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  • poisson 3 décembre 2011 à 09:08
    Dans le livre qui fait référence en matière de chef d'œuvre/non chef d'œuvre, il n'y a aucun pompier ?... http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=12121

    Il y a des trucs amusant chez les neo classique, tel cette "mère amenant la soupe" http://storage.canalblog.com/83/96/577050/48901856.jpg (vestale portant le feu sacré)
    Et puis Delacroix a peint des scènes orientales, des scènes de la bible, des romains, mais je ne le vois pas comme un pompier. Je crois que pour moi pompier vaut surtout par sa valeur péjorative. Si dans la salle "romantique/neoclassique" je tombe sur un truc qui me plait, je le sors du qualificatif et il rentre dans la catégorie "chouettique", "sympatique" ou carrément "adoratique".

  • régis favier 2 décembre 2011 à 19:31
    Bonjour. Merci pour votre article.

    Vous écrivez: "L'orientalisme et le néoclassicisme sont les deux mamelles de l'art pompier."

    Pourtant, il me semblait que le terme d'"art pompier" avait été crée autour du 19eme siecle, pour désigner l'académisme, répandu par les académies des Beaux-Arts, et très en vogue dans toute l'europe.

    Quelle est la différence entre l'académisme et les orientalisme et néoclassicisme? est-ce que le terme de pompier est apparu avant ou apres?

    Merci

  • delphes 20 novembre 2011 à 15:31
    Merci pour la chronique !
    Les Romains de la décadence, pas mal quand même.
    D'ailleurs, est-ce que cette oeuvre de Couture ne pourrait pas être également un détournement des codes de la peinture d'histoire, puisque ce moment de l'anitquité romaine est tout de même largement moins valorisant que tous les autres événements qui sont mis en lumière d'habitude ?
    Est-ce qu'on est vraiment encore dans la peinture académique pure pure ?

  • Compunet 20 novembre 2011 à 06:14
    rigolo ce petit jeu de récup' et je me dis que les peuples pourraient bien influencer quelques UNES futures à The Economist....
    je propose déjà pour les Indignés de tous pays notre printemps des révolutions à nous : La barricade de la rue de Soufflot de Vernet
    ......sauf que less indignés du XXIe siècle sont bien pacifiques et que les armes sont exclusivement du côté des forces de l'ordre des épigones de Milton Friedman...the times they are a changing !.....

  • poisson 19 novembre 2011 à 21:43
    The economist: ils n'ont pas peur de passer pour des charlots avec leurs couvertures? l'hélicoptère au dessus du radeau de la méduse et le défibrillateur, c'est rigolo.
    Est-ce un journal d'économie ou de politique?

  • alain-b 19 novembre 2011 à 18:31
    On en avait un de "pompier" par ici, même qu'il porte le nom d'une rue ;-)
    Et les stoners italiens eux, ils ont leurs That's all folks

  • Salfra 19 novembre 2011 à 18:29
    Voir de la fesse sous couvert (si l'on ose dire) de cul(là, désolé, j'ai une quinte de toux, je reprends) de culture, parler impunément de pompier en veux-tu en voilà, c'est tout ce que j'aime !
    Un petit tour du côté de Sardanapale selon Delacroix ?

  • MORASSE 19 novembre 2011 à 17:46
    Moi, j'aime bien. C'est un privilège de l'âge... hi hi hi. En tout cas, ça vaut mieux que les zinstallations des "post-modernes" en caoutchouc et préservatifs gonflables... Au moins on peut rêver et se raconter les rêves babyloniens. Imbattable Orsay !!!

  • sgd (bientôt disponible ) 19 novembre 2011 à 13:58
    Bacchanale

    Une brusque clameur épouvante le Gange.
    Les tigres ont rompu leurs jougs et, miaulants,
    Ils bondissent, et sous leurs bonds et leurs élans
    Les Bacchantes en fuite écrasent la vendange.

    Et le pampre que l'ongle ou la morsure effrange
    Rougit d'un noir raisin les gorges et les flancs
    Où près des reins rayés luisent des ventres blancs
    De léopards roulés dans la pourpre et la fange.

    Sur les corps convulsifs les fauves éblouis,
    Avec des grondements que prolonge un long râle,
    Flairent un sang plus rouge à travers l'or du hâle ;

    Mais le Dieu, s'enivrant à ces jeux inouïs,
    Par le thyrse et les cris les exaspère et mêle
    Au mâle rugissant la hurlante femelle.

    José-Maria de HEREDIA

  • poisson 19 novembre 2011 à 13:56
    Essayons d'imaginer. Si on n'avait pas les antiquités pleines de colonnes, de femmes nues en plâtre, l'histoire des romains qui font des orgies, comme références. Qu'on regarde Berlusconi tel qu'en lui-même (nan, nan, ne vous raccrochez pas désespérément à d'autres trucs! C'est pas du jeu, lâchez le mussolini empaillé que vous avez derrière le dos, tel qu'en lui-même, on vous dit) :

    C'est l'histoire de Sylvain Laberlu.


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