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  • Coin-coin l'Araignée 2·0 16 février 2015 à 11:43
    « Kim Kardashian est une habituée de cette chronique. Souvenez-vous, il y a quelques mois, elle avait crié au plagiat parce qu'une autre starlette avait pris ses fesses en photo sur Instagram. Cette fois-ci, elle arrive à faire encore plus fort, avec la parution du livre Selfie. Elle y explique qu'elle se prend en photo avec passion depuis l'âge de 4 ans et qu'elle aurait donc "inventé" le concept même de selfie... »

  • Oblivion 11 février 2015 à 15:54
    J’peux faire un commentaire ?

  • Olivier 9 février 2015 à 17:34
    Comparez :

    http://www.beuzz.com/20-photos-qui-prouvent-que-les-stars-abusent-vraiment-trop-de-photoshop/

  • Fan de canard 9 février 2015 à 10:33
    Les ciseaux ont frappé cette nuit, visiblement, nombre de commentaires se sont envolés.
    C'est chouette.

  • evemarie 8 février 2015 à 13:57
    Mr Korkos nous montre son obsession a lui pur les fesses des femmes, il n'est aucunement fait mention des fesses des hommes qui sont tout autant montré et vanté par leur propriétaire . Votre machisme qui consiste a rabaisser les femmes à leur corps comme si les hommes n'étaient pas eux même cela …. et avaient une autre attitude dans les media …

    ' cette esclave achetée' Mr Korkos il serait intéressant de sortir de l'esclavagisme , une personne acheté est toujours une esclave, non ?
    Vous gommez, la dimension humaine, en ne gardant que l'objectivation de la personne . C'est pénible . Votre phrase pourrait être: 'cette femme acheté', ceci permettrait de reconnaitre l'humanité de cette personne et pas que la 'normalité' de l' objectivation des femmes, et des esclaves . votre façon d'écrire fait penser a la piece sur l'esclavage qui ne donne que l'objet à voir et pas l'objectivation des personnes (c a d la manière dont on s'y prend pour déshumaniser qq) .

  • Al Ceste 8 février 2015 à 13:28
    http://taringamp3.com/alexandre-desplat-la-fille-aux-nichons-d-acier/

    J'ai eu du mal à la retrouver ! D'un groupe météorique entendu au Printemps de Bourges dans les années 80. Des fous.

    Je logeais au Jacques Coeur, à l'accueil des CEMEA. Il y avait un groupe de gosses, qui avait assisté au concert. Ils avaient parfaitement retenu la chanson, et nous l'ont resservie toute la soirée !

  • Carnéade le Fataliste 8 février 2015 à 11:40
    Voilà qui complète bien la semaine thématique d'@si, après les 2 articles sur DSK, et les touchers vaginaux...

    A moins qu'il faille classer cet article dans la série des hommages à Charlie. :)

  • Curzio 8 février 2015 à 11:38
    Merci monsieur K !
    Si vous ne l'avez pas encore fait dépéchez vous de voir le reportage sur pif gadget de Arte :
    http://www.arte.tv/guide/fr/051898-000/pif-l-envers-du-gadget

  • Robert· 8 février 2015 à 11:08
    <><><><>

  • Olaboum 8 février 2015 à 10:42
    Bravo Alain KorKos. Quelle érudition ! Quel savoir encyclopédique !

  • Retraité volontaire 8 février 2015 à 10:17
    Décidément, @si devient de plus en plus un média comme les autres. Du [s]cul[/s] callipyge, du callipyge, du callipyge !
    Seule différence: le score au Scrabble. Mot compte chic...

  • alain-b 8 février 2015 à 09:54
    L'occasion d'écouter quelques vieilles fesses électriques.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 8 février 2015 à 07:43

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • waree 8 février 2015 à 00:24
    La représentation de la femme a toujours plus ou moins posé problème dans le hip hop, depuis les années 90 (suffit de voir les "sticky pages dans la presse hip hop de l'époque).
    Ils ont toujours été friands de gros culs, d'ailleurs tout est en xxl chez eux. Le seul truc de différent c'est que cet amour du gros boul' se propage en europe, même Elle (et pleins d'autres j'imagine) a consacré un papier à cette mode qui "contamine même les blanches", et les médias hypes récupèrent et présentent comme nouveau un vieux truc. Je trouve ça ridicule cette mode ici.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 8 février 2015 à 00:13

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • samuel_ 7 février 2015 à 22:36
    Les rédacteurs de Jeune Afrique me semblent faire preuve de beaucoup de susceptibilité mal placée.

