McCain et son ennemi, le prompteur

Gilles Klein - - Étazuniens - 7 commentaires

Une campagne présidentielle, c'est un débat d'idées, c'est un duel mais c'est aussi un exercice de style où l'aisance face aux médias peut faire la différence. Dans ce domaine, le républicain John McCain, plus vieux, moins télégénique que son jeune et élégant rival, le démocrate Barack Obama, semble désavantagé : ce n'est pas un bon orateur, et il est mal à l'aise face aux caméras.

C'est l'inverse de la précédente campagne présidentielle que j'avais eu l'occasion de suivre pendant quelques mois sur place. John Kerry, le candidat démocrate était long, verbeux, ennuyeux, distant, froid, fac...

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