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jeannine bugada
Bonjour, je suis infirmiere mais si j avais était journaliste, c est avec vous que j aurais aimé travailler car vous avez le respect de votre metier et le respect de vos lecteurs.J apprends beaucoup ,surtout des choses vraies,pas de blablabas.Merci d exister. -
Robert·
Je me suis réabonné ce soir.
L'occasion de vous dire que, pour moi, la collaboration avec Médiapart ne saurait être que circonstancielle. -
ag
Un seul conseil si vous faites des choses ensembles... pacser vous. Pas plus. Pour rester indépendants. -
Epicène
Comme personne n'y dit, je m'y colle: qu'est-ce qu'elle a sa couleur à Plenel à tirer comme ça sur le rouge ? En plus, ça fait ressortir le blanc des tachesmous.
Bref ! ça fait pas très authentique tout ça.
Gaffe, gaffe, ami Schneidermann ! -
Catala93
Mieux vaut apurer ce genre de différent. ;-) Si cela peut aboutir à une mise en commun des moyens pour réaliser une émission de qualité, on ne s'en plaindra pas. Cela dit je suis désabonné de Mediapart depuis près de deux ans car je pense que le contenu éditorial n'est pas adapté au web. Pas assez de temps pour lire un volume trop important de texte sur écran. Le virage du web n'a pas été parfaitement négocié.
Suggestion: pourquoi ne pas diffuser les chansons de la Parisienne sur Mediapart et @si ? Je regrette beaucoup son départ.
"On" a récupéré Maja, bonne nouvelle. -
mathanase
Je trouve cette idée excellente, et j'avoue que j'ai été touchée lors de votre débat, ça change des comportements policés auxquels on est habitué.. où tout semble tellement convenu. Je suis abonnée au deux sites et y trouve une réponse à mon besoin d'avoir accès à une information de qualité, construire une collaboration entre vos deux sites ne peut que m'apporter du plus, j'en attends beaucoup . Je ne fais pas trop de soucis et ne pense pas que ça soit possible que l'un mange l'autre vu vos exigences professionnelles et vos engagements pour une information de qualité qui a une place essentielle dans une volonté partagée de faire avancer la démocratie. -
Germain RITAL
S'il est une qualité que l'on doit reconnaître à Daniel Schneidermann, c'est, me semble-t-il, sa naïveté. Naïveté généreuse: celle d'avoir promu @si, où, pour une contribution financière "très raisonnable" et modulée pour s'adapter aux plus modestes revenus, est offert un service d'information - avec possibilité de contribution - d'une rare qualité. Naïveté courageuse, car fondée sur une indépendance démontrée par ses "départs" du Monde, puis de France Télévision. Naïveté travailleuse aussi bien, j'allais l'oublier, tant elle crève les yeux. Naïveté, enfin, il faut l'espérer, plus avisée qu'il y paraîtrait à l'égard des ruses et de la férocité du "milieu" médiatique. Car s''il est une leçon, en effet, tout de même à retenir de Napoléon, c'est qu'entre "l'épée et l'esprit, c'est toujours l'esprit qui finit par gagner". Et, s'il en est une autre à tirer de la lecture de Machiavel, c'est, paradoxalement et ironiquement, que la loyauté naturelle: ce que signifie ici "naïveté", se joue, tout naturellement donc, des ambitions les plus rusées. À bon entendeur, ou "collaborateur", salut donc. -
Watson
Peut-être y-a-t-il une alternative à la bouillie démédias qui se prépare pour 2012. Imaginons une émission commune @si / mediapart, où serait réinventée une culture démocratique, où les règles d’un débat argumenté seraient de rigueur pour les candidats, où les mensonges invérifiables du moment seraient mis à jour par un rapport aux vérités factuelles. Comme le temps n’est pas limité, la possibilité est toujours là de revenir sur les paroles fumeuses en cours d’émission. Le dispositif du plateau s’appuierait à la fois sur l’écrit et sur l’image : l’écrit pour l’étude de texte des programmes, l’image pas seulement pour le son ou voir des têtes s’agiter, mais aussi pour analyser les spots de campagne et ainsi comprendre les rapports entre texte et image. Il n’y aurait qu’un seul sujet de débat par émission, mais traité de façon posée et approfondie. Il y aurait aussi des questions bien sûr. Celles-ci ne seraient connues des candidats qu’au moment où elles sont posées sur le plateau. Elles auront été préparées sérieusement avec les abonnés et les journalistes d’@si / mediapart. Comment ? Je ne sais rien. Par le biais du forum (oui, mais là tout le monde connaît déjà les questions) ou par envois (oui, mais là personne ne connaît la totalité des questions sauf les journalistes qui les recevraient). Comment trier les questions ? Là aussi, je l’ignore. Certainement par rapport au thème abordé et peut-être aussi pour l’imprévu que certaines pourraient produire, hors du formatage. Ce type d’émission serait gratuit pour être accessible au plus grand nombre. En ce qui concerne les candidats qui refuseraient de se rendre sur ce plateau, on déterrerait une vieille loi complètement oubliée qui stipule qu’un candidat à l’élection présidentielle ne peut pas se soustraire au débat démocratique, puisque c’est (en partie avec nos impôts) que se financent les campagnes. Et on ne se morfondrait plus joyeusement sur l’interview impossible. -
bastounet
Inouie ! !
