Diogene 2 septembre 2016 à 22:24
Une bonne crise d'angoisse bien tassée peut vous mettre en mode "cri de Munch". Sans même avoir besoin de voir de momie. Et p't'être même que vous serez replié en position foetale, genre momie.

DoHoa 30 août 2016 à 23:21
Bonjour,

à propos du cri, une question posée ici : http://oiseaux2.unblog.fr/2016/04/25/en-solo/

y-a-t-il une citation du tableau sur le General Electric Building à New York ?

Al Ceste 30 août 2016 à 19:29
Et Rascar Capac (les Sept boules de cristal), il sent le pâté ?

Un de mes plus belles peur d'enfant...

Al Ceste 30 août 2016 à 18:47
« Momies en folie ».

Ah ah, Monsieur a des lettres ! Et des belles : le quatrième tome des aventures d'Adèle Blanc-Sec. Votre serviteur, le rouge au front, avoue qu'il était bien passé à côté quand ça sortait dans A Suivre. Les années ont passé, il suivait de loin Tardi sur ses autres œuvres et, au hasard des puces, a trouvé le premier album. Et là, le choc : outre un décor aux petits oignons, des histoires où le fantastique sert à Tardi pour revenir à la charge contre sa bête noire, celle qui a tout détruit : la Grande Guerre. Donc, il a acheté la suite (manquent les deux derniers).

Allez Al, tu arrêtes de troller !

DéLecteurdeVraiThé 30 août 2016 à 17:26
Bon c'est en Norvégien mais cela raconte la même chose que Alain Korkos (le texte concernant la ballade avec les deux amis) tout en remettant ce "tableau" dans le contexte d'autres vues du même endroit qui l'ont précédé et d'autres "tableaux" où l'on voit des personnages avec la même expression faciale
La momie l'aurait bien marqué ! Difficile à croire.

asinus erectus 30 août 2016 à 15:52
J'avais toujours vu le personnage du cri se tenant debout mais en regardant plus attentivement, grâce à cette chronique, je me demande si effectivement, du moins sur le premier tableau, il ne se tient pas accroupi, les genoux serrés contre le torse, exactement comme la momie.