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aux abonnés absents
Dans le match info contre marché, l'info est d'ores et déjà perdante.
Il va falloir éduquer nos jeunes afin qu'ils cherchent "la vérité" par eux-mêmes, leur apprendre à ne plus faire confiance aux médias, écrits, audio ou vidéo. C'est comme ça, on n'y peut plus rien.
Je pourrais poster ça dans le forum sur Murdoch et l'info payante sur Internet aussi : là. -
Jean-François HAGNERE
Il faut libérer "Libération" de M. Joffrin et du baron de... C'est peut-être beaucoup, non? Prenons cette histoire de "censure" par le bon bout : M. Joffrin a simplement voulu aider son collègue Daniel S., un peu trop suicidaire à son goût, et pour ce, il a mis ce qu'il considère comme un brûlot sous le coude. Voilà ce que l'on dira officiellement. A la limite, je crois que M. Joffrin attend des remerciements de Daniel S. Mais, tu sais, Daniel, tu n'es pas obligé... D'ailleurs, je ne vois pas qui pourrait t'y obliger, et c'est tant mieux pour ASI et pour nous aussi... -
Madeleine SCHOTT
Admirative, je suis admirative !
Comment vous avez pu faire et écrire tout cela. Bien que ça bloque un peu mon ordinateur...
Quelle créativité !
Je suis un peu jalouse : assistance technique SVP.
A plus et à tous Madeleine -
SylvN
Je viens de me réincarner en blonde chez Sébastien( mes neurones ont hélas souffert de l'inversion spatiotemporelle) et le cyclope d' Ulysse s'est fait manger par le Cerbère de chez Judith ! -
Fan de canard
..... qu'ils sont allés jusqu'au bout de l'escalier au dessus...
j'en ai trop ri en essayant de lire leurs commentaires, surtout SylvN qui recherchait son 70.... et Oblivion en collision chez Judith Bernard...
Dites la Rédaction, nous sommes désolé d'avoir abimé cette jolie page.
Ça mériterait une chronique......... (|¦÷ Þ)=
Pardon à la famille tout ça -
Timothée ROBERT
Adorateur d'arrêt sur Images à la Télé, grand lecteur de Libé, malgré tous ses défauts et son incapacité de renouveau intellectuel, déçu historique du Monde version Colombani Minc, je me suis donc jeté sur cette chronique, payant sans barguigner mes 30 euros, et me demandant ce qui pouvait valoir censure (je ne lis pas la presse people, mais peut me délecter parfois de vilains ragots intello médiatico journalistiques ...).
Quelle déception ! Il n'y a rien de vraiment nouveau dans cet article, juste une analyse éclairée de la situation au Monde. utile pour un lecteur non averti, mais presque banal pour des afficionados comme moi.
Ce qui fait débat, c'est évidemment cette censure, vraiment ridicule une fois qu'on a lu la chronique, tellement déplacée , et un commentaire de L Joffrin totalement hors sujet, à coté de la plaque.
Ce qui devrait rester de cette chronique, c' est l'envie de soutenir et renouveler un journalisme digne de ce nom, indépendant financièrement et idéologiquement, dont le Monde n'est plus vraiment un réprésentant.
PS: l'interface de saisie est épouvantable -
Tony
Oui, je vous comprends Madeleine.
Le problème, c'est ce que Boltanski et Chapiello appellent le nouvel esprit du capitalisme dans un ouvrage de sociologie homonyme, c'est à dire : une critique ingérée par le système qui sert à neutraliser toute volonté de changer réellement les choses. La critique pour la critique montre rapidement ses limites si elle n'est pas suivie d'effets... Je connais mal Acrimed mais Daniel leur reprochait entre autres leur approche militante, sous-entendue partielle, partiale, de la critique des médias. Cette critique n'est pas totalement infondée mais elle tient au but même de l'association, le militantisme. Et le militantisme a au moins pour but de faire suivre ses critiques d'effets... -
Tony
Il est tout à fait permis de se tromper, mais l'intérêt est de tirer les conséquences de ses erreurs. Cette censure est inacceptable, donc on ne peut faire comme "si rien ne s'était passé" et reprendre le fil habituel des chroniques...
