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LionelXIII
Bonjoir,
La droite, (entre autre) c'est "chacun pour soi, dieu pour tous" (il n'est pas question de solidarité, mais de "charité" de "bonne action")
Le social, c'est comme les assurances, on privatise, c'est l'affaire des religions.
Le "galérien" est responsable de sa situation, il ne veut pas se bouger, (pour certains il est prédestiné, c'est encore pire, y'a rien à faire!)
dieu récompense les winners, et puni les loosers. Propre et sans bavures, pas d'indifférence, c'est le "mektoub" -
poisson
Heureusement qu'on peut pas éditer, comment je l'aurai effacer vite-fait, mon message...
Celui de SylvN illustre ce que je dis : casquette, il a donné et reçu et tout le monde part le coeur léger... Sans dette.
Et c'était en 94, et c'est lui qui est venu vers vous. Et combien de fois les circonstances se prêtent à ces petits rapprochements superficiels et transitoires qui font que la vie en société, ouf, n'est pas que cloison et rejet.
Les bénévoles (j'en fréquente) savent que le ras le bol et l'agressivité d'un sdf risque de se retourner vers celui qui est entrain de lui servir un café. Les bénévoles se soudent, prennent des précautions en gardant la distance, pour que le sdf ne soit pas pris dans une logique de rejet irrémédiable qui fasse qu'il ne vient plus chercher de l'aide, et que les incidents de comportements ne compromettent pas l'objectif de leur action, qui met longtemps à agir... alors qu'enrayer les attaques des mauvaises conditions de vie a toujours l'air d'un geste d'urgence vitale.
L'agressivité se retourne, par une inversion maligne vers celui qui croit aider.
Arriver à faire croire que tout est de la faute des gens de ma sorte qui envenimeraient la situation, que c'en est à déposer une gerbe... est du même ordre.
Mais partons du principe que c'est vrai. D'accord. Je fais quoi, alors?... Par quel miracle je change ma vision, par quelle révélation?
Moi aussi, j'ai des exemples de "je partage, je ne fais pas de catégories" comme SylvN, surtout si je remonte loin dans le temps.
Je fais comment? Pas en 94, dans le présent, là, tout de suite. Pas sur les rives de la Seine mais à chaque coin de rue, dans chaque rame de métro, dans "mon" local poubelle ( ces guillemets, c'est une blague, je ne me sens pas visée personnellement par la misère, c'est pas par rapport à moi, c'est vraiment par rapport à eux que je le vis mal, ça dépasse l'entendement de certains?) Avec un petit souvenir, je le supporte et je la ferme? Ma façon de voir est pire que l'indifférence? J'hésite à aller me jeter sous la Seine ou dans le métro, avec ce qu'on me renvoie ici... -
poisson
L'autre jour, je rentre dans le local poubelle. Je sursaute, comme toujours quand il y a quelqu'un à l'intérieur porte fermée. Un jeune garçon est en train de fouiller, l'air absorbé. Méthodiquement il prend à gauche pour poser à droite. Il n'habite pas ici. Il n'est pas mal habillé, mais un je ne sais quoi me dit que c'est la misère, plutôt que l'erreur dans la mise en poubelle d'un objet important, qui le conduit à faire ça. Je me dis qu'il ne connait pas le tri sélectif, enfin pas celui des poubelles. Il a choisi la poubelle qui ferme à clef, la jaune. Il a dû forcer la serrure car le grand couvercle est ouvert. Tout en vidant mon cabas dans la petite ouverture de la deuxième poubelle jaune, je lui demande ce qu'il cherche, en me disant qu'il faut que je lui explique que dans les poubelles jaunes il n'y a que des emballages vides. C'est assez propre, c'est à sa hauteur, mais il ne trouvera rien de valeur... Il ne comprend pas, émet ce qui me semble une onomatopée, l'air de dire "fiche moi la paix" malgré mon ton précautionneux. Je pense que c'est peut-être l'occasion de jeter la seconde boite de taboulé infecte, petit navire, vendue par lot de deux. J'ai honte de ma pensée. Il m'ignore, n'attend rien de moi. Je sors et vais vaquer à mes occupations.
