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  • DéLecteurdeVraiThé 16 octobre 2016 à 11:01
    OUPS ! J'ai voté par inadvertance pour une de mes interventions et je vois que mon vote a eu pour effet de la mettre dans celles qui sont "d'utilité publiques".

    Outre le fait que je ne vote jamais à une ou deux exceptions près, je m'aperçois que le système a des failles puisqu'on peut voter pour soi.

    OUPS!

  • sgd (bientôt disponible ) 15 octobre 2016 à 14:07
    Ballade pour un pitre

    Oyez la triste histoire d’un pitre.
    Pleurez, pleurez en écoutant.
    Une vie durant porta ce titre.
    Puis tout cessa. Soudainement.

    Heureux comme un poisson dans l’eau
    quand il grimaçait sur les planches,
    il avait cent tours dans sa manche.
    On se tordait. Criant : bravo !

    Bienfaiteur de l’humanité
    qu’il distrayait de ses misères,
    il faisait rire à s’étouffer
    mettant en joie des salles entières.

    Pourtant à chaque apparition,
    un trac affreux, puissant, félon,
    le harcelait de ses morsures.
    Ce n’était guère une sinécure.

    Mais il adorait ses angoisses.
    Jamais n’aurait cédé sa place
    et sombrement appréhendait
    de ne plus être qu’un passé.

    Eh bien voilà, c’est arrivé..
    Il est fini son temps de gloire.
    Pleurez, pleurez, vous, l’auditoire !
    Quoi ? Nulle larme ne versez ?

    Ah ! Quelle affreuse ingratitude !
    Rien ne justifie l’attitude
    d’un public qui, sans un regret,
    vers d’autres pitres s’est tourné.

    Pourtant qu’y faire ? Soudainement
    il ennuya, rien ne créant
    et se bornant à rabâcher
    vieux trucs et machins éculés.

    Tout se mettait de la partie
    comme une grande trahison.
    Sa mémoire, ses jointures, son ton.
    Il restait seul , tel un oubli

    Avec les ans qu’il encaissait
    et comme plus rien ne l’attendait,
    parfois il s’offrait des grimaces.
    Pour se distraire. Devant la glace.


    Esther GRANEK

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 15 octobre 2016 à 14:00

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Julot Iglésias 15 octobre 2016 à 13:34
    [quote=Alain Korkos]on cherchait avec Monsieur Cinéma le titre d'un film commençant par la découverte d'un cadavre de scénariste dans une piscine

    Sunset Boulevard !

    J'ai bon ?

    Sur cette capture d'écran, on devine une piscine, mais on voit pas le cadavre. Pourtant, je peux affirmer qu'y'en a un !

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 15 octobre 2016 à 13:09
    La mort de Goscinny - chez son cardiologue- est la plus blasphématoire qui soit. Oser dire en face à son médecin, avant de clamser, qu'il ne pense pas, et que là est sa chance !

  • Al Ceste 15 octobre 2016 à 12:11
    Pour arroser le départ de Tchernia, j'ai revu Le Viager. J'ai encore plus ri que les fois d'avant. Le Galabru de "faites-moi confiance !" est mort. Je verrais bien Fafois Toumou reprendre le rôle.

    Mais pas sûr qu'on rirait.

    Albert Goscinny disparaît en novembre 1977


    Heu... ce ne serait pas plutôt René Uderzo ?

    Ok je sors !

  • DéLecteurdeVraiThé 15 octobre 2016 à 11:57
    "Sale temps pour les amuseurs."
    C'est cela, c'était mieux autrefois ! On connaît la rengaine.

    Vous verrez que quand Trump, Zemmour, Ménard et Sarko disparaîtront, y'en aura pour la ressortir cette rengaine de "Sale temps pour les amuseurs."

  • Pierre38330 15 octobre 2016 à 11:53
    Merci !
    J'ai cessé de regarder la télé il y a quelques décennies. Pierre Tchernia et quelques autres (J.C. Averty par exemple) incarn(ai)ent les bons souvenirs d'un temps révolu.

  • Yanne 15 octobre 2016 à 11:29
    J'avais oublié à quel point à cette époque très culturelle, la BD et la télé se mélangeaient. Pour notre plus grand bonheur à tous.

  • J. Grau 15 octobre 2016 à 11:26
    Merci pour cette chronique. Même si je savais pas mal de choses sur l'amitié entre Tchernia et Goscinny, j'ai encore appris des informations supplémentaires.

  • Julot Iglésias 15 octobre 2016 à 11:04
    [quote=Alain Korkos]les enfants qui regardaient L'Ami public n°1 allongés par terre

    Cette phrase m'a immédiatement évoqué cette image, d'un célèbre film - merveille absolue - de cet Ami public.


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