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  • Nino 11 mars 2013 à 09:30
    Bon, d'un autre côté, on se fait embaumer pour un oui pour un non aujourd'hui...
    Il y a tellement de demande que les petits artisans sont débordés et ne savent plus recycler :-)
    Après la traçabilité des bovins, la traçabilité des enfants adoptés, à quand la traçabilité des embaumés ?

  • AirOne 11 mars 2013 à 00:21
    Je n'ai pas pris cette chronique au 1er degré... Elle ne m'a pas gêné outre mesure.
    Puis vient ce lien glissé comme ça, qui renvoie aux "infos" de Paranagua, et qui éclaire la chose sous un autre angle...
    On peut grincer des dents si cette info est vérifiée, mais alors on parle aussi du Qatar de Plantu...

  • ganav 10 mars 2013 à 22:12
    Il n'y aurait pas une petite inversion dans l'article en Mao et Marcos ?

  • cécile clozel 10 mars 2013 à 18:43
    pfuuu... yen a, on leur conseillerait volontiers d'écouter l'internationale : "il n'est pas de sauveur suprême, ni dieu, ni césar, ni tribun..."
    histoire d'y enraciner une solide méfiance envers le culte de la personnalité, l'embaumement des césars et des tribuns, les sauveurs, et les foules en adoration.

    et sinon oui, Alain, ils sont sublimes ces portraits du Fayoum, je peux rester des heures scotchée devant, si vivants, si proches, chacun portant "la forme entière de l'humaine condition", ces portraits de mortels, de morituri qui nous saluent, qui nous regardent.

    contraste saisissant.

  • Alain Korkos 10 mars 2013 à 13:13
    Certains commentaires déposés ici me donnent une petite idée de l'infini. C'est déjà ça de gagné !

    À part ça, ami(e)s révolutionnaires, que pensez-vous des portraits funéraires du Fayoum ?
    Rien ? Vous n'en avez rien à cirer ?
    Alors ¡Adiós, compañeros!

    (Attention, un jeu de mots laids est dissimulé dans le texte ci-dessus.)

  • Ervé 9 mars 2013 à 20:20
    Dans cette revue d'hommes providentiels, il manque Berlusconi, le seul à avoir été momifié de son vivant.

  • Patsux 9 mars 2013 à 19:45
    Elle est où Rosalia Lombardo inhumée dans les catacombes capucines ? ;)

  • Yanne 9 mars 2013 à 19:44
    Est-ce que la mort leur va si bien ?

  • Blastula 9 mars 2013 à 16:45
    Ah d'accord.
    Bin amusez vous bien.

    Se marrer sur des cadavres, très peu pour moi.

  • menane 9 mars 2013 à 16:39
    Je suis et reste éberluée par la (les) religion(s).

  • hoteldunord51 9 mars 2013 à 16:04
    C'est un "humour" assez courant dans le grand journal de C+, je ne savais pas qu'il sévissait aussi sur arret sur image.

  • alain-b 9 mars 2013 à 15:11
    Bah t'as pas mis de lien musical ? Allez, je m'y colle https://www.youtube.com/watch?v=nOZu0_Nqms0
    (nb : info pipole http://www.journaldemontreal.com/2013/02/25/regine-chassagne-et-win-butler-seront-parents)

  • morvandiaux 9 mars 2013 à 15:02
    article digne de la presse-pipole !! yapa autre chose ?
    exemple :
    L'Humanité a dressé le bilan en quatre thèmes de 13 ans de pouvoir d'Hugo Chavez. Réduction impressionnante de la pauvreté, la fin de l'analphabétisme au Venezuela, création de l'université gratuite bolivarienne, lancement d'un plan de construction de 3 millions de logement...
    http://www.humanite.fr/monde/education-logement-economie-le-bilan-positif-de-ch-517055
    VRAI OU FAUX ?

  • sgd (bientôt disponible ) 9 mars 2013 à 14:35
    La couronne formidable des rois
    En s'appuyant de tout son poids
    Sur ce masque de cire
    Semblait broyer et mutiler
    L'empire.

    Le pâle émail des yeux usés
    S'était fendu en agonies
    Minuscules, mais infinies,
    Sous les sourcils décomposés.

    Le front avait été l'éclair,
    Avant que les pâles années
    N'eussent rivé les destinées,
    Sur ce bloc mort de morne chair.

    Les crins encore étaient ardents,
    Mais la colossale mâchoire,
    Mi-ouverte, laissait la gloire
    Tomber morte d'entre les dents.

    Depuis des temps qu'on ne sait pas,
    La couronne, violemment cruelle,
    De sa poussée indiscontinuelle
    Ployait le chef toujours plus las.

    Les astuces, les perfidies
    Louchaient en ses joyaux taillés,
    Et les meurtres, les sangs, les incendies
    Semblaient reluire entre ses ors caillés.

    Elle écrasait et abattait
    Ce qui jadis était la gloire :
    Ce front géant qui la portait
    Et la dardait vers les victoires
    Si bien qu'ainsi s'accomplissait, sans bruit,
    L'oeuvre d'une force qui se détruit,
    Obstinément, soi-même,
    Et finit par se définir
    Pour l'avenir
    Dans un emblème.

    Couronne et tête étaient placées,
    Couronne ardente et tête autoritaire,
    En un logis de verre,
    Au fond d'un hall, dans un musée.

    Émile VERHAEREN

  • hoteldunord51 9 mars 2013 à 14:08
    Merci de m'indiquer quand et où Mélenchon a brulé un cierge devant cette photo.Cordialement


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