Je me dis que je ne vaux pas un clou.
Si j'avais de la marge, je lui donnerais un billet. Si ça ne privait que moi, je lui donnerais un tas euros. Mais je n'ai pas de marge. Dans le budget des familles, selon les travailleurs sociaux, il y a en théorie la part épargne qui permet de couvrir les dépenses exceptionnelles, un canapé, une machine à laver. Sauf qu'il n'y a plus d'épargne. Les dépenses exceptionnelles, et même l'assurance de la voiture sont couvertes par le bas de laine, lui même non issu de mon travail. Enfin sans voiture pas de travail, à une période. Voir le bas de laine diminuer m'inquiète, me fait me sentir radine, m'oblige à justifier +++ chaque dépense, me fait faire quelques achats inutiles pour les autres, et quelques rares fois pour moi, soupapes parce que sinon y'a plus qu'à se...
Une autre dans le même style : OK, je ne dénonce pas au gardien le mec qui dort dans l'entrée, l'autre matin quand je pars "accompagner"à l'école. Quand je reviens de l'école, j'entends pourtant sa grosse voix, il ne sais pas parler sans crier, qui jette : "allez, sinon j'appelle les flics".
Mais je passe, je passe. Je ne vaux pas un clou. Je sature, et j'ai pas rien à perdre en aidant les autres, en direct live. Comptez pas sur moi.
C'est comme ça c'est tout.
Il faut des intermédiaires. L'entraide ne peut pas se faire en improvisant, au gré des rencontres. Que je me dis pour me sauver la face à mes yeux.
Je pense aux contes pour enfants qui nous incitent à prendre des petits évênements de la vie pour des tests. On respecte sa parole, obligé par son père, le roi, face à l'affreux crapaud qui est allé ramassé sa balle en or, et on a la surprise de voir Grenouillet se transformer en prince. L'oursonne qui aide aux tâches ménagères sans rechigner a un bon goûter, celle qui cherche à profiter de ses hôtes les marmottes, sans rien donner en échange prend un seau d'eau sur la tête.
La vie m'envoie des petits tests, à mon niveau. Heureusement, il n'y a pas de suites, pas comme dans les contes. Enfin parfois il arrive des trucs que j'interprête comme des signes, mais c'est pas sérieux, chut, faut pas le dire.
Je suis capable de prendre des postures, pour ça vous pouvez compter sur moi, persuadée que si c'était sous ma responsbilité directe, je ferais des choix qui n'aggravent pas la misère. Mais je n'ai pas de responsabilité directe, alors croire que..., quand on n'est pas impliquée directement.. Qu'est-ce que ça vaut? Je connais des gens de peu, qui ont fini propriétaire, louant leur logement, et mettant dehors une famille qui est restée des mois sans payer le loyer. Ils soupçonnaient la famille de le faire exprès, sachant que les recours étaient limités et prenaient du temps, temps dont la famille profitaient pour se dispenser de payer le loyer. Et puis bon, c'est aux services sociaux de faire le tri, de trouver des solutions, pas à nous propriétaires, mais pas riches... Chacun se renvoie la responsabilité par rebonds, comme un boule de billard. En plusieurs bandes jusqu'à ce qu'on touche la boule blanche : l'état.
L'état pouvait s'autoriser à écrire dans les métros : "n'encouragez pas la mendicité", quand l'état était censé faire le nécessaire.
Le système D de lutte contre la misère ne marche pas. Il installe la misère. Partout où on l'essaye. L'état a tort de se désengager ou de donner insuffisamment.
Quand je veux me remonter le moral, je me dis ça.
