ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • Pablo San 4 janvier 2010 à 02:00
    Merci Alain
    J'adore vos chroniques
    Sinon pour le mur ... une petite dernière

    http://photomontages-pablo-fakes.over-blog.com/article-le-mur-de-berlin--39706629.html

  • Paméla 17 novembre 2009 à 14:24
    Bruegel n’est pas le seul peintre inspiré par la Tour de Babel.
    Je me souvenais d’avoir vu une autre peinture au Musée Kröller-Müller.
    La construction de la Tour de Babel par Hendrik III van Cleve

    D’autres peintres encore.
    Marten Van Valkenborch

    Abel Grimmer

    et encore plein ici.

    Et puis ne pas confondre ba-ba-ba-bel et babybel !

  • tonis ANTZOULATOS 15 novembre 2009 à 15:55
    Bonjour,
    Que voulez vous dire par: "Chez Bruegel, l'image est une émanation de Dieu".
    Merci,
    Tonis

  • Anthropia 15 novembre 2009 à 14:19
    Merci, Alain, très bonne chronique, instructive, qui nous cultive à l'insu de notre plaisir à vous lire.

    Mon bémole pour la musique, cette année, à Berlin, c'est que Barenboim n'est pas Rostropoitch, que lui a quelques casseroles à ses basques, par exemple, celles d'avoir introduit Wagner à Jérusalem. Je connais des artistes berlinois, qui n'ont pas apprécié que Karajan revienne à Berlin post-mortem, malgré son histoire avec l'Argentine, Barenboim n'a pas sonné juste pour tout le monde.


    http://anthropia.blogg.org

  • delphes 15 novembre 2009 à 12:53
    La photo du Colisée à Rome me fait penser à un "mini-Colisée" que j'ai vu cet été, à Oban, en Ecosse. Il a été conçu par un gars appelé MacCaig, et qui a décidé de construire une réplique du Colisée à Rome pour donner du boulot aux maçons du coin pendant les durs mois d'hiver.
    C'est-y pas beau ça ?

    merci pour la chronique, la musique, le mickey, je prends tout ;-)

    et pour les affiches de film, je pense qu'il faut qu'ils se méfient, parce qu'on ne les regarde plus : j'ai l'impression que ce sont des anciennes affiches, et elles n'attirent pas mon regard !

  • Super Annie 14 novembre 2009 à 22:28
    Le violoncelle au moins ça a de la gueule. J'ai vu la cérémonie des 20 ans avec les dominos. Pas de Flavie Flament : j'étais déçue car il me semble que c'est elle qui anime les domino days, non ?

  • Florence Arié 14 novembre 2009 à 21:42
    Entre les gesticulations verbales d'un BHL et ce discours musical, quel abîme!

  • Compunet 14 novembre 2009 à 14:54
    sur la chute du mur de Berlin en 1989, je me souviens surtout de l'émotion, incarnée par Rostropovitch ( le même extrait filmé par arte : http://www.youtube.com/watch?v=gRerg33Ohb8&NR=1) et de la joie, représentée par Depardon (pour le noir et blanc c'était sa photo du mur que j'avais conservée : http://www.nouvellesimages.fr/img_La-chute-du-Mur-de-Berlin--11-novembre-1989_Raymond-DEPARDON_ref~PHG0029_mode~zoom.jpg)...

    ... mais pour les images médiatisées des commémorations pour ce vingtième anniversaire, je n'ai rien retrouvé de ces émotions éprouvées ; et pour cause, voilà ce qu'on nous a montré : http://medias.francetv.fr/bibl/url_images/2009/11/09/image_58767847.jpg........

    rien ne vaut l'émotion live de la chute d'un mur par une foule à l'unisson...

    j'espère que le prochain à tomber sous les pioches de deux peuples qui auront envie de vivre ensemble, sera celui de Palestine, dernier mur de la honte en date.....

  • CIVIS 75 14 novembre 2009 à 14:42
    Mini-question: pourquoi lit-on le nom de Camille Corot parmi les mots-clé indiqués au bas de cet article où, sauf erreur de ma part, le seul peintre du XIXe siècle qui semble concerné est Delacroix?

  • AZERT Y 14 novembre 2009 à 13:30
    Merci de remettre en perspective cette scène car comme Ulysse Martagnon elle était ancrée dans ma mémoire, beaucoup plus que celle servit par lémédias et ressortit du diable vauvert.

    Pour l'anecdote, certains parmi le public lancèrent quelques pièces à l'Artiste...

  • Bruanne 14 novembre 2009 à 13:17
    Bein moi j'aurais aimé qu'Alain Korkos nous aide à savoir si la photo Reuters a "marché" car elle ne montrait pas le Mickey insolant qui crève les yeux quand on voit la scène face au mur.
    Trop made in USA, trop yes we can, trop capitalisme triomphant et décomplexé, le Mickey ?

    La présence du Mickey sur l'image aurait-elle trop rappelé qu'il était question de politique et d'économie dans ce mur ?
    En prenant la photo le long du mur et non face au mur, on recentre l'attention sur le côté intime de cet événement pour le violoncelliste ?

  • BibiTaupe 14 novembre 2009 à 12:47
    Jolie chronique, comme toujours !
    Aparté qui n'a rien à voir = je suis toujours impressionnée par les oeuvres des peintres du XIIIe et XIVe siècle qui me font penser aux enluminures des livres d'heures de mes livres d'histoires de petite fille..... Pas de perspective, mais avec un réalisme de la représentation du quotidien dans le moindre détail.
    J'ai découvert la perspective en 6e avec l'étude de l'antiquité (grecs, romains, étrusques....) et à cette époque, je ne comprenais pas comment les hommes avaient pu être aussi extraordinaires dans l'approche de l'art de la représentation et que cela avait été oublié plusieurs siècles plus tard.
    Donc n'oublions rien et transmettons.

