L'Etat, actionnaire de Safran ? Question financière, mais aussi industrielle

Anne-Sophie Jacques - - Éconautes - 17 commentaires

La controverse sur les "bijoux de famille" souligne l'absence de débat parlementaire

La vente par l’Etat d’une petite partie de sa participation au capital de Safran – groupe industriel qui œuvre dans l’aéronautique, la défense et la sécurité est-elle une bonne affaire ou au contraire le signe que l’Etat brade à tout-va sous injonction de Bruxelles ? Au-delà des arguments financiers évoqués par un internaute du blog de Jean Quatremer, quel est l'intérêt réel, pour l'Etat, de demeurer actionnaire d'entreprises dites "stratégiques" ? Examinons de près les enjeux financiers, mais aussi industriels. Calmement.

Alors là, non. Ne comptez pas sur moi pour remettre une couche d’huile sur le feu déclenché par le patron avec sa chronique sur la vente des actions de Safran et qui a déclenché la fureur de Jean Quatremer, correspondant de Libération à Bruxelles. Limite je rechigne à vous résumer l'affaire. Le dernier épisode sur ce site est disponible ici et la réponse de Quatremer . D’autant que la question de départ posée par le tenancier de ces lieux et lancée la veille par François Lenglet sur France 2 est toujours en suspens : oui ou non l’Etat a-t-il bradé les bijoux de famille en cédant une nouvelle fois ...

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