Je me dis que c'est pour ça que j'y arrive pas, à être une bonne providence à moi toute seule, quand je croise un "nécessiteux", c'est parce que culturellement, c'est contraire à mon éducation, celle qui veut que les personnes soient émancipées, comme dit Mélenchon. Je le renverrais où, ce jeune, en lui dispensant un billet qui tomberait ou pas dans ses mains selon la bonne fortune du hasard? À être un jouet? Le jouet de mon bon vouloir, de mon échelle de valeur, de mon évaluation de ses besoins? On déteste un bienfaiteur, qui oblige finalement à s'humilier, se soumettre sans consentement préalable. Je lui offrirais quoi, à celui à qui j'offrirai un lit de dépannage, forcément provisoire? Je le renverrais à sa famille qui le rejette, à lui même qui est un incapable qui mérite pas ça, à sa honte. Pas une solution évolutive vers un mieux, une solution lourde à porter.
Non vraiment hors des structures, associatives à la rigueur, ou d'état, ou internationnales pas de salut pour les miséreux, ici ou ailleurs. Enfin, ça ne veut pas dire que toute aide pour être digne doit être froide et neutre, professionnelle, ne pas entrer dans le monde affectif. Non, mais l'acte compassionnel qui n'exige rien en retour doit passer par une institution. L'acte compassionnel entre humains direct génère une dette, lourde. Donner tout en libérant de toute obligation n'est pas simple, à une époque un costume de bonne soeur faisait l'affaire. Mais maintenant, c'est suspect aussi quand on y pense.
Le rôle de la machinerie économique? Trop implacable pour être honnête, ce motif.
Ce ne serait pas l'enrichissement abusif qu'on veut dire, quand on cherche une cause de ce côté là? -
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Yanne
J'ai un peu de mal à comprendre le problème.
Je trouve cette chronique parfaite. Je me demande si les @sinautes ne sont pas dans l'ignorance d'un phénomène mondial qui a précédé la "faim mondialisée".
C'est le fait que partout dans le monde, nous portons tous des vêtements made in China qui étaient il n'y a pas si longtemps la tenue ordinaire de l'occidental moyen.
Chaque matin, nous prenons tous, par milliards, dans le sillage du soleil sur les fuseaux horaires, des transports en commun qui nous emmènent vers des bureaux, des usines, des ateliers, des magasins qui se ressemblent tous furieusement. En Afrique, en Asie, en Amérique du sud... Partout. Et le soir, nous rentrons chez nous dans des lieux qui souvent se ressemblent aussi.
C'est la réalité d'aujourd'hui. Partout dans le monde. Tous les systèmes traditionnels se sont effondrés. La natalité a reculé, partout le niveau de vie a augmenté. C'est ce qu'on appelle la mondialisation. Par opposition à la globalisation qui est l'intégration financière voulue par le capitalisme, et qui est son corollaire, mais pas du tout la même chose. Et tout cela se fait et s'est fait dans la douleur.
Les médias parlent de la mondialisation, mais omettent très soigneusement de dire exactement de quoi il s'agit. Et ils continuent de nous bombarder avec des images pittoresques des pays étrangers qui ne correspondent plus à grand chose, sauf pour les touristes de voyages organisés. Puisque je le répète, nous vivons tous plus ou moins pareil. Il y a des différences, évidemment, mais presque plus rien. Et le niveau de vie reste souvent très bas dans beaucoup de ces pays, d'où les problèmes actuels.
Et ce sont ces images totalement fabriquées par les préjugés des journalistes que dénonce David. Et il se demande quel genre d'images pittoresques on enverrait de France pour illustrer la baisse du pouvoir d'achat, parce qu'évidemment, ce serait aussi des clichés.
Liliane, qui vient de réactiver le MDD, Mouvement de Défense de David. -
liftt123
"Quelle image pour leur raconter en photo le non pouvoir d'achat vu sous nos cieux gris ?.......Nous aurions l'embarras du choix, hélas."
un peu bizarre la fin de votre chronique David, ça donne l'impression que vous mettez l'accent (ou sur le même plan) nos problèmes d'occidentaux qui sont surement dérisoires par rapport à ceux des gens sur les photos...