  • Alain Korkos 14 novembre 2009 à 11:57

    A TOUS


    L'article du Monde que j'avais mis en lien n'était accessible que pour les abonnés.
    Après modification de l'adresse (merci Poisson), il est maintenant accessible à tous.

  • Julot Iglésias 14 novembre 2009 à 11:46
    Erreur. Message supprimé.

  • sgd (bientôt disponible ) 14 novembre 2009 à 11:04
    Mur, mur de mes lamentations,

    Je ne suis pas un homme idéal car je n’emploie pas la bombe à raser Palmolive
    je ne suis pas élégant car je ne m’habille pas au Printemps
    je n’ai pas le goût viril car je fume pas Chesterfleld
    Je suis voué à être pauvre car, en partant de Chez moi, je ne prends jamais la précaution de vérifier si j’ai pris mes Capsules Bartissol. Il faut toujours avoir ses Bartissol sur soi.
    Je n'utilise pas Rexona alors je suis condamné à ne pas aller au théâtre, aux surbooms, bref à ne plus sortir car je n’utilise pas Rexona.
    Et si je n’aime pas ma femme c’est parce qu’elle ne m’achète pas Kronembourg par six.
    Je ne suis pas un homme à la page car je ne connais pas Bitter San Pellegrino
    JE ne réussirai jamais car je ne fume pas Fontenoy. Je ne fume plus du tout d'ailleurs
    JE n'utilise pas Safeguard alors comment me débarasser de ce "je ne sais quoi" que les autres sentent si bien.
    Je ne puis faire du cheval, ni du tennis, ni me baigner car il serait malséant que je me serve de Tampax
    Je me contente de faire des quatrains pour l'écrivain Durocher éditeur, et non des écrtis pour le vin "des rochers" : je ne suis donc pas un poéte
    Et si je suis finalement un idiot c’est parce que je n’ai pas connu plus tôt l’Ecole Universelle.

    JE ne suis pas idéal
    Je ne suis pas élégant
    je ne suis pas à la page
    Je n'aime pas ma femme
    Je ne suis pas viril
    Je ne puis me débarasser de ce "je ne sais quoi"
    Je suis voué à être pauvre
    Je suis condamné à ne plus aller au théâtre, aux surboums, à ne plus faire du cheval, du tennis, à ne plus me baigner, à ne jamais sortir
    Je ne suis pas un poète
    Je ne réussirai jamais


    JE suis un con

    Jean L'anselme

  • Etoile66 14 novembre 2009 à 10:59
    c'est bien l'homme qui est le centre d'intérêt, un homme qui joue du violoncelle en remerciant Dieu. Et sa musique fait disparaître la muraille.

    « Toute ma vie est là-dedans. Ma cohérence, mon unité. Mais qui pourrait comprendre ? C'est mon histoire à moi. Et ce que je célébrais, ce jour de novembre 1989, c'était la réunification des deux parties de ma vie dont le Mur odieux symbolisait la déchirure. D'un côté de la Muraille se trouvaient mon passé, mon pays, mes racines ; de l'autre côté mon exil, mon travail, mon avenir. Deux pans de vie cloisonnés, hermétiques, que j'avais cru ne jamais pouvoir réunir et qui me donnaient le sentiment d'être amputé, incomplet. »


    Pourquoi ajoutez-vous Dieu et la Bible dans ce contexte ?????

    Pourtant il parle de son EMOTION, de son HISTOIRE et non de "Dieu"...

  • Yanne 14 novembre 2009 à 10:29
    Merci Alain, de nous avoir fait écouter Rostropovitch dans d'autres circonstances, parce que, comme dit mon fils qui est en train de construire ses rampes à billes près de l'ordinateur, c'est Mister Fausses-Notes. Sans doute l'émotion et le froid qui lui posaient des problèmes pour jouer parfaitement au pied du mur ce jour-là.

    Désolée de gâcher un peu votre plaisir à voir un évènement aussi majeur et aussi émouvant.

    Chronique roborative pour ce matin de samedi où l'automne s'installe définitivement.

  • Gavroche 14 novembre 2009 à 10:14
    Moi ça m'a fait penser à ce film là.

    Ou le capitalisme triomphant et décomplexé ... Vive la liberté !

  • Paméla 14 novembre 2009 à 10:03
    En voyant le titre de la chronique, je me suis exclamée = mdr., encore le mur ! overdose pffffff...
    Mais je vous pardonne si c'est pour écouter Jean-Sébastien joué par Slava ;-)

    A propos des trompettes de Jéricho :

    Le livre de Josué relate la prise de Jéricho et comment, le septième jour après l'arrivée des Hébreux, les murailles de Jéricho s'effondrèrent par la simple volonté divine après avoir défilé avec l'Arche d'Alliance sept fois autour de la cité pendant sept jours, et avec sept prêtres sonnant sept schofars.

    on les appelle des "trompettes" par commodité, mais en fait ce sont des schofars.
    Jean Fouquet s'est un peu gouré, il ne connaissait pas bien les instruments de musique. ;)

  • * * * Stanley MILGRAM™ * * * Soumis à aucune autorité 14 novembre 2009 à 09:35
    Rendons à 007 ce qui n’appartient pas à OSS 117.
    et regardez le générique de " Rien Que Pour Vos Yeux "

    M’sieur Korkos vous qui aimez jouer avec les mots, pourquoi ne pas écrire « Cadeau Bonux » et éventuellement expliquer l’origine ?
    Si vous cherchez un prétexte de chronique, comparez la vie politique à un « soap opéra ».


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.