    Déjà, qu'il y ait des différences physiologiques entre les différentes peuplades de la Terre, on ne voit pas tres bien ce qu'il y aurait de raciste à le constater, ou à l'expliquer par la transmission par les gènes. De même pour les différences d'idéal du corps féminin, et leur explication par une transmission par la culture, l'education donnée par la famille et la société.
    Ensuite, ce serait une erreur de croire que, dire d'une femme qu'elle a des grosses fesses, ou des fesses rebondies, est nécessairement dépréciateur. On peut tres bien aimer les fesses grosses ou rebondies, être disposé à trouver jolies ou attirantes les femmes qui en ont.
    Ce serait encore une erreur de croire que seules les africaines sont susceptibles d'avoir un tel trait physiologique, ou d'etre perçues comme ayant souvent ce trait, ou d'etre aimées ainsi par les hommes de leurs pays. En Occident même, le goût pour les femmes minces est assez récent, et s'explique peut-etre par une certaine esthetique de l'époque moderne (les environnements sociaux, l'art, la décoration intérieure..., avec de plus en plus de villes, de grandes lignes droites, de couleurs froides, d'épuration..., par opposition à une esthetique plus baroque, arrondie, colorée, campagnarde...), ou par le fait que les grands couturiers, qui pourraient avoir participé à fixer cet idéal moderne tres aminci du corps féminin, étaient surement plus disposés à regarder les femmes comme des objets purement esthetiques, mais pas attirants, car ils préféraient souvent les hommes... On peut songer à tous ces tableaux occidentaux d'avant le XX-eme siecle, representant des femmes blanches assez charnues, ou encore, à ces statues datant de l'époque préhistorique, representant des femmes encore plus charnues, exprimant peut-etre l'idéal du corps féminin de ceux qui les ont sculptées, ou imitant peut-etre le corps des femmes qu'ils avaient l'habitude de voir, et dont beaucoup ont été retrouvées sur des terres occidentales... On peut enfin songer que beaucoup de femmes occidentales, meme non-noires, ont un corps moins mince que celui conventionnellement vu comme idéal, et que peut-etre, un certain nombre d'hommes occidentaux, sans forcement trop oser le dire, n'en sont pas dérangés, voire trouvent cela tres bien.

    Mais surtout, ce qui me semble manquer aux rédacteurs de ce journal, c'est la capacité à se mettre à la place des occidentaux auxquels ils adressent des reproches. Il faut que les rédacteurs de ce journal soient capables de se demander comment eux auraient pensé, ou comment tel ou tel africain aurait pensé, si au lieu de naitre dans le corps d'un africain de leur époque, ils étaient nés dans le corps d'un occidental de telle ou telle époque. Ils ne peuvent pas croire qu'un africain de notre epoque, s'il etait né dans le corps d'un occidental blanc de telle ou telle époque, aurait moins probablement que ceux qui auraient alors été ses compatriotes, pensé comme généralement ils pensaient. La seule maniere de ne pas etre d'accord avec cela, c'est d'avoir des présupposés racistes, or on imagine mal les redacteurs d'un journal qui denonce si souvent le racisme, avoir eux-memes des prejuges racistes. Quel reproche peuvent-ils alors faire aux occidentaux de ces epoques, eux qui ne veulent pas avoir de prejuges racistes, a part celui d'avoir été des hommes qui sont nés dans un certain lieu à un certain moment ? Et quelle morale, à part les morales qui detestent l'homme, sont susceptibles de lui reprocher le simple fait d'etre un homme ? Le texte sur lequel se base la morale chretienne s'ouvre sur la promesse, par Dieu, qu'il restera quoi qu'il arrive disposé à aimer les hommes, malgré ce qu'ils sont (a l'issue de l'episode du déluge), et meme athés, on peut trouver tres bien que la morale soit ce que pourrait vouloir un Dieu bon comme celui-là.
    Conscients de tout cela, ils me semble que les redacteurs de ce journal seraient moins disposés à faire des reproches aux occidentaux, et que par suite, ils n'auraient plus tres envie non plus, de faire de reproches à cette chose que nous appelons "l'Occident". Il y a surement des sophismes auxquels on peut avoir recours, pour pretendre qu'on ne fait que des reproches à "l'Occident", sans en faire aux occidentaux, mais on n'a plus envie de faire ce genre de sophismes, des lors qu'on n'a plus, meme au fond de soi, trop de reproches a faire aux occidentaux.