...j'vous est vu dans une video sur une autre chronique du site et j'avais oublié que vous ressembliez à ça dans l'temps...those were the days... -
admin
y nous éclaire quand david ? même si c'est pour dire qu'il sait plus pourquoi il a dit ça, pour voir si on suit ou alors il a attrapé la gelée poindite, maladie dégénérative prévu au plan anti alzeihmer (y pouvait pas s'appeler dupont celui là). Le malade est en permanence persuadé qu'il n'a jamais dit ce qu'il a dit, il y a deux jours. C'est trés éprouvant pour l'entourage et il y en a de plus en plus en ce moment. Plus ça se produit souvent et plus le cerveau diminue et plus le cerveau est petit plus ça se produit souvent. Le seul reméde connu est l'@sile mais il est sur prescription.
Il y a aussi une variante la gélée poinécrite mais à priori david l'a pas celle là. -
jean-pierre favier
le marche a toujours raison disent les religieux du dieu marche
ce dieu incontournable grand architecte d un monde ou les 10% des plus riches s accaparent 80 % des richesses vive le roi "bling bling " -
Camarlette
Pourrait-on savoir de quels médias proviennent ces clichés ? -
delphes
peut-être que je vois le bien partout, mais je pense qu'il serait dommage de réduire la chronique de DAbiker à une description stéréotypée de l'Afrique. Les clichés abondent, et difficile de ne pas voir derrière une ironie cruelle ; c'est un miroir qu'il nous tend, à nous et à nos concitoyens, parce que les médias, effectivement, ont tendance à traiter les sujets ainsi. Et DA ne fait que relever cette déviance des médias... -
Madeleine SCHOTT
David,
Toujours le choc des mots, le choix des photos !
Vous pouvez théoriser comme vous voulez, l'image que je garde dans ma tête c'est celle du RIEN et des GALETTES de BOUE...
Bon appétit !
Madeleine -
Akash
Je trouve cette chronique réellement mauvaise.
Je ne comprends pas comment on peut en arriver à suggérer que les manifestantes sont en transe ou qu'elles dansent alors qu'il s'agit d'une revendication politique, de scène de manifestation.
Mais une africaine, femme en plus ne serait apte qu'a danser ou rentrer en transe comme nous autre gaulois le faisions à l'âge de pierre!?
Je ne pensait jamais trouver de relent racistes sur ce site, et pourtant je doute en ce moment en lisant cette chronique.
Cette image est à mettre dans un contexte de revendications sociales en côte d'ivoire qui n'est pas nouveau. Nous devrions considérer ces évènements comme un signe d'espoir de lutte sociale, et de prise de conscience de la population ivoirienne, plutôt que comme une action folklorique, ou l'expression désespérée de pauvres africains n'ayant plus rien à manger.
Cela me fait mal de voir qu'une chronique sensée déconstruire la manipulation médiatique de notre temps est toute aussi chargée de stéréotypes et de bêtises que ce que nous fournissent les médias de masse.
La comparaison avec la photo du Vietnam, me paraît en être une (bêtise)... Si le but est de citer des références sans que cela n'apporte rien à l'analyse, à quoi bon? -
poisson
Les chroniques de David Abiker sont effectivement récidivantes comme les maladies du même nom, alors qu'on craint bêtement qu'une sorte de guérison soudaine fasse qu'il ne nous en abreuve plus jamais.
J'ai relu deux fois. C'est un minimum. Où il veut en venir? Pourquoi il dit ça? C'est des impressions en vrac? Il a réfléchi? Est-il perplexe? Est-il désabusé? Non? Oui? Déjà? Comment?
Déjà, pourquoi il appelle ça des cartes postales? Des cartes postales, dessus il y a des couchers de soleil, des monuments, des costumes typiques clinquants. Non en vrai ce n'est pas des cartes postales... Il dit ça, c'est une allusion pour sous-entendre quelque chose. Ses chroniques sont comme des glaciers : c'est froid et ça draine des alluvions, des allusions, ne chipotons pas sur les mots puisque c'est pareil, les mots qui sont pareils.