Quand Libé s'associait à Charles Hebdo dans l'affaire des caricatures, c'était pour dire que la liberté d'information était absolue et ne saurait souffrir d'aucune dérogation (mis à part tout ce qui relève du pénal). On voit que dès qu'il s'agit d'un réel pouvoir (le pouvoir médiatique), celle-ci peut tout à fait être piétinée. C'est bien pour cela que je ne comprends pas Daniel : soit cette censure est acceptable (elle relèverait donc selon Daniel d'un choix éditorial à laquelle il adhère, ce qui n'est manifestement pas le cas), soit elle ne l'est pas (et c'est une censure, soit un fait grave du type de ceux que dénonce couramment ASI, et il faut en tirer les conséquences qui s'imposent). Bref, Daniel dénonce un fait mais sans le faire suivre des conséquences attendues. Que faut-il en conclure ? C'est un peu comme disent les anglais "have a cake and eat it too" : prenez les faits, les critiques, mais laissez-nous le pouvoir... -
Tony
Un article intéressant d'Acrimed sur cette affaire : http://www.acrimed.org/article2824.html
Evidemment, la censure de Laurent Joffrin est choquante pour les raisons indiquées dans l'article d'Acrimed. L'article souligne notamment que : "Joffrin confond intentionnellement des critiques qui visent nommément le comportement de responsables passés et présents du journal et des critiques qui mettraient en cause leur physique personnel ou leur moralité privée."
Ceci dit, il considère que Daniel Schneidermann s'est un peu piégé en offrant ses services, pour ne pas dire avoir sympathisé, avec ce "mandarin" du monde de l'information au moment il partait à la conquête de Libé. Un rapprochement qui avait été l'époque raillé par Pierre Marcelle...
Mais ce qui m'interpelle c'est le présent. Cette censure étant un fait particulièrement grave, pourquoi Daniel n'en-a-t-il pas tiré les conséquences qui s'imposent en quittant son poste de chroniqueur ? Qu'attend-il pour mettre en accord sa position professionnelle avec sa déontologie journalistique ?
On a en effet appris par voie de presse (je ne sais plus où) que Daniel et Laurent Joffrin continuerait à travailler ensemble, ce qui n'est pas franchement une conclusion à la hauteur du problème. C'est plus le travers dénoncé par beaucoup d'entre nous : "vous les copains journalistes, vous vous fâchez mais en fait, vous avez tro d'intérêts communs pour ne pas rester ensemble".
J'ajouterai qu'en 1996, Daniel avait invité le sociologue Pierre Bourdieu à ASI. L'un incarnait la possibilité d'une critique de la TV à la TV, l'autre voulait démontrer l'inverse. On peut dire si on veut être pragmatique que jusqu'à l'année dernière, Daniel avait raison mais que maintenant il a tort et en a tiré les conséquences en fondant @si. Question, maintenant : est-il réellement possible de critiquer les journalistes papiers dans les (grands) journaux papiers... ?
Je souhaite que Daniel ait raison jusqu'au bout mais là encore, je pense qu'il se trompe. -
jo.elle
Daniel, Elisabeth arrive à la rescousse . Et oui, il vous est désormais interdit de prononcer les mots : "journal le Monde".
Pour les suspicieux il sera difficile de parler "du caractère émotionnel" ou encore "des propos revanchards" de son papier. -
Mme Merle
Comment se fait-il que vous qui étiez si impliqué en 2005, lors du référendum, ne parliez quasiment plus de la ratification à venir de la constitution, seul sujet réellemnt important de ce début d'année? Les tribulations du Monde, le mariage du Général Boulanger et de sa boulangère (peut-être un jour la naissance d'un petit mitron)... Broutilles, sans doute, que tout cela au regard des années à venir. Vous n'avez même pas relayé le texte, extrêmement concis et bien écrit d'ETIENNE CHOUARD (http://rue89.com/2008/02/04/etienne-chouard-on-se-fout-de-nous-avec-le-traite-europeen ) alors que c'est probablement le seul sujet d'importance capitale dont on devrait actuellement se préoccuper.
