Retraité volontaire 16 décembre 2014 à 20:33
Arrgh hold non ! Pas hold new-york on mélodie ! hold Depuis on que hold j'ai on vu hold ce on film hold j'ai on une hold musique on dans hold ma on tête hold qui on fait hold rien on qu'à hold me on perturber.

Coin-coin l'Araignée 2·0 16 décembre 2014 à 17:56
C'est pas très crédible Psychologie Magazine. Ils organisent des croisières-conférences « au fil du Danube, sur les traces de Freud ». Or tout le monde¹ sait que quand on est poursuivit il suffit de rejoindre la rivière² et hop plus de traces sauvé.

1. Ou du moins les amateurs de Western Movies.
2. « [Les] différentes tactiques pour échapper à ses poursuivants [...] sont regroupées sous le terme de ruses et elles sont catégorisées :
- le change [...] côtoy[er] d'autres animaux [pour] sem[er] la confusion dans la meute qui le suit à l'odorat ;
- le passage d'eau [...] traverse[r] une rivière ou un étang [...]
- le forlonger [...] prendre une telle avance que la piste perd sa précision [...]
- le hourvari [...] revenir sur ses voies [...] » http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=V%C3%A9nerie&oldid=109942588#Terminologie

Caym 16 décembre 2014 à 00:04
Alain ne pointez pas seulement vers vos chroniques ou vite-dit, Jean-Marc Manach aussi essaie de parler des films qui font du bien.

Ok je sors.

Al Ceste 15 décembre 2014 à 15:06
Tout le monde connaît le film avec un couple QUI AIME LA GUITARE mais qui fait pas du bien...

niahoo 15 décembre 2014 à 11:56
Film de couple improbable qui joue de la guitare sur un banc dans une camionnette familiale qui fait du bien

C'est à peu près la description de Radiostars.

Sebastien Lemar 15 décembre 2014 à 11:56
Une chronique qui fait du bien.

sgd (bientôt disponible ) 15 décembre 2014 à 11:19
Bien dans sa peau

Paraît que pour être au plus haut
faut se sentir bien dans sa peau.
Si donc nous nous y sentons mal
ça peut nous bouffer le moral
et c’est porte ouverte aux dégâts…
Aussi soyons de notre temps
car qui voudrait tels embarras ?
Solutionnons en nous soignant

Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout peut y aider…

*
Paraît que pour s’épanouir
avant tout faut se définir.
S’adore-t-on ? Quand ? Et comment ?
Se déteste-t-on mêmement ?
Si c’était les deux à la fois
(car connaît-on ce qu’on engrange ?)
faut en situer les pourquoi
et clarifier un tel mélange.

Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout peut y aider…

*
Paraît que pour être serein
faut pas jouer au p’tit malin.
N’hésitons pas à exposer
ce qui en nous fut enterré
dans les entrailles du non-dit
depuis peu, ou des décennies,
et qui pourtant respire encore
causant en nous le plus grand tort.

Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout peut y aider…

*
Paraît que pour tourner le dos
aux dépressions et autres maux,
faut réparer là où ça craque.
Si vous pensez : “J’en ai ma claque.
Je me croyais hier un génie
et moins qu’une merde aujourd’hui”,
pour vous sortir de ce micmac
au plus tôt videz votre sac.

Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout peut y aider…

*
Paraît que pour s’équilibrer,
en soi autant qu’en société,
les procédés courent les rues.
Y’a qu’à mettre son âme à nu
et décortiquer sa substance.
L’implication de mille traits
s’entremêlant en permanence
ne devrait pas vous affoler…

Ché pas si j’ai bien expliqué.
P’têt’ qu’un ajout… ?

Esther Granek, Synthèses, 2009