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  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 5 octobre 2017 à 14:22

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  • veraicona 5 octobre 2017 à 11:04
    Certes, la violence d'Angot... Mais c'est le vide même d'après la violence qu'exprime ce "on se débrouille". Une victime qui exprime à une autre victime son impuissance d'après, la vie après. Le discours de madame Angot est puissant et lumineux sur la nécessité de transcendance, sur le travail d'écrivain, d'artiste.Il y a tout le procédé de production propre à la télévision, montage, modération, spectacle... Christine Angot ne tient pas dans ce format, elle l'explose littéralement. Moix, lui est entre deux, trop malin surement... Discours de droite, discours de gauche... Est-ce vraiment le sujet, est-il nécessaire de déconstruire le discours systématiquement par un prisme aussi manichéen ? Christine Angot choisit sa propre voie, elle est alors dans le rôle qu'elle s'est donner, celui de faire oeuvre littéraire. Ce qui doit être revu, c'est le procédé télévisuel. Est-il nécessaire d'avoir un public ? Des invités en promo et muets ? Un intermédiaire qui ne se charge que de présenter le livre face caméra ?

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 4 octobre 2017 à 20:31

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  • Youri Llygotme 4 octobre 2017 à 14:58
    On en parlait déjà il y a longtemps, ce n'est pas moi qui l'ai inventé: L'ouverture de la fille de Mme Angot

  • IVA B 4 octobre 2017 à 09:17
    Angot, un écrivain majeur ? Pourquoi ? Qu'est-ce qui justifie une telle opinion ?

  • abracadabra 3 octobre 2017 à 21:41
    Pour moi, l'échange est un dialogue de sourds parce que les deux ne me semblent pas parler de la même chose. Le sujet principal, c'est la question de la "formation pour accueillir la parole", notamment dans un parti politique. Angot pense qu'aucune formation n'est possible sur le sujet, il s'agirait d'une question d'aptitude, d'une capacité d'écoute innée (elle insiste que ça doit se faire avec "des oreilles"), dont peu d'êtres humains seraient capables. Mais de quoi parle-t-elle ? Evidemment, si l'on fixe comme objectif d'une "sensibilisation" à cette question le fait de soulager, voire guérir les trauma d'une victime, c'est perdu d'avance. Mais, à mon sens, ce n'est pas l'enjeu de la question "d'accueillir la parole" dans un parti politique, une institution ou toute autre structure; Il ne s'agit pas tant de mettre en place un processus, un process, une procédure, comme elle parait le reprocher à Sandrine Rousseau, que d'informer une population susceptible d'être confrontée à ce cas de figure, de la préparer. Et bien sûr il ne s'agit pas de faire croire que cela va régler tous les problèmes de la victime. Pour faire un parallèle un peu faiblard je l'admets, être pompier secouriste n'est pas donné à tout le monde, mais on peut quand même apprendre les bonnes réactions à avoir en cas d'accident. Ca permet d'envisager la suite sous de meilleures auspices. La société doit se donner les lieux et les moyens pour que la collectivité puisse réagir adéquatement et accompagner au mieux les victimes de ces situations. Angot parait parler d'autre chose, ou alors sous-estime complètement le pouvoir de "sensibilisation" des individus sur un sujet, du travail précisément des idées et des idéologies du temps.

  • AF30 3 octobre 2017 à 19:33
    On est à priori en sidération devant le crime sexuel subit par C. Angot. On a quelque gêne à s'autoriser un avis : la distance est trop grande entre cette expérience traumatisante et la méconnaissance radicale qu'on en a. Cependant une victime n'a pas, au nom même de sa douleur, tous les droits. S'il en était ainsi - et ce n'est pas le cas fort heureusement - toutes les victimes pourraient, alors, tout se permettre. Il me semble que, si ce c'est pas totalement le cas pour C. Angot, on n'en est pas loin. Son agressivité est difficilement supportable et c'est, à contrario, sans doute, elle qui la rend si intéressante pour les médias. Pour terminer je dois avouer qu'elle m'est insupportable et qu'il a peu de chance que je lise une de ses oeuvres.

  • Yanne 3 octobre 2017 à 18:12
    J'ai suivi l'histoire, mais comme je n'ai pas vu l'émission du tout, je n'ai rien compris.
    J'écris pour dire que je n'ai pas d'avis.

  • Pierre DEGOUL 3 octobre 2017 à 16:56
    C'est rare.
    Mais je suis en totale désaccord avec l'auteur du billet.
    Christine ANGOT, un auteur majeur ? Une plaisanterie !
    Je l'ai lu son dernier bouquin : je fais donc partie de l'élite, c'est bien ça ?