Dans quelques années, on se demandera pourquoi nous avons tous laissé passer une chose pareille et où nous étions en 2008. Faudra t-il répondre que nous avions alors trop à faire et que nous n'avions l'oeil que sur Sarkozy, Alain Minc et la fesse droite de Beauvoir et les blagues des Guignols? -
René-Louis Guiavarch
La seule injure que je trouve dans la chronique de D.S, c'est de traiter lejournal Le Monde de “sarkosyen”. Voilà une injure qui mériterait au moins les galères sinon la guillotine.Ceci dit, j'epère que D.S continuera d'écrire dans Libé, car, c'était pour moi une bonne raison d'acheter ce canard le vendredi. -
Jean-Paul Baraille
C'est trop nul votre réaction, M. Joffrin !
Dans le Nouvel Obs ça aurait peut-être pu passer, mais à Libé ! Ca va pas la tête ?
J'ai lu la rubrique censurée de DS sur @si. C'est assez juste et pas du tout méchant.
Pas de quoi casser trois pattes à un canard comme Le Monde.
Les vacheries, les vraies, ils sont assez grands pour se les faire entre eux au Monde, DS est bien placé pour le savoir.
Humilié à tort par NS lors de Sa conférence de presse, je compatissais avec vous M. Joffrin : je retire ma compassion.
Je crois, M. Joffrin, que vous êtes maintenant tout à fait compétent pour sévir au Figaro.
Chapeau bas Monsieur et bonne chance dans vos futures nouvelles fonctions. -
Anthropia
J'avoue que la chronique de DS était assez venimeuse, et je pense en même temps qu'elle aurait pu être 'corrigée' sur l'aspect attaque ad hominem, sans être refusée. Mais peut-être Daniel en avez-vous fait une posture, tout ou rien ? Ou est-ce Joffrin qui a dit Rien ? Je n'en sais rien.
Quant à l'acte de censure ?
Y a-t-il censure quand on tient le positionnement de son journal, Libé, et qu'on coupe, élague, tranche, fabrique. N'est-ce pas le propre du journalisme que de produire une ligne éditoriale nette, de retravailler les papiers ?
Quelle différence entre censure et ligne ?
J'avoue que c'est assez simple à dire, quand il s'agit de l'omission d'une information, de la suppression arbitraire d'un documentaire dérangeant ou de certaines phrases dans un texte, par crainte des annonceurs
En tant que chroniqueur, DS a-t-il un droit absolu à sa liberté d'expression ? A-t-il atteint la limite de ce qu'il peut dire, est-ce une limite juridique (pas d'attaque ad hominem), une remise en question, en soupçon, de la position anti-Monde d'un ancien journaliste licencié par ce même organe (DS réglerait ses comptes ?) ?
La réponse de Joffrin semble honnête et ne cache pas son droit autoritaire à choisir et à protéger le positionnement de Libé.
Ne peut-on y voir simplement un différend sur la conception d'une chronique et la marque hiérarchique du patron à décider ?
Après tout, Joffrin n'a pas empêché la sortie d'un papier sur Cécilia, d'autres chroniques ont été assez acides, pour autant elles sont passées.
Peut-on y voir deux identifications contradictoires au Monde ? L'une d'un patron pour un autre patron qui rame, le respect pour un organe qui cherche à protéger son indépendance ? L'autre d'un critique des médias, mais peut-être aussi d'un ancien salarié qui prend fait et cause pour le syndicat des salariés ? Assiste-t-on là à un conflit de classe, patron versus salarié ?
