Jean-Michel M 24 décembre 2025 à 15:59

« L’IA d’aujourd’hui, c’est les réseaux sociaux d’hier »

Ha, et depuis quand les réseaux sociaux ont-ils gagné en grâce le statut d’invention unanimement bénéfique ? On y a vaguement cru au moment des printemps arabes, et puis c’est retombé comme un soufflet, et puis il y a eu Elon Musk, X, et les ingérences russes dans la politique française.

Non, franchement, l’argument est fallacieux

Alors oui pour de renseigner car il faut connaître son ennemi pour pouvoir le combattre. Mais c’est tout.

« l’impact écologique je ne me suis  pas encore penché dessus »

A force d’entretenir des angles morts, on finit par devenir aveugle.

Pathétique.

constant gardener 24 décembre 2025 à 15:00

Avez-vous testé DEEP SEEK, moins gourmand en énergie parait-il, et open source ? 

Merci d'avance. 

Catherine Gaeng 24 décembre 2025 à 10:01

s’épargner le travail d'écriture.

rationaliser ce qui peut l’être en termes d'écriture

structurer quand on ne sait pas le faire tout seul

Bon, ça c’est quand même le B.A.- BA dans le domaine de l’écriture (qu’on soit journaliste, chercheur ou écrivain). Si on ne sait pas faire, il faudrait peut-être commencer par apprendre à le faire plutôt que de déléguer la chose à une machine. Ou envisager une réorientation professionnelle.

gagner en productivité

gagner du temps 

faire des plans de communication

calibrer des titres devant faire appel à l'émotion du lecteur

reformuler du contenu peu exigeant

Et ça au contraire, ça ne fait sûrement pas partie de l’essence même du journalisme.

KH3RIS 24 décembre 2025 à 06:07

Content de lire du contenu sur l’IA generative qui ne soit ni dithyrambique ni au vitriol. 

Effectivement je n’aime pas l’outil mais c’est sûrement important de savoir l’utiliser. 

Et malgré tout, j’ai cette impression tenace que ce n’est qu’une mode qui passera…

LP 24 décembre 2025 à 00:14

> Dans la foulée, elle relève cependant "le vrai sujet que je n'ai pas encore exploré, c'est le coût énergétique, et ça me pose problème". Mais nuance aussi : "Quand j'utilise Google ou que j'envoie dix mails dans la journée aussi..."

Nous ne sommes PAS dans le même ordre de grandeur… La consommation gargantuesque de ressource de l'IA est sans commune mesure avec les réseaux sociaux, les moteurs de recherche, les mails, que se soit en terme de  d'électricité ou d'eau pour les datacenters, de minerais rares pour le matériel informatique…

Se dire qu'on fait preuve d'esprit critique en sachant comment "guider" les IA avec des prompts bien ficelés, mais ne pas voir le monstrueux impact écologique, c'est à mon avis être aveugle à l'enjeu majeur de l'IA générative (ce qui arrange tout à fait l'agenda des géants du numérique). Et ça, c'est sans aborder les enjeux sociétaux.

Lorie 23 décembre 2025 à 19:40

Je ne suis pas journaliste mais je retarde quand même vu que Facebook, très peu pour moi et que l'IA me rebute:

chômage, perte de créativité, médiocrité, surveillance accrue, robotisation des esprits vu que tout le monde écrira ou pensera pareil, plus besoin de Bolloré pour coloniser les cerveaux, bien sûr, au début on fera attention, puis la facilité venant on profitera du système et les gens se détruiront eux-mêmes. Bienvenue dans le monde de la pensée unique.

Bon, je retarde,puisque je ne m'adapte pas, mais l"avenir me donnera raison ou tort.

Maxence 23 décembre 2025 à 18:01

«  "Pas de formule de politesse", enjoint la formatrice, "ça utilise de l'électricité pour rien". »

The new pipi sous la douche.