    Indigence ? Bêtise ? J'hésite pour qualifier le fond.
    Sur la forme ? L'hésitation est moins permise : il n'y à rien à dire. Ou plutôt si : si mon fils ainé avait torché les mêmes pages, je me serais étonné qu'il ait pu décrocher son bac.

    Le problème ce n'est pas le "c'est comme ça". Même s'il dénote une cruauté évidente, un manque abyssale d'empathie. Toute humanité quoi.
    Le problème c'est que cette hystérique dispose d'une tribune pour injecter son fiel sans, au surplus, justifier par la raison, son attitude. Elle en viendrait à nous faire regretter ZEMMOUR.

  • emilie bouyer 3 octobre 2017 à 16:29
    Juste une chose à dire :le trio Ruquier-Moix-Angot, c'est pas difficile, je ne les regarde pas. J'ai du mal à voir en eux des gens dignes d'intérêt

  • Benjamin 3 octobre 2017 à 15:04
    Franchement, sur le fond c'est Rousseau qui a raison (elle a bien le droit d'écrire ce qu'elle veut, même mal) mais sur la forme, c'est plutôt Angot à mon sens (ses violence et sortie sont légitimées par le viol subie et non condamné). Voilà pour les images, je veux dire voilà pour les présentes. Reste deux absents. A qui le tort est insondable.

    Si un tort pour les images doit être retenu, c'est ONPC qu'il faut condamner pour ne pas avoir réussi à garder un équilibre et une dignité.

  • Fitz_ 3 octobre 2017 à 13:48
    Malgré la sympathie que vous portez à Angot, Daniel (je n'ai pas lu ses livres, je ne saurais juger), sur ONPC, elle joue le rôle de snipeuse/chienne de garde à la classique Ruquier
    et doit donc être jugée comme tel.

  • evemarie 3 octobre 2017 à 13:41
    mais dans la politique c'est comme ça non Daniel ? tout a droite .. On a pas le droit au protectionnisme , sinon on est une folle ... Et perso bien que je dise l'inceste que j'ai vécu (les victimes n'ont rien a cacher , elles) , ça ne m'a jamais amené de sympathie, plutôt de l'agressivité des mâles et une bonne raison pour m'humilier encore plus, puisque j'ai été atteinte sexuellement je n'ai aucune crédibilité a parler de féminisme. Et c'est votre point de vue aussi Daniel. Je vous ai écris les articles qui mettent en scène la violence sexuelle de Korkos (out le temps), et de vous lors d'un article justement sur l'inceste, vous m'avez répondu que vous fessiez comme vous l'entendiez (votre c'est comme ça' ), l'émotion des victimes n'est rien a coté d'une possibilité de buzzz .. arrêtez donc de soutenir faussement les victimes alors que certains de vos titres sont racoleurs et violent sexuellement.
    'Le harcèlement sexuel est puni par la loi.' ha bon ? pas vue ça moi, quand on demande aux mecs d'arrêter de nous regarder, ils répondent en coeur avec les vielles femmes 'ben , t'es là' alors , donc comme on et visible dan la rue , on peut nous regarder pendant autant de temps que le mec veut ..c'est surement pour ça qu'on est moins longtemps dans les rues, parce qu'on est pas des tableaux et qu'être regarder est ressentit comme une agression par les HUMAINS, mais les femmes ne sont pas des humains , juste des objets.

  • iarwain 3 octobre 2017 à 13:41
    C'est dommage d'avoir coupé la séquence dans laquelle Angot se serait réfugiée en coulisse, alors que c'est la seule valeur ajoutée par une chroniqueuse hystérique.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 3 octobre 2017 à 13:17

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • tosh 3 octobre 2017 à 12:22
    -

  • Jenny 3 octobre 2017 à 12:20
    Très bonne intervention. Je vous retrouve.
    (Parce que depuis la dernière émission et chronique à ce sujet, j'étais un peu déroutée...

  • Lyonnais 3 octobre 2017 à 12:19
    Ce genre de polémiques me fatigue... Je me refuse à plaindre ceux et celles qui se font agresser, dans ces émissions,ils y vont en sachant ce qui les attend.
    Concernant arrêt sur image j'ai résilié mon abonnement à compter du 12 octobre, l'intérêt des chroniques ayant singulièrement baissé...

  • nobody 3 octobre 2017 à 11:46
    Angot se veut a priori seule propriétaire du droit au viol (?) et ne veut laisser les privilèges de la victime à personne d'autre qu'elle-même.Il est vrai que c'est un bon filon "littéraire", ou du moins qui fait bien vendre du papier imprimé.

  • Anthony 3 octobre 2017 à 11:28
    Je ne suis pas chroniqueur aussi j'y vais direct : cette femme est barge ! il suffit de regarder quelques minutes pour voir qu'elle a un grain assorti d'un égo surdimensionné.


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