S'agit-il d'une censure ? Je suis bien embêtée de répondre à cette question. J'ai plutôt l'impression d'assister à un combat entre deux fortes têtes, qui ne sont pas d'accord. -
Stéphane Foucart
Juste un commentaire : si dans un grand journal, un journaliste s'autorisait à écrire sur une entreprise qui l'a licencié, que dirait Daniel Schneidermann ? Sans doute que c'est un scandale, qu'il y a conflit d'intérêt évident et manifeste, que c'est un autre exemple de maljournalisme, etc. Le problème est que M. Schneidermann se permet ce qu'il refuse aux autres. C'est un peu pénible. -
alain taieb
C'était vers la mi-juin 1968, dehors on goudronnait le boulevard Saint Germain pour oublier les pavés. Nous dînions dans un petit resto du quartier latin , quand est entré un jeune homme avec une pile de "France Soir" qu'il distribuait gratuitement en criant-" FRANCE SOIR A SON VERITABLE PRIX, C'EST GRATOS...D'accord Libé c'est pas France Soir! Quoique!!" France Soir des années 60 n'était encore pas tout à fait le cadavre que l'on connaît.
Mais, je me suis dit la même chose en apprenant que Joffrin avait sucré ton papier, avec ça, dans un numéro consacré à Mai 68 -voila un journal qui ne vaut plus rien, qui lui aussi va disparaître, et je suis triste;
D'accord il y a le Net, mais j'aime le papier. -
Christian RASETA
IL y a chez vous, comme souvent, des termes outranciers, des jugements qui relèvent plus de l'humeur que de l'analyse. Et c'est plutôt ce que je regrette dans votre article. Le fond est juste : Le Monde actuel vit sur le mythe Beuve-Méry de notre adolescence, il est devenu un journal comme un autre, pire, un produit comme un autre, soumis à des exigences plus commerciales et idéologiques que relevant de l'éthique de la presse. La prochaine fois, soyez aussi clair, voire plus explicite, et supprimez ces outrances inutiles.
Maintenant, fallait-il le censurer ? A moins que Joffrin, inconsciemment, ait voulu que votre éditorial passe en le censurant et en le faisant savoir.
Dans ce cas, vous seriez le grand gagnant, et Joffrin serait votre allié (involontaire ?).
J'attends la suite : écrirez-vous encore dans Libé la semaine prochaine ? Si oui, ce sera la preuve que, malgré les apparences, vous êtes deux partenaires dans un billard à trois bandes (l'expression est de vous !)
Allez, je continuerai à vous soutenir. Rien de pire que l'eau tiède. Disputez, invectivez, mais surtout, informez-nous. Nous en avons vraiment besoin, foi de TF1 (voilà que moi aussi je verse dans l'attaque personnelle !) -
Fan de canard
.. Comme de juste, ma réaction, pourtant sans attaque personnelle bien que dénoncant les méthodes employées, a été modérée par le site de Libération.
Une broutille de plus.
Par contre, les pop-ups règnent (comme sur le site du Monde d'ailleurs) grâce à smartadserver incrusté dans leurs pages, n'oubliez pas de virer les cookies traceurs après visite internautique des pages des journaux précédemment mentionnés.
J'aurai pas dû l'évoquer dans ma réaction, remarquez, évoquer et dénigrer la pub qui cimente leur site ! Après je m'étonne (John)... -
Patricia Tutoy
Ce matin, comme chaque vendredi, j'ai ouvert Libération pour lire, avant tout autre article, la chronique de Daniel Schneidermann. Pas trouvée ! Déçue ! J'ai feuilleté le journal, lu les articles qui m'intéressaient et découvert l'explication de Laurent Joffrin, annonçant la non-publication de la chronique de D.S. Je viens de lire sur @si la fameuse chronique censurée ! Je ne comprends pas la décision de Laurent Joffrin. Avec cette censure, nous touchons le fond du fond. Depuis 2 mois, j'achetais de nouveau Libération. Après une rupture d'une dizaine d'années ! Je vais de nouveau rompre avec Libé. Pour toujours. -
poisson
Inutile de traiter Laurent Joffrin d'imbécile ou de mauviette, ce n'est pas par bêtise ou manque de courage personnel qu'il prend cette décision. Son explication, qu'on peut résumer par la formule : ne tirons pas sur l'ambulance, est loin d'être convaincante. Cela donne le change, fait bonne figure et le range du côté des journalistes consciencieux.
