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oeilduchien
Chers asinautes, dans le même esprit la sortie récente d'un livre "Des mots, un silence" consacré à René Leynaud journaliste et poète français, fusillé pour actes de résistance à Villeneuve et proche d'Albert Camus
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Mathias
Ça correspond à quoi la création de l'UNEF en 63 ? L'unef existe depuis 1907, elle s'est syndicalisé dans les années 50 et s'est dispersée au début des années 70
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Bartabac
Y aurait il un lien entre le nombre de résistants au début de la guerre et le peu de lecteurs de combat et qui s'étiole au fil du plan marshal , la bagnole pour tous sans la voler a un juif ou des patates pour tous à un autre prix que celui du marché noir ? Aujourd 'hui , malgré l'avenir de combat qu'il faudrait mener , on m'a dit c'est pas nous le problème , c'est l'industrie ,c'est pas si simple , ils te l'imposent des fois , leurs produits ,leurs façons de faire ... J'ai rien compris , personne ne m'impose rien du tout longtemps , merde j'ai une tare .
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marco negre
de la nostalgie ce matin en lisant ce très bon article, celui de mon adolescence où j'achetais combat et que j'ai lu jusqu'à sa fin, effectivement parce qu'il offrait, ce qui a complètement disparu aujourd'hui de la presse française, chaque jour, de la diversité d'opinions
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Davesnes
Je suis fort surpris d'apprendre qu'il y a un lien entre Jean Lefèvre et le jouyrnal Combat. Je n'en saurais pas davantage puisque le lien de l'article renvoie à une vidéo de l'INA accessible aux seuls abonnés.
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Frédéric44
Bonjour. Merci de ce passionnant article. Cependant, Berty Albrecht n'a pas été arrêtée par la Gestapo à Marseille, mais à Mâcon (71), le 28 mai 1943, au Square de la Paix où elle avait un RV dont la gestapo avait eu hélas connaissance (Dominique Missika - "Berty Albrecht féministe et résistante" - Ed° Perrin, collection Tempus, 2005). FP.
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Georges-Henri
Merci pour ce très bel article sur un beau journal. La fin de combat c'est aussi le pompage de ses lecteurs par Philippe Tesson et son Quotidien de Paris dont le format, la mise en page emprunte beaucoup à Combat, avec tout de même moins de coquilles et moins d'encre d'imprimerie sur le doigts des lecteurs, mais davantage de VGE. Tout d'abord d'une manière nuancée, et puis d'une manière massive, ce journal était devenu un tract. Je crois me souvenir, mais peut-être que je me trompe, que Tesson bénéficiait de l'argent de sa femme (le quotidien du médecin)
A quand un article sur le Libération d'Emmanuel d'Astier de la Vigerie ?
Car voilà un authentique journal anti-colonialiste... qui mérite bien qu'on parle de lui.