Bourses, néo-nazis, gauche radicale : que retenir du vote grec ?

Anne-Sophie Jacques - - Éconautes - 65 commentaires

6 mai : la Grèce aussi votait. Qu’en a retenu la presse ? L’entrée d’un groupe néonazi au parlement. La panique des marchés. Et aussi, assez loin derrière, l'émergence du parti de la gauche radicale d'Alexis Tsipras.

Et si on faisait un petit jeu tout simple ? C’est facile : ouvrez Google actu et tapez Grèce. Que lit-on d’entrée ? Les marchés tremblent. Wall Street est déboussolée. Les Bourses sont préoccupées.

Le chef de la gauche radicale, Alexis Tsipras, et le président grec Karolos Papoulias

(dépêche AFP sur le site de TV5)

La Grèce est à la dérive, et le monde de la finance tourne de l’œil. L’AFP entame sa dépêche de mardi ainsi : "La Grèce menacée de paralysie politique s'est enfoncée mardi dans une crise qui a plombé les bourses mondiales, les marchés craignant que le pays ne r...

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