Sauf à penser qu'il ménage la sphère de la presse au sens large parce qu'il espère poursuivre sa carrière au Monde, un jour, pourquoi pas, on doit supposer qu'il ménage la presse au sens large par une sorte d'identification personnelle de Libé/lui-même au journal Le Monde, parce qu'il se met à la place des dirigeants actuels et qu'il les épargne comme il aimerait être épargné des attaques "guerre civile" alors que tellement d'ennemis extérieurs menacent les quotidiens de la presse écrite. Cela part d'une bonne intention.
Une bonne intention peut faire des ravages.
Un journaliste (qui est une signature) parle-t-il en son nom ou parle-t-il de derrière le titre qui le publie? La question est là. Une fois adoptée "la signature" en question, ne peut-on pas attendre du titre qu'il lui offre une presque totale liberté de parole, en tant que lecteur?
En lui refusant la publication de l'article ci-dessus, Laurent Joffrin tend à dire à Daniel Schneidermann : vous utilisez Libé à des fins propagandistes pour interférer dans les affaires d'un autre journal. Est-ce le cas? Ou est-ce un article qui fait froidement un état des lieux sur le journal Le Monde en énumérant les faits particuliers qui peuvent expliquer cet état et en entrebaillant la porte sur l'avenir d'un journal Le Monde qui ne sera plus comme avant. A nous de juger. Mon idée c'est que seuls les gens qui lisent l'article en diagonale, et en présumant que Daniel Schneidermann sent la poudre, peuvent s'imaginer qu'on est dans le premier cas. Les autres non. Moi non, je crois que c'est un article qui nous informe, pas qui nous manipule. C'est dommage de ne pas le publier, mais on s'en fout puisqu'on le lit ici, alors à quoi sert libé, on se demande? Dites, Monsieur Joffrin, et si vous pariez sur la qualité de lecture de vos lecteurs? Sur leur droit à être informés? Ce serait mieux pour faire exister Libé.
Pendant mes dernières vacances, j'ai acheté libé pour lire dans le train, et j'ai ramassé Le Monde abandonné sur un siège, le pauvre. Libé m'a encore occupé un soir au lit avant d'éteindre la lumière. Le Monde m'a servi de lecture de chevet pendant la semaine...
Monsieur Joffrin, on ne veut pas que du vite lu mal lu! On veut des trucs qu'on peut relire, ressasser, et même des trucs dont on puisse dire "il y va un peu fort". A relire deux fois l'article de Daniel Schneidermann : Eric Fottorino, ne pas le prendre pour un habile homme comme il le fait, ce serait le prendre pour une marionnette dont les actionnaires tirent les ficelles. Ce qui peut sembler une attaque n'est donc pas si méchant. Et à la fin de l'article, le traiter d'"inconnu" au sens mathématique est bienveillant.
Les actionnaires du monde, privés de pouvoir direct par la présence des actionnaires de la société des rédacteurs, ont su trouver un autre pouvoir qui m'a l'air bien puissant puisqu'il a délogé Jean-Michel Dumay. Ou bien c'est juste pour apaiser le diabolique Alain Minc, avoir la paix pour qu'ainsi tout le monde puisse redevenir serein, tant pis pour le sacrifice. Voilà, comme quoi je suis bien informée, grâce à asi, et que je réfléchis au truc par moi-même un peu, en ayant tout faux peut-être, mais sans être manipulée, ni qu'on me dicte mes idées, c'est mon impression, est-elle fausse?