Babibocho 4 mars 2008 à 16:54
Celui qui a essayé de faire un peu d'argent là-dessus s'est fait censurer

La petite phrase de Sarkozy priée de se casser d'eBay France
Enchères et en os

http://www.pcinpact.com/actu/news/42134-ebay-sarkozy-encheres-casse-toi.htm

Andreas TOTH 1 mars 2008 à 06:41
C'est d'hommage de ne trouver aucun article sur ce méga dérappage d'un président qui outre-passe la constitution en imposant une loi arbitraire comme celle de la rétention de sûreté.

Bien sur je ne suis pas étonné de ne voir et entendre aucune critique violent des "lémédias" (à part quelques analyses sur FranceCulture).

Marie la dern' 29 février 2008 à 18:13
Je sais que je ne suis pas au bon endroit, mais je ne sais où dire combien je trouve super la mise en page du canard et surtout les photos/vignettes qui marquent les dossiers. Bravo!

Lisuzan 29 février 2008 à 09:52
Un club de la presse hebdomadaire ? filmé ? diffusé sur @si ?

Le fonctionnement « parfois » aberrant des médias ? comique :-)

ramon 4 28 février 2008 à 23:58
Pour quelqu'un qui exalte le religieux, est-ce qu'il n'y aurait pas comme une lacune ?

Voici qu'un inconnu lui dit : " Ah non, touche moi pas".
Là où certains croient déceler un parler vulgaire ou trop familier, il faut plutot voir la traduction littérale de " Noli me tangere" Déjà un indice.

Là dessus, le hongre réplique : " Casse-toi"

Le fils de l'homme ne peut que constater : " Tu me salis"

Alors, l'apostat passe la deuxième couche : " Casse-toi, alors, pauv'con, va"

Et au pays des caméras et des polices, on a jamais pu retrouver ce mystérieux inconnu...

Arthur 28 février 2008 à 17:27
Mais... vous trouvez pas qu'on parle beaucoup plus du vilain mot de Sarkozy que de la vilaine loi sur le "rétention de sureté" qui vient d'être promulguée malgré les réserves du conseil constitutionnel?

Madame Rosa 28 février 2008 à 15:49
Pitié, pitié pour mon pauvre petit coeur ! Que de suspense, vraiment ! Il y a deux jours, submergée d'émotion en découvrant les manœuvres machiavéliques de l'Elysée et les aveux du Parisien, une sorte de vague quasi lyrique m'emportait au rythme effréné de mon indignation, puis paf !

Oui, paf. Le paf le plus trivial qui soit, celui qui vous colle là, sur place, tout bête, tout penaud de s'être laissé emporté par la tornade. En fait de tempête médiatique, on avait soufflé dans un verre d'eau... Pourquoi, on n'en sait pas plus, mais je compte sur vous pour tirer cela au clair. Vous nous tiendrez informés, dites-vous, ouf, les témoins ont beau fuir, la vie et le hasard semblent bien faire les choses puisque les lâches fuyards devraient à nouveau croiser votre chemin. Si tout va bien.

Paf, buzz, pffft, bof. On n'est même plus dans une histoire bonne ou mauvaise, mais dans du mauvais comics. Et ça m'apprendra à m'enflammer ! Je me suis fait avoir avec les petites phrases et les gros mots, comme quoi même quand on est vigilant, ça va vite. Merci d'avoir remis mes idées en place, la douche fut froide mais ça calme. Ca recentre sur les priorités. Effectivement, c'est ça que j'attends d'@si.

Enfin le positif dans tout ce battage, c'est que grâce à Monsieur Sarkosy, ma fille de 6 ans porte désormais la mémoire d'évènements qui auront "fait le buzz", et d'une façon qui échappe totalement à l'éducation qu'elle reçoit au quotidien. Et pour l'anecdote, l'autre soir au détour d'une conversation entre amis, elle a repris un de nos invités : "Nan, il a pas dit gros con le monsieur, il a dit PAUV' con !" Comme l'aurait dit Desproges, étonnant non ?

Politique.net 28 février 2008 à 13:11
Si Lionel Jospin gagnait 9000 euros en 1997 et que son salaire a augmenté au même rythme que les salaires de la fonction publique, cela signifie qu'il devait gagner 10 000 euros en 2002.

Aujourd'hui, François Fillon gagne 19 000 euros. Le salaire du Premier ministre a donc doublé entre 2002 et 2007. CQFD.

http://www.politique.net/2008022801-le-salaire-du-premier-ministre-a-double-depuis-2002.htm

2.G 28 février 2008 à 12:10
Dis, dis, Daniel, tu nous raconteras hein !
Je piaffe d'impatience.

