@Guinebow 22 novembre 2011 à 15:16
Pour mémoire, Michel Drucker avait viré avec fracas un autre dénonciateur des "faux gentils" : Gerard Miller (avec un message téléphonique taillé à la machette)
http://www.labandearuquier.com/Gerard-Miller-s-explique-sur-son.html

Rappelons aussi que Drucker avait lourdement attaqué Fogiel, principalement pour crime de lèse-Drucker, MOF n'ayant pas cité le regretté Jean Drucker.
http://www.ozap.com/actu/marc-olivier-fogiel-michel-drucker-bardot-grill/302122

Drucker exige également la déférence de tous ceux qu'il a connu avant la gloire
http://www.voici.fr/news-people/actu-people/michel-drucker-reagit-aux-excuses-d-elie-semoun-312975

Et il refuse de payer ses nègres...
http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=10074

Sans oublier le Drucker ouvertement vexé de ne pas avoir été consulté par le Président de la république (un ami) avant la réforme de France Télévision... ce qui en dit long sur l'égocentrisme aussi résistant que l'animateur lui-même.


A tel point que je me demande si Carlier, en évoquant ces faux gentils, ne faisait d'ailleurs pas référence à Drucker lui-même, qu'il avait vilipendé dans plusieurs chroniques pour son sourire de façade.
De quoi pousser Jean-Pierre Coffe à intervenir, ayant lui-même un compte à règler avec Carlier, ce dernier ayant moqué le cuisinier lorsqu'il vantait McDonald ou Leader Price (remarquez comme Coffe reste bras croisés lorsque Carlier serre la main de tout le plateau).

D'ailleurs, il y a quelques semaines, Jean-Pierre Coffe crachait chez Drucker sur les poulets élevés en batterie... Leader Price élève sûrement les siens dans des champs verdoyants... au même titre que Drucker élève les égaux en batterie.

Fan de canard 21 novembre 2011 à 16:29
Ce n'est pas encore aujourd'hui que je vais regretter de ne plus avoir de télévision.
C'est le genre de (nombreux) programmes où on attend la pub avec impatience, non ?

NM38 19 novembre 2011 à 14:11
"Attendre le dernier moment (Carlier quittant le plateau) pour balancer cela, de façon à ce qu'il n'ait pas vraiment le temps de répondre est à la hauteur de la gentillesse dégoulinante de Drucker; "

Une spécialité des chaînes télé et de leurs larbins tout acquis au pouvoir en place...(Bon qui changeront de camp naturellement dans quelques mois...). On tacle à la fin, comme un gros lâche qu'on est, informé que l'autre ne sera pas en mesure de répondre (y'a plus l'temps, faut rendre l'antenne à Cognakjé"

http://presidentielle2012.canalplus.fr/candidats/jean_luc_melenchon?video=544523

admin 19 novembre 2011 à 13:03
Je n'ai jamais été fan de G Carlier. (pas plus que de Ruquier et autres comparses)
Mais la méthode de Drucker est effectivement "minable"... que peut on attendre de plus de telles émissions?
Bref, ce n'est pas tant, ce que dit Coffe qui est minable (quoique pas très original) mais plutôt la manière.
Attendre le dernier moment (Carlier quittant le plateau) pour balancer cela, de façon à ce qu'il n'ait pas vraiment le temps de répondre est à la hauteur de la gentillesse dégoulinante de Drucker; écœurant, surtout lorsqu'il campe le rôle du donneur de leçon morale.
Pour tout dire ces émissions me fichent le bourdon, c'est pour cela que je ne regarde jamais.

charlie.lapared 19 novembre 2011 à 11:20
Je n'ai jamais aimé Guy Carlier, mais dans cet épisode, je dois dire que Drucker (que je ne supporte pas non plus) montre vraiment à quel point il peut être minable.
Minable, minus, triste sire, carpette, cireur de pompes incapable de décrocher de sa notoriété, encore moins du pognon qu'il gagne depuis des années sur le dos du contribuable français (contribution à l'audiovisuel public + prix de la pub répercuté dans les prix de vente).
Et l'autre faux cuisinier, qui fait de la pub pour des produits de merde et qui a construit sa notoriété sur justement la dénonciation des mêmes produits, il ne vaut guère mieux..
Télé de merde. Programme dangereux. Il est capable de faire remonter la cote de son pote Sarko avec ses dégoulinures de marshmallow fondant !

Emmanuel Genty 19 novembre 2011 à 10:55
La méthode décrite par Didier Porte est un "grand classique" du "journalisme" moderne. Drucker ne dit pas de mal de l'invité, c'est le chroniqueur Coffe qui le fait.
C'est encore pire ailleurs, où ce ne sont pas des chroniqueurs mais des personnes externes à l'émission qui sont chargées de dire du mal. Des journalistes automobiles de la presse écrite qui "témoignent" dans une émission automobile, pour souligner les points faibles d'une voiture tandis que le présentateur de l'émission se garde les points forts.
Les critiques de cinéma qui notent les films (parfois durement) dans Le Grand Journal quelques jours après que le duo Denisot-Massenet a trouvé le film "formidable"...
Ca mériterait même une enquête tiens...

RandyMeeks 18 novembre 2011 à 22:45
La chronique de Didier Porte m'intéresse de moins en moins. J'ai l'impression que c'est juste une succession d'extraits télé moyennement intéressants. Ok pour passer des extraits dont on veut parler, mais quand ça prend 80% du temps de la chronique, ce n'est plus des extraits, c'est de la paresse !
Je crois me rappeler de chroniques à la radio dans lesquelles il nous parlait de moments télévisuels. Et bien dans ce cas beaucoup plus intéressant et savoureux car, du fait qu'il ne pouvait pas montrer les images aux auditeurs, il était obligé de les décrire, à sa façon, avec ses mots.

claude 18 novembre 2011 à 19:42
Je n'oublie pas la manière dont Carlier, après avoir démonté Nadine Morano, lui a servi la soupe en écrivant un bouquin avec elle. Il était plus que flatteur à son égard, de manière totalement insupportable, pour moi en tout cas, NM ne m'étant pas particulièrement sympathique ! Porte aurait-il oublié cet épisode ?

Choucroutas Cassoulaitis 18 novembre 2011 à 18:23
Coffe a raison. Je me souviens avoir vu Carlier (dans feu l'émission de Fogiel sur F3) presque ramper devant Bénichou, après l'avoir démonté la semaine précédente à la radio, rire de manière complice avec Bruno Solo quelques jours après avoir dit, dans l'émission de Bern, sur Inter, qu'il ne l'aimait pas, etc. Il est décevant. C'était pourtant lui, le vrai nouveau Desproges.