Otages d'une presse sur le net qui lave son linge , avec nous.. ! !
Plenel est d'une suffisance , d'une intolerance qui degouline et vous....allons D.S.....Reprenez-vous ! ! -
Nastasia
moi je suis abonnée aux 2 parce que ces 2 sites se complètent parfaitement d'après moi.
un rapprochement serait super, j'imagine une sorte de réduction pour l'abonnement groupé.
une émission serait encore plus super.
J'imagine aussi quelques reportages venant des journalistes investigateurs de mediapart.
Je crois qu'il ne faut pas hésiter une seconde à aller dans le metissage et le coté hybride, c'est moderne et c'est le bien... et c'est ce qui a engendré ces 2 sites, donc n'hésitez pas une seule seconde! j'aime beaucoup le fait que certaines chroniques sur mediapart soient audio par exemple, ça enrichit leur site..
après le coté téléguidé de ce rabibochage fort sympathique, même si on a le droit d'en être sceptique, je crois que c'est fort vain. Personnellement je trouve ça sympathique, et Il y a des choses plus dangereuses que cela, la parano ça va 5 minutes... -
albertjakard
Une question me taraude en lisant cet article : est-ce vraiment de l'info ? -
Annie Sétoualé
Je suis une abonnée d'@si de la première heure, intermittente des forums depuis celui de l'émission télé.
Je me suis laissée tenter par Médiapart, il y a plus d'un an, alléchée par des articles , comme ceux de l'affaire Woerth - Bettencourt. J'ai trouvé la note salée, mais j'ai quand même voulu voir. Et puis j'ai été, comment dire, un peu perdue. Ici, j'avais pris l'habitude de quasi tout lire, et quasi tout regarder. Là bas, je ne savais pas où donner de la tête. Il y en avait trop. J'étais attachée à mes balades numériques d'ici. Je ne voulais rien lâcher. Du coup, il ne me restait pas grand temps pour aller là-bas et y trouver ma voie. Alors au final, je m'y rendais peu, et j'ai fini par me dire que j'avais un peu jeté l'argent pas les fenêtres. Et pourtant, à chaque fois que je me laissais tenter par un article, j'en étais plutôt satisfaite. Et puis petit à petit, j'ai fini par prendre mes marques. J'ai été plus sélective ici, et je me suis un peu plus investie là-bas.
Je crois que j'ai été définitivement conquise le jour où j'ai écrit mon premier article, dans mon espace blog personnel. Chez Médiapart on peut faire ça. Ça parlait de Mayotte et des événements qu'il s'y passait depuis un mois. J'ai eu quelques commentaires, quelques recommandations, trois fois rien dans le monde des blogs de Médiapart. Mais j'ai trouvé ça sympa. Et peu de temps après, Médiapart a fait son propre article sur Mayotte. Sur @si pas un mot, puisque pas d'image. Ce n'est pas un site d'actualité, mais de décryptage. Il m'avait quand même semblé qu'un silence, une absence pouvait en dire beaucoup et que par conséquent ça pouvait se décrypter. Mais une petite équipe est bien obligée de faire quelques arbitrages. Passons.
