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Ervé
Un bon point pour François Hollande : il ne se déplace qu'en Laguna.
Alors que DSK, son adversaire le plus redoutable pour les primaires du PS, frime en Porsche ! Honteux.
Moi qui avais toujours supposé que Dominique et Anne habitaient un deux pièces-cuisine à Sarcelles et roulaient en Logan, je suis profondément écoeuré par cet étalage de luxe.
En mai 2012, lorsqu'il s'agira de glisser mon bulletin dans l'urne, j'aurai recueilli des infos sur le patrimoine de chaque candidat.
Le plus modestement logé et motorisé obtiendra mon suffrage. Et tant pis si c'est Marine Le Pen. -
Godinprod
Bonsoir,
Au delà de cette chronique de Didier Porte, certainement pas sa meilleure par ailleurs, je suis ravi qu'il est soulevé la thématique de l'interview de Robert Ménard par Pascale Clark. J'ai été surpris qu'@SI ne s'empare pas de ce moment radiophonique... J'ai bien trouvé un article sur Marianne2 traitant du sujet, mais rien sur notre site d'analyse des médias...
Pourtant elle m'a interpelé cette interview, on a rarement l'habitude d'entendre des journalistes "du même monde" s'affronter si ouvertement. Alors que s'est-il passé ? Pascale Clark fait-elle la promo de Ménard ? Mais surtout la question qui m'intéresse au sein de ce phénomène de zemmourisation ou de libération de la pensée extrémiste de droite, ce sont les postures que vont prendre les journalistes main stream.
J'ai un peu l'impression que Pascale Clark a fait davantage le jeu de l'extrême droite avec son interview que Robert Ménard avec son livre. Encore une fois pourquoi ne pas attaquer le contenu mais toujours discréditer l'auteur. A mon humble avis si l'on arrive à démontrer l'absurdité du propos, alors celui qui le porte s'en trouvera tout aussi affecté. -
le mot n'est pas la chose
elle est où, la vidéo ? -
Al Ceste
Dire qu’à mon âge (pas taper, Sémir ;-) on peut avoir encore des illusions et croire qu’il existe, peut-être, des hommes politiques ennemis de la démagogie. Qu’Hollande pouvait en être.
Mais voler comme il l’a fait au secours d’une radio qui bosse dans l’exploitation éhontée des djeuns en les brossant dans le sens de la capuche, qui confond rebellitude et grosses pépètes, qui a inventé les skyblogs auprès desquels le désert de Gobi est une forêt tropicale, ça m’a foutu un bourdon plus gros que le bourdon de Notre-Dame (13 tonnes).
Et il n’a pas été le seul, en plus, les politiciens se sont rués au secours de Bellanger comme Mère Teresa sur un pré-cadavre. Tiens, par exemple, l’inévitable Lang qui avait déjà permis à Baudecroux (NRJ) d’écraser les vraies radios libres de Paris. Lang qui signa en 1977 une pétition de soutien à des pédophiles emprisonnés. Quand on connaît le passé judiciaire de Bellanger, c’est assez raccord, non ?
Pendant ce temps là une autre radio, RFI, crève de sa guerre des chefs sans qu’aucun politicien ne bouge. Bah, c’est une radio écoutée par des gens qui votent même pas en France, alors…