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  • Strumfenberg ( Aloys von ) 2 décembre 2014 à 17:18
    M'dame Hidalgo est une conne réac, tout le monde le sait depuis toujours . Pire que Valls, c'est dire. ouf... ça soulage.

  • Cultive ton jardin 2 décembre 2014 à 14:09
    [quote=AK]Quant à la "non-tour" de Babel, qu'il nous soit permis de rêver à son non-écroulement, consécutif à sa non-construction !

    On dirait bien que vous aviez vu juste... quoiqu'il semble bien que les tour-istes n'aient pas dit leur dernier mot!

  • LCB 21 avril 2011 à 11:43
    Merci Alain pour cette analyse, et toutes les autres qui sont toujours une occasion de m'étonner, d'apprendre et de relier des images avec un fil conducteur à chaque fois renouvelé.
    Merci encore !

  • punaiz 16 avril 2011 à 00:42
    Encore une élégance intellectuelle, m'sieur Korkos?

    Je cherchais benoîtement sur gougeule un bon moyen de penser à sortir les plantes. Et je me plantâte chez vous.

    Ouille

    Pour les plantes, justement: les archi cachent leurs incompétentes infamies derrière des montagnes de feuilles. C'est ainsi depuis les premières pubs des maisons de Maçons...

  • slakemoth 6 avril 2011 à 12:53
    Je voudrais réagir par rapport à l'article consacré à Gauguin. Il n'y a pas de forum pour les "vite-dit"
    Cette femme est probablement folle, voire schizophrène, entendant des voix…
    Néanmoins, cet incident me permet de rappeler une thèse, (dont le nom de l’auteur m’échappe) politiquement incorrecte tant Gauguin fait figure de peintre intouchable (tout comme Polanski, c’est un géni, cela s’est passé il y a trente ans, il faut oublier… C’est ainsi nous vivons dans un monde phallocrate) thèse selon laquelle ce dernier aurait été pédophile… Thèse tout à fait plausible par ailleurs pour ce peintre décadent. Pauvre misérable qui trouvait chez les jeunes filles Tahitiennes ce qu’il n’aurait obtenu en France qu’avec des billets. Pauvres filles aussi, qui avaient entre leurs jambes qu’un misérable libidineux, crétin méprisable. L’exotisme marche souvent dans les deux sens… Je n’ai jamais compris cette fascination que les « indigènes » avaient pour leurs colons, la plupart des pauvres gueux parmi leurs compratriotes. Il doit y avoir de nos jours, une ribambelle de rejetons gauguinesques en Tahiti. Une histoire afligeante …
    Si cette thèse refait surface dans un pays où on ne badine pas avec les mœurs licencieuses, il y aura à parier qu’elle provoquera quelques remous pendant l’exposition.

  • Laurent Martelli 3 avril 2011 à 14:40
    Dans la série des tours, on peut aussi mentionner celle en BD de Schuiten et Peeters.

  • Pat de Saint-Rémy 3 avril 2011 à 12:41
    Alain, le Maître de la Tour !

    Georges

  • CC 6500 3 avril 2011 à 11:12
    Une tour au bout de l'île de la Cité,ça va pas non!!!

  • girene 3 avril 2011 à 09:15
    Merci Alain de ré-enchanter mes journées, même si je ne discute pas des sujets que vous nous offrez, sachez que vous participez à ma mini résurrection chaque samedi matin. yes. Ne redisparaissez jamais, silvipli.
    Plus, c' est un des rares forum d' asi, qui reste fréquentable, j' y retrouve avec plaisir les plumes d' asinautes que j' aime lire débattre, avec science, élégance, humour, bon j' arrête, ils vont crâner.

  • Pat de Saint-Rémy 3 avril 2011 à 00:43
    Je voudrais bien avoir les noms des quelque porcs qui espèrent se mettre quelques [s]millions[/s] [s]dizaines de millions[/s] [s]centaines de millions[/s] milliards d'€uros dans les fouilles (qui vont devoir être profondes) à l'occasion de l'édification de cette ignominie tout juste bonne à attirer les avions détournés par les petits camarades de Ben Machine à Laver !

    J'ajoute que pour les mêmes raisons ignoblement pognognesques Saïgon est en train de détruire son charme colonial (sans être amateur de colonialisme, l'architecture en Indochine est exquise mais en grand péril...)

    ICI LA BANLIEUE DE SAIGON CETTE ANNÉE

    Le centre ville c'est encore pire : les tours de 150 mètres poussent comme de mauvaises herbes sur les villas ocres à volets verts ou bleus et leurs jardins tropicaux. Du coup la quantité de Bentley, Ferrari et autres Lamborghini qui circulent parmi les vélos et les pétrolettes à bout de souffle progresse parallèlement...

    Comme quoi la destruction du paysage profite à quelques salauds !

  • Hurluberlu 2 avril 2011 à 23:45
    Merci pour cette chronique...

    Dans les différentes images prospectives présentant les projets de tours dans l'environnement urbain prééxistant, je suis frappé par le souci des cabinets d'architectes d'insister sur la transparence des constructions, comme si les mastodontes d'acier et de surface vitrées étaient d'évanescentes et diaphanes évaporations spirituelles dans un univers bien plus dur, rude et massif (qui serait l'horreur de notre présent face à la douce promesse pelliculaire de 300m de hauteur de l'architecte). Certes, les projets prévoient certainement des surfaces vitrées harmonieusement agencées, mais je doute que la pureté cristalline promise par les images ne soient, dans la réalité, que de massifs blocs cassant complètement la perspective des quartiers, comme la tour Zamansky ou la tour montparnasse et dominant le territoire. Le choix de la transparence dans la représentation, au-delà du côté futuriste très blade runner ou 2046, apparaît comme un moyen de masquer le fait que la construction s'imposera au regard du passant dès lors qu'elle entrera dans son champ de vision (un peu comme le générique des quatre cent coup, où la caméra cherche la tour eiffel depuis de nombreux points dans paris). Le côté mastodontique est atténué par la suggestion vaporeuse.

