leshausses 11 février 2012 à 22:27
Ahah c'est excellent ! Une des meilleures chroniques de Didier Porte sur @si !
En même temps, De La Villardière lui a mâché le travail en quelque sorte. Un vrai clown a lui tout seul.

emilie bouyer 11 février 2012 à 15:02
Le maire de Chantilly, le pauvre,martyrisé par le juge de Bordeaux et qui clame son innocence...mais qui sera grillé à la place de Sarko comme Juppé le fut à la place de Chirac et qui de toutes façons n'est pas blanc comme neige..Et ,dans ce document savoureux,le "dessus du panier " de droite dans son milieu naturel tellement ridicule que c'en est comique.

Alberto42 11 février 2012 à 08:20
Le monde de Chantilly : un morceau d'anthologie ! On dirait du "Pinçon-Charlot" , le monde des riches inconscient de l'image qu'il offre. Trop drôle (ou tragicomique). Ou tout simplement à gerber. Au choix ou tout le lot.

Fan de canard 10 février 2012 à 23:49
Une bonne marrade de 8mn sur la consternation télévisuelle sans cesse renouvelée.
Merci Didier.

AaaaAAAaaahhhh.. Didier Porte et Thomas Legrand à la même tablée.
ces retrouvailles ont dû être poignantes, pour sûr.

Ké ? Rhââhh mais si, or donc.

Un vaillant journaliste de la matinale "piégé et pris en otage" et qui rencontre de plein fouet son ravisseur, cela a de quoi émouvoir, voir inspirer une émission trash TF1nesque. Et ben là, non. Merci @si de n'avoir point succombé et d'avoir enchainé directement sur le décryptage.
Pourtant on sentait l'émotion presque palpable sur le plateau.
Pensez, Thomas Legrand qui s'efforce de laisser paraitre s'être remarquablement remis de l'éviction politique de l'humoriste, dans laquelle le premier a été bassement "mis à mal" par le second, après que ce dernier a déversé "ça" avant de "repartir" l'air de rien. Le talent, je ne vois que ça.

Quelle émotion, décidément je ne regrette pas d'avoir renouvelé mon abonnement !


Edit: à Christian H., ci-dessus - à 5mn près, il y a rencontre ^^

Christian H. 10 février 2012 à 23:44
Une chronique menée de main de maître, où les séquences s'enchaînent à bride abattue, sous l'oeil de maquignon d'un DS qui admire le talent de son étalon. Lui qui pour notre plus grand bonheur a fait partie de ceux qui ont remis Didier en selle suite à sa mise à pied de France Inter.
En présence d'un Thomas Legrand qui, on s'en souvient, avait sans état d'âme donné le coup de pied de l'âne au héraut qui aiguillonne nos princes, on aurait pu s'attendre à ce que le pur sang de la chronique matutinale prenne le mors aux dents, et se fasse justice d'une ruade bien placée dont il a le secret, ... mais il n'en fut rien, la classe, un parcours parfait.
L'émission s'est-elle terminée au BarTabas ?

Tiphaine 10 février 2012 à 21:07
C'est quoi "le salza" à 1:32... ?

Super Annie 10 février 2012 à 20:47
une vraie pépite tant pour le reportage (moi je n'ai pas équidia) que pour la chronique. Le retour d'un Didier en grande forme

sleepless 10 février 2012 à 20:18
Pour 150 euros, tu as dix leçons gratuites

Ouch.

Julot Iglésias 10 février 2012 à 20:03
Bravo Didier Porte pour cette chronique super poilante.
Et bravo au réalisateur qui fait un sans faute malgré le rythme effréné que vous lui imposez.

NM38 10 février 2012 à 20:01
Alors Didier, c'est-y pas génial de savoir qu'en cette période de vaches maigres, on peut emballer la gueuse avec 6 chevaux ?