Quand je suis passée l'autre jour sur Médiapart et que j'y ai vu l"opération porte ouverte, j'ai donné du clic et je suis tombée sur la présentation du débat "Arrêt sur Images - Médiapart". La vidéo était déjà disponible. Je m'y suis précipitée. Voyant DS face à Plenel, je me suis dit que la hache de guerre devait être enterrée. Erreur d'appréciation, tout de suite balayée, tellement c'était tendu au départ. Et puis on a vu petit à petit deux professionnels échanger sur ce qu'était devenu leur métier. Enfin échanger, c'est Plenel qui a beaucoup parlé, puisque c'était lui l'interviewé et DS l'interviewer. J'ai été sciée quand Edwy Plenel a reconnu - publiquement, dans une interview enregistrée, directement à la personne concernée - ce qu'il considère aujourd'hui comme une erreur. DS, je ne pense pas qu'il s'y attendait. Depuis 8 ans, si ça avait du être fait ...
A une autre époque, un certain CP m'aurait traité de midinette (CP revient !), mais j'ai trouvé qu'à ce moment là une belle émotion est passée. Du coup, j'ai envie de l'appeler Edwy, moi maintenant Monsieur Plenel, comme de temps à autre j'appelle DS Daniel.
Mais faut pas croire. Il n'y a pas eu le temps de sortir ses mouchoirs. L'ange est passé et l'interview a continué. Et parmi les questions qui me turlupinent aussi, il y en a une que DS a posé à Plenel (enfin que Daniel a posé à Edwy), sur le public plutôt convaincu que constituait leurs abonnés. Il y aussi autre chose que Daniel dit souvent : à la télé il touchait des millions de téléspectateurs, sur le net il atteint tout juste les 30000 abonnés - 20000 de plus pour Médiapart. De ce postula et de cette constatation découle une autre interrogation : quelle influence peuvent avoir ces nouveaux média face aux mastodontes télévisuels et surtout comment toucher au delà de son public "naturel" et faire cheminer cette information alternative vers une plus grande population ?
Il y a quelques temps, Guy (Birenbaum) animait ici même une émission sur les sites d'infos à l'occasion de la sortie du mensuel papier de rue 89.
Je n'ai pas été convaincue par le premier numéro. Pour les autres je ne sais pas. On ne les vend pas là où je vis de toute manière.
Par contre à l'époque, j'étais encore une visiteuse régulière de rue89. J'aimais bien les échanges qu'on pouvait avoir, y compris avec le gens de la rédaction.
Pour en revenir à la Ligne Jaune, s'étaient confrontés sur le plateau les deux modèles économiques : le gratuit avec pub et subventions, le second, avec abonnement sans pub et sans subvention. Aujourd'hui je dois dire, que je ne visite quasiment plus rue89. Mon attention s'est porté naturellement vers mes deux abonnements. Et la nouvelle interface graphique (de rue89) me perd un peu. De plus, si on se connecte pendant qu'on lit un article pour laisser un commentaire, on se retrouve à la page d'accueil. Très très bof, comme ergonomie. Et pour couronner le tout, ça me parait plus lent. Exit rue89.
Comment malgré tout atteindre une synergie de tous les médias alternatifs (ce qui avait déjà été évoqué dans la Ligne Jaune). Parce que je ne sais pas vous, mais je suis convaincue que la guerre - car c'en est une - se gagnera via l'internet. Que les sites alternatifs auront leurs rôles à jouer face à la télévision aux ordres. La télé n'a pas réussi à faire passer le oui au TCE. Le net n'y a pas été étranger.
Mais il est clair aussi que l'aspect payant des sites est un obstacle à l'accès au plus grand nombre en cette période de crise. Aussi, moi je propose la chose suivante : qu'@si et Médiapart s'unissent pour faire une émission traitant de l'actualité qui sera en accès libre comme la ligne jaune au bout d'un certain temps avec primeur pour les abonnés. Ce sera une vitrine pour convaincre d'autres personnes de nous rejoindre et un cadeau à ceux qui ont peu de moyens mais sont quand même intéressés par autre chose que la soupe de lémédia.
Voilà. Désolée d'avoir été si longue. Bonne soirée. -
Anthony
tient tient une idée... et pourquoi pas (par exemple) un panier commun.