  • Bruanne 2 avril 2011 à 22:08
    Merci pour la chronique et pour les liens vers les vite-dit de la semaine, j'avais loupé celui sur le salon art paris, et son affiche avec la dame à lunettes rondes.

    Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer ce qui se passe avec le bras droit de la dame sur cette affiche : elle a un chemisier blanc avec une manche orange ou bien c'est le "A" qui est projeté sur la manche blanche et la colore ? Et si c'est cela, pourquoi son gant n'est-il pas lui aussi orange ?
    En tout cas, entre le "A" et le "P", ça fait 2 flèches bizarres ... bref, cette zone de l'image est étrange.

  • Anthropia 2 avril 2011 à 21:45
    Excellent papier, Alain.
    Merci

    http://anthropia.blogg.org

  • Sylvain B. 2 avril 2011 à 21:36
    Surtout ne construisons pas de tour dans Paris et détruisons petit à petit les terres environnantes avec l'étalement urbain au coût énergétique bien supérieur. En plus, davantage de logements dans Paris risquerait de faire baisser les prix de l'immobilier, on risquerait de voir les pauvres revenir près du centre Quelle horreur ! Déjà qu'ils viennent bosser dans Paris tous les jours (en se tapant des heures de transport) depuis leurs lointaines banlieues.

  • joelle lanteri 2 avril 2011 à 17:18
    les projets pour paris se comptent par centaines . dans nos régions nous attendons un bus!!

  • Jacques FOURNET 2 avril 2011 à 16:25
    Vous êtes sûrs que ce n'est pas un poisson d'avril ???

  • Marc SÉROT 2 avril 2011 à 16:11
    Heu... les briques, c'est pas plutôt du 11 ? On dit "un mur de 11" pour un mur à une seule épaisseur, et "un mur de 22" pour un mur à deux épaisseurs de briques. Au passage, j'ai d'ailleurs perdu un centimètre pour l'épaisseur du joint entre les deux briques... (ch'suis un intello qu'a bossé avec des maçons dans son jeune temps).
    Mais la largeur des briques, ça dépend peut-être des régions.

  • DanetteOchoc 2 avril 2011 à 16:06
    Alain, micro contribution pour une chronique qui tue, qui déchire, bref, qu'a pas besoin de micro contribution, mais je résiste pas
    Pritzker Prize de l'année, un portugais (pouet pouet !), mais qu'a un peu des goûts de chiotte quand même.

  • sgd (bientôt disponible ) 2 avril 2011 à 15:38
    I
    De ce terrible paysage,
    Tel que jamais mortel n'en vit,
    Ce matin encore l'image,
    Vague et lointaine, me ravit.

    Le sommeil est plein de miracles !
    Par un caprice singulier,
    J'avais banni de ces spectacles
    Le végétal irrégulier,

    Et, peintre fier de mon génie,
    Je savourais dans mon tableau
    L'enivrante monotonie
    Du métal, du marbre et de l'eau.

    Babel d'escaliers et d'arcades,
    C'était un palais infini,
    Plein de bassins et de cascades
    Tombant dans l'or mat ou bruni ;

    Et des cataractes pesantes,
    Comme des rideaux de cristal,
    Se suspendaient, éblouissantes,
    A des murailles de métal.

    Non d'arbres, mais de colonnades
    Les étangs dormants s'entouraient,
    Où de gigantesques naïades,
    Comme des femmes, se miraient.

    Des nappes d'eau s'épanchaient, bleues,
    Entre des quais roses et verts,
    Pendant des millions de lieues,
    Vers les confins de l'univers ;

    C'étaient des pierres inouïes
    Et des flots magiques ; c'étaient
    D'immenses glaces éblouies
    Par tout ce qu'elles reflétaient !

    Insouciants et taciturnes,
    Des Ganges, dans le firmament,
    Versaient le trésor de leurs urnes
    Dans des gouffres de diamant.

    Architecte de mes féeries,
    Je faisais, à ma volonté,
    Sous un tunnel de pierreries
    Passer un océan dompté ;

    Et tout, même la couleur noire,
    Semblait fourbi, clair, irisé ;
    Le liquide enchâssait sa gloire
    Dans le rayon cristallisé.

    Nul astre d'ailleurs, nuls vestiges
    De soleil, même au bas du ciel,
    Pour illuminer ces prodiges,
    Qui brillaient d'un feu personnel !

    Et sur ces mouvantes merveilles
    Planait (terrible nouveauté !
    Tout pour l'oeil, rien pour les oreilles !)
    Un silence d'éternité.

    II
    En rouvrant mes yeux pleins de flamme
    J'ai vu l'horreur de mon taudis,
    Et senti, rentrant dans mon âme,
    La pointe des soucis maudits ;

    La pendule aux accents funèbres
    Sonnait brutalement midi,
    Et le ciel versait des ténèbres
    Sur le triste monde engourdi.


    Baudelaire

  • GUILLAUME PETIT 2 avril 2011 à 15:32
    Si les tours sont nuisibles, détruisons la tour Eiffel, qui en plus n'optimise absolument pas l'espace en proposant un seul logement !


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