  • Erwan 7 février 2015 à 21:06
    Très intéressant, cependant je ne suis pas entièrement convaincu que l'esclavage soit un facteur si important dans l'explication : la vision de la femme (et de son corps) comme objet appartenant à un homme est loin d'être spécifique à la culture noire américaine, elle est inscrite dans l'inconscient collectif de probablement toutes les sociétés patriarcales. Exemple au hasard de l'actualité : le procès Carlton

    La focalisation sur la taille du popotin de ces dames a par contre probablement un caractère particulier pour les noirs américains : comme disait Turk à JD dans Scrubs (désolé, on a les références qu'on peut) : "la seule différence entre draguer une femme noire et une blanche, c'est que si la première demande si elle a un gros cul, tu lui réponds oui".

  • sgd (bientôt disponible ) 7 février 2015 à 20:34
    Le cul de ma sœur


    Ma sœur avait un cul quasiment historique
    mêm’ les vieux du quartier n’avaient jamais vu mieux
    il était insolent, il était poétique
    et le plus fort de tout c’est qu’il faisait sérieux
    On venait de très loin voir cette pièce unique
    Histoire de dir’ plus tard qu’on s’en était servi
    Un cul beau comme un Dieu, glorieux et magnifique
    tous ceux qui l’avaient vu s’en retournaient ravis

    Avec un cul comm’ ça, si tu fais pas fortune
    ou bien ce s’ra la flemme ou bien ce s’ra qu’t’es con !
    va-t-en un peu l’offrir un peu le soir au clair de lune
    et tu verras ma sœur si c’est moi qu’ai raison.

    Il est bien évident qu’une telle merveille
    ne peut pas être vu par le premier venu
    ma sœur montrait son cul à ceux qu’avaient d’l’oseille
    Et l’on payait d’avance, en or bien entendu
    Grâce à lui le quartier redevint touristique
    retrouva d’un seul coup, tout’sa prospérité
    ma sœur battait de loin les courtisanes antiques
    c’est elle qui rendit son faste à la cité

    Ma mère savait r’cevoir le client, ça faut dire !
    Ell’faisait patienter au p’tit salon du bas,
    le p’tit clin d’oeil en coin, toujours le mot pour rire
    Ah ça, mon bon monsieur, vous ne l’regrett’rez pas
    c’est un cadeau du ciel, un’ fill’ comm’ ça, j’vous jure
    adorant son travail et modeste avant tout
    avec un d’ces pétards bon pour tout’ les pointures
    un cul mon bon monsieur comme y en n’a pas beaucoup !

    Bernard DIMEY
    Recueil : "Poèmes voyous"

  • sgd (bientôt disponible ) 7 février 2015 à 20:31
    Nos fesses ne sont pas les leurs

    Nos fesses ne sont pas les leurs. Souvent j’ai vu
    Des gens déboutonnés derrière quelque haie,
    Et, dans ces bains sans gêne où l’enfance s’égaie,
    J’observais le plan et l’effet de notre cul.

    Plus ferme, blême en bien des cas, il est pourvu
    De méplats évidents que tapisse la claie
    Des poils ; pour elles, c’est seulement dans la raie
    Charmante que fleurit le long satin touffu.

    Une ingéniosité touchante et merveilleuse
    Comme l’on ne voit qu’aux anges des saints tableaux
    Imite la joue où le sourire se creuse.

    Oh ! de même être nus, chercher joie et repos,
    Le front tourné vers sa portion glorieuse,
    Et libres tous les deux murmurer des sanglots ?

    Arthur RIMBAUD

  • smaksing 7 février 2015 à 19:21
    [quote=A.Korkos]Un de ces jours je vous causerai des pagnes, des wax et des bazins, ces tissus portés par les femmes d'Afrique de l'Ouest. Promis.

    Oh oui! Oh oui!


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