Je verse 10 euros dans un pot commun et celui ci me donne accès (sous forme de jetons) à 10 (15/20) articles... que je peux puiser sur l'un ou l'autre site.
Une fois les jetons épuisés je peux reprendre un crédit.
La somme est reversée aux deux partis (moite moite) quel que soit le nombre d'articles lus chez l'un ou l'autre.
Ainsi même un abonné (à l'un des sites) sait que sa participation sera également un soutien aux deux acteurs. -
jean-bernard
@D.S.
et vous apportez crédit aux déclarations de plenel,
demain il recommencera, -
Al Ceste
//M. Assad a accordé un entretien exceptionnel à la chaîne de télévision américaine ABC News, qui doit le diffuser mercredi. La chaîne n'a pas révélé la teneur de l'entretien, mais un journaliste d'ABC a cité un extrait des propos de M. Assad lors d'un point de presse au département d'Etat. Selon lui, interrogé sur la répression, M. Assad a déclaré : "Je suis président. Je ne suis pas propriétaire du pays. Ce ne sont pas mes forces". "Il y a une différence entre une répression politique délibérée et quelques erreurs commises par certains responsables. Il y a une grande différence", a ajouté le président syrien.//
C'est fou ce que le mot "erreur" peut être employé à la place du mot "faute"... -
zozefine
j'ai une commande de série d'émissions ou d'articles. émissions ou articles pas très glamour ni fun, mais en cette période, semble-t-il opportuns, et qui demande une grosse équipe, car le thème est vaste.
en écoutant la radio, en lisant la wwwpresse françaises, et dans mes contacts persos avec des français, je constate un truc qui me semble très très typique jacobin souverainiste : vous ne comprenez RIEN au fédéralisme. même chouard avait l'air de découvrir le fédéralisme et la démocratie directe helvètes dans son dialogue avec blot. l'UE comme fédération des états européens, ça a l'air de vous donner des spasmes d'angoisse. ici et là j'ai essayé d'expliquer ce que ça signifie pour la CH, mais bon, je me suis fait renvoyer dans les cordes systématiquement. ou pas de réaction du tout d'ailleurs.
donc ci-dessous, la liste des pays fédéraux :
Afrique du Sud
Allemagne
Argentine
Australie
Autriche
Belgique
Bosnie-Herzégovine
Brésil
Canada
Comores
Émirats arabes unis
Espagne
États-Unis d’Amérique
Éthiopie
Inde
Malaisie
Mexique
Micronésie
Nigeria
Pakistan
Russie
Saint-Kitts-et-Nevis
Serbie et Monténégro
Suisse
Venezuela
le fédéralisme, pardon pour mon discours simpliste, c'est des petits morceaux de territoires et de population moyennement souverains qui interagissent et fonctionnent ensemble dans le cadre d'une méta structure qui s'occupe et de sa survie propre en tant que méta-structure et donc de la survie de ses éléments. cette méta-structure-là est souveraine (encore que la souveraineté actuellement dans une économie néo-libérale mondialisée, c'est probablement une très grave illusion). il me semble que comprendre le fonctionnement de tous ces pays mérite qu'on s'y intéresse : l'UE n'a aucun sens si elle ne tend pas vers un véritable fédéralisme, politique, économique, social, linguistique et culturel. on a ci-dessus 25 pays organisés de la sorte. 25 modèles donc de fonctionnement.
pourquoi un pareil dossier sur un site de décryptage des médias ? parce que les médias français, les autres, ne traitent jamais cette question de manière informée, qu'il s'agisse d'ignorance crasse ou de véritable névrose ou de stratégie d'évitement. le fédéralisme, pour autant que l'UE survive, c'est un truc énorme qui vous pend au nez. pour comprendre la pesanteur et l'absence de grâce de merkel, il faut comprendre comment fonctionne l'allemagne, réunifiée en particulier. pour comprendre pourquoi on n'entend jamais parler de la suisse mais beaucoup de la belgique, idem.
le peuple français "souverain", c'est quoi par rapport au souverainisme des corses ou des basques ? ou des cadurciens ? bref, je crois qu'en cette période, on devrait plus parler politique et moins économique. et parler politique, c'est, entre autres, parler de ce qui fait prendre la mayonnaise. m'est avis que le fédéralisme est une bonne entrée pour parler de l'europe. -
Naraoia
Tant mieux si des querelles d'égos ont su trouver leur terme, mais n'étant pas dans le sérail ça m'en touche une sans faire bouger l'autre, comme on dit. Surtout quand l'histoire sent autant le procédé de storytelling destiné à enjoliver et à faire passer la pilule du rapprochement entre ASI et Mediapart.
