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  • Robert· 8 octobre 2016 à 10:29
    Lucie de Lammermoor ?
    J'avais fait sa connaissance dans "Mors veinifera" où l'on voit jusqu'où Alphonse Allais pouvait pousser le bouchon.

  • tchd 7 octobre 2016 à 22:07
    Il y a deux erreurs courantes: la première est de croire que la musique baroque existe et la seconde est de croire qu’elle n’existe pas.

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 7 octobre 2016 à 21:11
    Donizzeti est un excellent gagman musical. Malheureusement, ses chédeuvres rigolos ne masquent pas son absence d'ambition musicale.

  • totoro45 7 octobre 2016 à 10:06
    Ou comment une image détournée évoquée par Alain Korkos en Avril réapparaît de façon tout aussi détournée en Octobre .

    Mais il y a un autre élément dans cette affiche de l'Opéra : les bâtiments en haut de l'image , où sont-ils en réalité ?

  • tchd 6 octobre 2016 à 21:14
    Cette scène de la folie est assez emmerdante. Je préfère celle-ci ( Rameau-Haïm-Petibon )

    Non mais Allô !

  • Al Ceste 6 octobre 2016 à 19:17
    La "patte" de Wyeth sonne un peu comme du Hooper. Intéressant de voir comment on peut créer du fantastique en pleine lumière...

  • DéLecteurdeVraiThé 6 octobre 2016 à 17:58
    En effet, la légende d'une image souvent suffit pour donner à rire ou à pleurer, à rêver ou à cauchemarder. Il n'y a que les images qui se passent de légende pour échapper à cette règle.

    À moins d'avoir l’œil aiguisé de maître Korkos, la dite Lammermoor peut bien être transportée dans les Walthamstow Marshes de Hackney où, au passage, il ne fait guère bon s'asseoir ou se trainer vu l'humidité du sol.

    Il y a donc de quoi détourner le sens premier d'une image jusqu'à la fin de l’éternité et au delà même. S'il se trouve la Joconde n'était autre que dame Lisa del Giocondo attendant patiemment la livraison du pizzaiolo, ou, si l'on croit les mauvaises langues, le passage des clients.

    Je voudrais à mon tour mettre une légende sur une photo d'un homme politique au nom bien évocateur du parti auquel il appartient, Steven Woolfe.
    Au premier round, ce monsieur s'est trouvé étalé de tout son long sur une passerelle du parlement Européen de Strasbourg. On le voit comme une silhouette à la Banksy. La légende est un jeu de mot anglo-allemand Ukip gekippt, Ukip renversé. Elle détourne le drame humain pour ironiser sur ce parti qui se ridiculise dans ce Parlement européen contre lequel il lutte.

  • evemarie 6 octobre 2016 à 15:44
    La preuve qu'un tableau peu avoir plusieurs interprétations d'ou l'utilité dans les muses d'indiquer l'intention de l'artiste, évidement a nous l'imaginaire aussi.

  • Al Ceste 6 octobre 2016 à 13:17
    On peut pas dire que la Joconde malaise soit joyce avant de bouffer sa classic italian cruche... Elle tiendrait en main un slip de jules jeté (le slip et le jules) et retrouvé sous son lit qu'elle ferait la même tronche.

    Nathalie Dessay, meilleure à l'opéra qu'à la radio, où elle ne fit qu'une année

    https://www.youtube.com/watch?v=YT-0XefPO3Y

    (Quand ça déconne velu chez les baroqueux - ça fera un article sur misentrop2)


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