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gondalah
Ça me gonfle les économistes comme Thomas Piketty, qui veulent bien critiquer le modèle économique mais qui ne vont pas jusqu'au bout de leur raisonnement. Il est sympa de l'entendre parler des causes, mais vouloir régler les choses par des impôts.... Ce qui m'énerve, c'est la popularité de ces économistes chez les médias de gauche raisonnable.
Ah le banquier n'est pas coupable? C'est le système qui est coupable? Et les Roms, et les délinquants, les fraudeurs, les sans papiers... Ces gens qui sont déjà montré du doigts jours après jours. Moi, je serai ému par le sort d'un banquier le jour où la société montrera de la compassion pour ceux qui sont déjà des coupables aux yeux de tous. -
korneflakes
Petite précision au sujet de ces réacs créationnistes qui ne croient pas que l'homme descende du singe.
L'homme ne descend pas du singe. L'homme et les singes ont un ancêtre commun qui ressemblait probablement à un singe. L'homme n'est pas un singe qui aurait évolué : les singes actuels et l'homme sont aussi évolués les uns que les autres, ils ont juste évolué différemment. Nous sommes cousins, pas pépé/fiston. -
Erwan
En effet, dans le discours simpliste "banques = méchants, alors on n'a qu'à pas leur rembourser la dette à ces charognes", on oublie que l'argent que les banques (et autres hedge funds) investissent est en grande partie constitué des petites économies des (fameuses) classes moyennes. Mais surtout il faut réfléchir aux conséquences d'un défaut en termes de confiance des prêteurs potentiels futurs, qui ont de bonnes chances de se détourner de l'emprunteur indélicat. Et s'il s'agit des Etats-Unis, ça va faire des petites vagues... -
Strumfenberg ( Aloys von )
Le " Tea party" a son pendant français dans le FN et la droite de l'UMP. Leur analyse montre surtout la force de l'idéologie, prise comme impossibilité d'échapper à ses intérêts de classe. On aimerait bien penser, mais on ne peut pas, c'est trop cher. -
Roger
Bonjour
Question peut-être naïve car je n'ai pas trop suivi cette histoire de relèvement du plafond de la dête amerlocaine, mais intuitivement, j'avais compris que si pas de relèvement du plafond, pas possible donc... d'emprunter tout simplement. Ce qui mènerait à un autre shutdown ou équivalent mais en laissant intact les créances passées. Je ne vois donc pas en quoi cela implique un défaut. A moins que le plafond ai déja été percé et nécessiterait donc un ajustement valable rétroactivement en quelque sorte ? -
Hurluberlu
Psst: c'est Rebel without a cause, le titre original de la fureur de vivre; avec ce que vous avez écrit, on croirait que le film de Nicholas Ray raconte l'histoire d'un insurgé qui n'a pas bien lu sa police d'assurance.
Lors du pas si lointain psychodrame du fiscal cliff (toujours cette histoire de falaise et du jeu idiot de la poule mouillée), un accord avait été trouvé in extremis (une heure avant) pour boucler le budget. Ne risque-t-on pas de retrouver le même schéma, le parti républicain faisant mine de s'opposer à out avant de céder in extremis plutôt que de risquer une crise démarchés qui serait dévastatrice non seulement pour leur pays, mais surtout pour la réélection de beaucoup d'entre eux?
Votre lecture du week-end, c'est Argent brûlé de Riccardo Piglia, ou un autre livre mettant cette citation ultra-connue en exergue? -
Photino
hum j'ai lu une analyse plus originale du blocage américain qui a le mérite de ne pas prendre les républicains pour des demeurés ; une analyse hautement cynique qui plaira à tout bon complotiste http://la-chronique-agora.com/shutdown-gouvernement-us/ , je vous laisse libre de juger sachant que la chronique agora est site d'analyse boursière très critique sur l'évolution financière actuelle voir la chronique P. Béchade. -
Strumfenberg ( Aloys von )
Merci à Anne-Sophie de rester fidèle à sa réputation.