Moïse, et son bâton qui n'était pas une épée, non mais !

Alain Korkos - - Fictions - De Rembrandt à Tarzan - 35 commentaires

La presse mondiale tend vers l'unanimité : Exodus, le dernier film en date de Ridley Scott, est une daube biblique hors catégorie, un sombre navet qui moisirait déjà dans les oubliettes hollywoodiennes si une poignée de pays arabes ne venaient pas de le censurer, décision qui va sans aucun doute donner dans ces contrées un petit coup de fouet au marché du dévédé pirate.



Exodus: Gods and Kings de Ridley Scott - qu'il ne faut pas confondre avec l'Exodus d'Otto Preminger (1960) relatant l'épopée de survivants de la Shoah en route vers la Palestine à bord d'un navire baptisé comme par hasard Exodus - raconte l'exode des Juifs en route vers Canaan.


Cette épopée, narrée dans le deuxième des cinq livres de l'Ancien Testament judicieusement intitulé L'Exode, raconte la vie des esclaves hébreux sous le joug égyptien ; la révolte de Moïse, demi-frère de Pharaon ; les dix plaies d'Égypte et l'exil du peuple hébreu guidé par Moïse ; la miraculeuse traversée à pied sec de la Mer rouge...

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