Cherchons, cherchons, comme un chien truffier, du flaire, du flaire. Pas possible qu'il veuille nous faire culpabiliser, non mais sans blague, ça serait la meilleure de l'année!
On observerait le reste du monde qui meure de faim comme des touristes observent une danse folklorique. Comme des curiosités. De la même manière qu'on n'a pas les mêmes habitudes quand il s'agit de se marier, de s'enterrer, de naitre, on n'a pas la même façon d'avoir "faim", de baisser son pouvoir d'achat, c'est culturel. Comme c'est pittoresque!
Parce que ce n'est pas la "vraie" faim, non, non, pas celle du Biafra, de l'Éthiopie, celle des enfants à gros ventres, des seins qui allaitent tout applatis, des mouches sur les yeux. Celle là on la reconnait, elle est à des années lumières de nous. Extra-nous comme des martiens sont extra-terrestres.
C'est une faim "baisse du pouvoir d'achat, comme chez nous dis-donc. On la partage. Quel bonheur, l'occident et les pays en voie de on ne sait plus quoi, enfin réunis, enfin les mêmes, enfin fi de la différence coupable, enfin on pourrait répondre : "nous aussi, alors hein, ça va bien, tout le monde en a des problèmes", comme on se dit entre nous occidentaux, quand quelqu'un ose se plaindre. On va pouvoir s'aligner. Quoique, quoique, Il me met le doute, le David Abiker. Est-ce qu'on oserait leur envoyer notre misère à nous, comme ils nous envoient la leur, par journalistes interposés?
Est-ce qu'il y croit aux cartes postales qu'il nous suggère de leur envoyer? Ou il se moque... Il se moque? Il nous charrie? Oui? Non? Oui? Oh, crotte de bique, saperlipopette, nom de nom, j'avance pas. -
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admin
J'ai pas tout compris.
La 1ère photo est celle d'un incendie, la 2eme est soit une promo du micro crédit , soit d'un cours de cuisine à la MJC de dehli, soit du macho indien.
( qu'est ce qu'il y a d'écrit sur les banderolles ?).
le MONDE a un problème d'image (c'est peut être bien pour ça qu'il est en grève) et 20 minutes devrait s'appeler 2 secondes ( durée de la mémoire d'un poisson rouge)
oui bon et alors ?? -
Balthaz
et sommes nous disposés à faire crever de faim une partie de la population pour faire fonctionner nos machines ?
les machines prendraient -elles vraiment le pouvoir ? nous ne sommes plus dans la science fiction, mais dans la réalité . -
Tewolf
En guise de concours mondiovision de la pauvreté comme vous le suggérez,
plutôt que d'envoyer/opposer aux pauvres de là-bas des images des pauvres d'ici,
forcément mieux nourris, pourquoi ne pas plutôt en guise d'exercice
proposer des images bien choisies de ces braves actionnaires, propriétaires des richesses d'ici et de là-bas ?
Concours paradoxal j'en conviens, puisqu'il s'agirait alors d'incarner photographiquement
ce qui est l'essence même de l'actionnariat : l'anonymat. -
Mon Nombril
Voici que sonne le retour de l'agricultre intensive et du Roundup à tous les étages,
Voici que sonne le moment du choix entre les ogm et les hécatombes,
Tandis que les uns crèvent de faim, d'autres vont s'engraisser. Spéculateurs, firmes agro-industrielles, soyez rassurer !
Saloperie d'époque -
Anthony
En effet, cela fait plusieurs semaines que j'entends ici et là des sons à ce sujet ( notamment sur radio france ).
Le problème se pose également pour les petits commerçants, qui sont obligés de baisser leurs maigres marges au fur et à mesure des augmentations.
Comme le fait remarqué balthaz, les bio carburants n'arrangent pas la situation. -
SylvN
Bonjour,
Sylvaine, reine du détail futile qui tue que personne ne remarque ou presque... Sur la photo des femmes africaines, à l'arrière-plan, on voit écrit sur le bâtiment: "Collège le Roi David".
Autopromo inconsciente?
Salutations M'sieur Abiker!