Le grand buzz d'Anaïs, la petite herboricultrice bretonne

Anne-Sophie Jacques - - Éconautes - 47 commentaires

La belle histoire d'un doc de TV Rennes, 100% bio

Il est des petits bonheurs dont on aurait tort de se priver. Le documentaire Anaïs s’en va t-en guerre est de ceux-là et les spectateurs ne s’y sont pas trompés. Diffusé en juin sur la télé locale de Rennes, le film a trouvé son public par la suite sur la Toile avant d’être programmé lundi par France 4. Sa force ? Anaïs, jeune herboricultrice entière et en colère, décidée à vivre de ses plantes envers et contre tout. Mais pas contre tous : Anaïs séduit par sa détermination. Elle nous renvoie à nos propres rêves. A notre humanité.

"J’y mets tout mon amour, mais ça ne va peut-être pas suffire". Anaïs doute. D’accord elle suit son rêve de faire des plantes son gagne-pain. Suffit juste d’un bout de terre et du temps. Quinze heures par jour s’il le faut. Mais les bâtons dans les roues ça l’énerve. Le documentaire Anaïs s’en va t-en guerre s’ouvre sur la jeune herboricultrice qui désherbe son champ avec rage et laisse exploser sa colère. "Une fragilité inoxydable" dira le chef étoilé Olivier Roellinger au micro de TV Rennes. On ne peut dire mieux. Cet amoureux des épices est venu rencontrer Anaïs au milieu de ses plantes. Dans le docume...

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