Pierre38330 30 janvier 2014 à 17:19
Aloys et les autres, vous vous calmez s'il vous plait.
On est à Davos, entre gens sé-ri-eux je répète, sé-ri-eux.
Entre gens sérieux on parle dans un environnement destressant (sic) de chose sérieuses.
Qu'est-ce qu'une chose sérieuse ?
Ben.. une chose sérieuse, c'est une chose qui nous concerne nous tous, mais dont seuls quelques uns ont à connaître ou décider.
Ben... une chose sérieuse, c'est un truc qui conncerne tout le monde, donc c'est pour ça que personne ne peut en décider.

La démocratie a été inventée pour décider des choses sérieuses.
Il y a pleins de gens qui sont morts pour ça.
Apparemment, leurs cadavres ne sentent pas bien fort.

yaniz 29 janvier 2014 à 19:26
lien sur une conférence d'Emmanuel Todd qui décrit bien dans quelle glue nous sommes collés...
il y propose vers le début de la deuxième heure, un protectionnisme européen (la France est trop petite) pour relancer les salaires. Alors américains, européens, même combat. l'analyse de la situation politique en France (première heure) est saisissante de réalisme.
http://www.youtube.com/watch?v=73nMS9LiWvA

Erwan 29 janvier 2014 à 18:47
On mentionnera pour mémoire que Schmidt n'est pas le premier patron de grosse entreprise américaine utltra-capitaliste à développer une pensée "keynesienne" : avant même Keynes, Henry Ford avait aussi compris qu'il faut que les ouvriers aient le temps et l'argent d'acheter les voitures qu'ils fabriquent : http://www.les-crises.fr/ford-5-jours-payes-6/

Benjamin Trinité 29 janvier 2014 à 14:03
C'est un détail mais Éric Schmidt n'est plus le patron de Google. Il est executive chairman. Le patron de Google (CEO) est maintenant Larry Page.

abracadabra 29 janvier 2014 à 13:53
Autre comparaison "parlante" du rapport d'OXFAM :

"La moitié la moins riche de la population mondiale possède la même richesse que les 85 personnes les plus riches du monde."

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 29 janvier 2014 à 13:39

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Strumfenberg ( Aloys von ) 29 janvier 2014 à 12:21
Comment peut-on souhaiter l'augmentation du coût du travail ? C'est avec ce genre d'âneries qu'on se dirige vers la faillite du monde, incapable de se rembourser sa dette !