En revanche je suis perplexe et dubitative sur cette idée de partenariat.
- Emission commune entre ASI et Mediapart pour remplacer la Ligne Jaune ? Pourquoi pas, tant que la nature de l'émission et du partenariat à son origine sont clairement définis.
- Abonnements conjoints ? Là encore pourquoi pas, si c'est l'occasion pour ceux souscrivant aux deux sites d'avoir un tarif plus avantageux. En revanche il faut que les abonnments séparés existent encore et que les bases client restent soigneusement séparées. Et ça serait encore mieux si la publicité restait limitée : si j'ai fait le choix de m'abonner à seulement un des deux sites ce n'est pas parce que j'ai envie d'être bassinée avec des incitations à m'abonner aussi à l'autre.
- Un rapprochement plus important serait sans doute dépasser la ligne jaune entre les deux concepts de site. Bien que non dénuées de points communs, ASI et Mediapart ne replissent pas la même fonction, et à mon avis le positionnement d'ASI en tant qu'observateur et décrypteur des médias et du discours médiatiques est celui qui risque le plus de souffrir d'un rapprochement avec l'un des médias qu'il observe, tandis que Mediapart, vu son positionnement vers le journalisme d'investigation a beaucoup plus à gagner à se rapprocher d'une équipe spécialisée dans le décryptage et l'analyse.
Avec en outre le positionnement émotionnel de la communication sur cette affaire, on se rapproche d'un cas d'école d'un de ces mélanges des genres qu'ASI a passé son temps à nous montrer dans le milieu des médias. -
Bruanne
Dominique Godin, (banni pour le moment), envoie ces rappels les coulisses de la conquête du Monde et La face cachottière du Monde, deux articles d'Acrimed, qui montrent un Plenel adepte de la censure, lui qui revendique sans arrêt la transparence.
Afin d'éviter à la modération des recherches chronophages, je précise que le pseudo habituel que j'utilise pour poster ici est Bruanne, je l'ai changé le temps de poster ce message, pour plus de lisibilité, dans la mesure où je ne fais que rapporter des propos tenus par DG, qui ne peut pas venir les poster lui-même. Mais mon intention n'est pas de me dissimuler. Voilà. -
Bernie73
Je pense que la mise en place d'un projet commun est une très bonne idée
la cohérence des points de vue et la complémentarité de vos projets laisse de belle opportunités
reste à trouver "l'idée"
Personnellement je fus abonné à Médiapart et suis toujours abonné @si
mon arrêt de médiapart est simplement un manque de temps, lire correctement un peu de presse+lire et regarder les débat d'@si prend trop de temps
la production plus réduite d'@si rend l'information plus digeste et compatible avec mon emploi du temps.
J'ai toujours rapproché les 2 sites
Un contenu de qualité qui permet de rebondir
Un lieu où l'on apprend, où l'analyse essaye de se faire un peu de place dans une information envahie par l'émotionnel.
Je pense qu'@si perd petit à petit sa position de critique des média, qui me semble de plus en plus un prétexte pour faire de l'information comme il voudrait qu'elle soit.
La chronique de Didier Porte était déjà un lien palapable
une collaboration me parait une bonne idée
Le format de la ligne jaune, plus collé à l'actualité parait la plus évidente
Mais ce qui est sur, c'est qu'une "fusion" modèle @si = la rubrique média de médiapart serait à coup sur une perte d'identité
comme le dit titi l'aspet artisanat local; rien de dévalorisant la dedans, fait parti du package @si
l'aspect plus industriel de Médiapart de ce point de vue est incompatible -
sandy
Bon d'accord pour le rapprochement avec Médiapart.
Mais à une seule condition ! Que Daniel se fasse pousser la même moustache qu'Edwy !