 14:26

Visiblement, c'est d'abord parce qu'il n'a pas pu faire un sketch sur Brigitte Macron qu'il a été viré !

Ghis 30 janvier 2023 à 14:20

Vulgaire ou simplement dégueulasse :

entendre que 64 ans n'est "plus" négociable

avoir entre 1 et 2 millions de personnes dans la rue et faire comme si cela n'existait pas

dire que ce sont les grévistes qui "bloquent le pays"

Merci pour la chronique !

Altiliger 30 janvier 2023 à 14:20

« Moi c’est moralement que j’ai mes élégances. » Cyrano

Il faudrait étudier rigoureusement la place et la fonction consenties à l’humour et aux humoristes par les radios d’État. Un peu plus que ne l’établit la chronologie des censures et censurés dont on trouve trace dans les commentaires, même si en soi elle en dit l’essentiel.

Comment et pourquoi la tolérance recouvre et neutralise leurs effets, tout en donnant caution d’ouverture, de place à la critique. 

Il faudrait donc décoder en commençant par les horaires d’expression, limites, alignements jusqu’aux complicités feintes ou réelles avec les journalistes canoniques qui parlent avant et après, qui donnent la parole pour la reprendre, (au sens du droit canon dans l’église catholique, apostolique, hypocrite et romaine par exemple, droit canon même informel, non écrit.). Partage de la parole autorisée, sérieuse, pertinente, avec celle légère, joueuse, potache, irresponsable et pourquoi pas un rien impertinente. Un rien, s’entend. Comme celle du Fou énonciateur et critique autorisé, toléré, supporté même, mais surtout institué, c’est-à-dire circonscrit pour ne pas dire circonvenu. Bref, une déconstruction de fond. 

Une certitude déjà, celle qui veut que ce sont des points de forme qui sont déterminants et qui prévalent sur les questions de fond. Ainsi, ça n’est jamais parce qu’un humoriste est impertinent, voire grossier, qu’il est viré, ou censuré, ou démis, ou amener à se démettre, mais parce qu’il a prononcé gros mots interdits, expressions triviales évidemment insultantes, diffamantes, ou qualifiées comme telle pour s’en débarrasser.

Il est exigé de lui du panache. Qu’on l’admire pour son style. Qu’on en oublie la charge. Qu‘on exalte son talent. On sait pertinemment que noyé dans la masse et les flux du conformisme ambiant, le fond disparaitra. 

Mais qu’il reste! Pour adouber le mirage d’une liberté dans l’expression qui serait liberté d’expression.

Et qui l’est. 

Du moins jusqu’à un certain point. 

Point que le libertaire sous caution ne doit pas franchir. Sous peine de. 

Traroth 30 janvier 2023 à 13:57

Ce sketch aura permis de rendre parfaitement clair que France Télévisions participe aux concours de gâteries à Bolloré, en tout cas. Et on ne comprend pas trop pourquoi, en fait.

Bartabac 30 janvier 2023 à 13:49

Imitation superbe d'Hanouna , courage devenu exceptionnel dans une vie pourtant courte . Ah putain la fraicheur du matin sur une paire de couilles ou sur de grandes lèvres , Certains n'auraont jamais ce plaisir ! 

john z'guéner 30 janvier 2023 à 13:04

franchement la chronique est marrante, et pas si vulgaire que ça en comparaison de ce que Barré a pu faire/dire/filmer auparavant

il y a beaucoup plus grossier et choquant: envoyer sa femme déblatérer sur des sujets qui font office de contre-feux pour qu'on oublie la réforme des retraites, laisser un ministre accusé de viol en poste et afficher son soutien (ici j'aurais pu mettre au pluriel), avoir fait de la "république exemplaire" un modèle de corruption assumé, "convaincre" avec le 49-3, dire qu'on a été "mal compris" quand on a dit une grosse connerie (mais qui aurait pu prévoir...)... et on pourrait allonger encore la liste

Demander la réécriture d'un texte tout en prétendant accorder une vraie liberté d'expression, puis tortiller pour expliquer que oui mais en fait non, il a du talent mais c'est lui qui est parti: un magnifique exemple de grossière obséquiosité envers les puissants (qu'ils soient présentateurs sur une chaîne de télé, où habitent à l'Elysée)

Et en plus, avec le bordel que ça fait, PEB a une tribune en or!

Traroth 30 janvier 2023 à 12:59

Si Pierre-Emmanuel Barré meurt dans un accident de moto, dans 5 ans tout le monde dira qu'il était génialissime. Mais il n'est pas mort, donc il peut encore dire des choses qui déplaisent...

Pekebou 30 janvier 2023 à 12:37

Puisque l’on parle de grossièreté et de vulgarité, écoutez l’interrogatoire de Marine Tondelier par Sonia Mabrouk

https://www.acrimed.org/Jeu-de-massacre-sur-Europe-1

Asinaute sans pseudo 1b4fc 30 janvier 2023 à 12:32

Je préfères 1 000 000 de fois la grossièreté de PEB !
Cette grossièreté, utilisée de cette manière, sert son propos.

La vulgarité de l'autre débile ou de son patron sert ... La soupe ! Et elle est pleine de merde, cette soupe.

beren57 30 janvier 2023 à 12:13

"on peut être extrêmement grossier sans dire un seul gros mot"

source : un air de famille, bacri/jaoui.