Yanne 27 février 2008 à 22:15
La défection de "vos" invités ? Ce pluriel signifierait-il que la rédactrice en chef du site du Parisien n'a pas été le seul invité à annuler ? Mais vu comme vous avez chargé hier, sur Le Parisien, Daniel, au niveau du site de Libé et ici, en parlant de leur crédibilité, ça ne m'étonne qu'à moitié que les gens du Parisien aient opéré une retraite stratégique suite à ces dernières circonstances.

A propos de l'origine de toute cette affaire, qui est la grossièreté du Président au Salon de l'Agriculture, je voulais juste faire méditer sur une citation de Chamfort :

"Il n'y a d'histoire digne d'attention que celle des peuples libres. L'Histoire des peuples soumis au despotisme n'est qu'un recueil d'anecdotes !"

Non que je considère que nous vivions sous l'empire d'un despote, mais à force de se focaliser sur des détails, comme ce genre de buzz, on pourrait envoyer à nos dirigeants, une image, si ce n'est un signal, qu'on ne mérite pas beaucoup mieux...........................

En ce sens, et même si je regrette pour vous que votre travail soit tombé à l'eau, j'admets que l'annulation de ce débat en particulier n'est pas a posteriori pour moi une tragédie. Surtout dans la mesure où les derniers rebondissements avaient fait pshhhitttt.

Mais j'espère que nous aurons un autre débat vendredi soir sur @si.

Bon courage, quoi qu'il advienne.

Fandasi pour clavier 27 février 2008 à 22:14
C'est un feuilleton "abracadabrantesque" , dont je ne suis pas bien sûr de tout comprendre : qui a fait quoi ,et pourquoi, et délibérément ou grosse boulettement ? Tout ça est très très buzzare.

constant gardener 27 février 2008 à 21:30
J'ai du mal à croire que Montvalon ait risqué sa réputation et celle de son journal comme ça. Il faudra qu'on m'explique:
- soit Sarkozy A DIT ce qui est écrit, et Montvalon est bon pour l'asile (et au moins la porte),
- soit Sarkozy N'A PAS DIT ce qui est écrit, même s'il l'a PRESQUE dit, et Montvalon DEVAIT le signaler. Mais alors pourquoi le silence après? Sans explication, on ne peut qu'avoir de mauvaises pensées.
L'interview a probablement été enregistrée. Sa publication (sans les corrections d'auteur) aurait levé le doute. Ca parait pourtant simple ...

SylvN 27 février 2008 à 21:21
Omar et Fred nus et à poil sans leurs fringues :


http://zemagicsyl.hautetfort.com/archive/2008/02/27/omar-et-fred-ma-magouille-d-%C3%A9cole.html

Oblivion 27 février 2008 à 20:38
Voili ce que j'ai trouvé comme définition de "buzz" :
"Le buzz (bourdonnement en anglais) est une technique marketing consistant, comme son nom l'indique, à faire du bruit autour d'un nouveau produit ou d'une offre. Proche du marketing viral, il en diffère par la maîtrise du contenu (message publicitaire)."

Beaucoup ont donc adopté avec gourmandise cette technique issue du marketing.
Pour information, le marketing est ce qui rend nos vies si douces : nous, humains, sommes réduits
en "cible de consommateurs" dans des domaines comme la musique, la santé, la littérature.
Et oui ! Pas seulement pour les yaourts…
À mon avis, faut arrêter de buzzer tout de suite. Où se protéger.

jeff 27 février 2008 à 19:40
C'est peut-être sur internet que la rapidité rejoint le plus la précipitation.
ASI est-il fait pour le buzzing ?
Si internet était un stade, un buzz serait une ola, à laquelle tout le monde se sentirait obligé de participer, bon gré, mal gré.
Elle partirait de clubs de "supporters animateurs" pour gagner en ampleur et faire le tour de l'enceinte internautique.
ASI peut-il éviter de lever les bras au passage de la vague ?
Appartenant désormais au réseau, il semble difficile d'y échapper.
Mais ASI peut analyser les buzz a posteriori , le fait d'y avoir participé n'empèche pas ce travail.

Arthur David 27 février 2008 à 19:17
ça ne vous parrait pas plus etrange que ça que la vrai interview n'est pas été publiée ? c'est bien sur un bon coup de pub pour le parisien mais n'aurait ils pas subient une belle pression ?