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PatriceNoDRM
Dans un entretien vidéo qu'il a accordé à l'AFP quelques heures avant sa mort, Christian Poveda critique l'effet pervers d'une initiative des médias salvadoriens intitulée «Médias unis pour la Paix», au nom de laquelle ils s'engagent à ne pas publier des photos explicites de violence. «C'est, me semble-t-il, un pacte d'une grande hypocrisie de la part des médias, une censure directe d'une réalité de ce pays», juge-t-il. «Nier cette réalité quand on est journaliste ou photojournaliste mérite de changer de profession (...) Ces gens, ceux qui ont lancé cette censure, ne sont pas des journalistes, en réalité ce sont des gens qui travaillent pour un parti politique», selon lui.
Christian Poveda, photographe-réalisateur franco-espagnol, a été abattu de quatre balles dans la tête. Il enquêtait sur les gangs salvadoriens ultraviolents. Il avait 54 ans.
PatriceNoDRM -
Lézard
Comme l'a déclaré Son Excellence Madame le Ministre Tzipi Livni à la radio israélienne, propos rapportés sur le WEB notamment par l'Express et France-Soir du 27 janvier 2009, le massacre des civils n'est qu'un "produit des circonstances", une sorte de détail dans l'histoire de Gaza, alors pourquoi en faire tout un plat messieurs de l'Huma. Bravo Alain Korkos pour avoir su remettre l'arbre au milieu de la forêt. -
alain-b
http://www.paysbasqueinfo.com/images/stories/photos_actu/19-01-09/dukat_007-600.jpg -
Cassandre
poème palestinien -
Nagababa
Voici revenu le temps des grands silences, moment propice pour déposer au pied du forum
un mot abandonné aux âmes curieuses égarées dans des ruines de discours.
Cette enfant, martyrisée pour être née au mauvais endroit, au mauvais moment,
a depuis longtemps séché ses larmes de sang et de poussière.
Son corps a été déposé, comme des centaines d’autres, dans un cortège de douleurs absurdes,
accompagné de parents engourdis par le bruit des bombes.
Dans ce désastre des êtres qui ont tout perdu,
même le refuge d’un toit, englouti par un cratère géant,
nos mots enflammés d’hier ne sont jamais arrivés jusqu’à eux, hormis peut être une vague rumeur,
relayée par un médecin courageux, amputant dans l’urgence et sans anesthésie un membre devenu inutile.
Ce petit visage retenant notre attention s’est fait aussi dévoré par la cruelle distanciation critique où,
sous le couvert d’une approche universitaire, nous étions conviés à la regarder comme un objet à dire,
alors que la piété de son silence racontait l’impitoyable et dérisoire machine de guerre.
En retour, notre énergie aurait dû tancer les dirigeants de tous bords, pour qu’ils s’emploient dans l’union,
à faire pression pour trouver les mots d’apaisement et faire cesser unanimement la cause des interrogations existentielles de tels clichés.
C’est de la peine à le dire, mais ce n’est pas cette petite fille que l’on a regardé dans son accablement muet,
mais seulement la taille de sa photographie, sa place dans un magazine et en quoi elle pouvait nous déranger
dans ce que nous ne pouvons ou ne voulons voir avec notre fragile résistance au malheur ordinaire.
Mais chez nous, dans le confort de nos pensées, il y a tant à dire, à commenter, à faire débat, à donner de l’épaisseur,
non pas au sujet, mais à notre appréciation, à notre capacité à gloser, à comprendre, à instruire, à nous insurger, non de la cause mais de l’effet…
Quant à toi, petite chose dormante,
l’histoire ne retiendra pas ton nom, et à peine le souvenir de ton existence, car tu rejoindras le flot des statistiques racontant l’ennui des conflits.
Quand tout a été dit, les mots inutiles sont enterrés dans des trous d’oublis, de part et d’autre d’une muraille de papier.
Il ne reste que les champs de ruines à cultiver,
les vies à rafistoler et parfois aussi, des êtres à consoler.
En évoquant les sentiments face aux politiques impuissantes,
l’obscénité de l’émotion est bien de ne pouvoir empêcher les bombes de tomber sur des enfants occupés à grandir.
La guerre, ça met un goût de terre dans la bouche, surtout pour ceux qui ne peuvent plus la raconter.
Adieu petite fille de Gaza, ici aussi, le silence précieux fait défaut, il pèse quand nous devrions dire et il manque quand nous devrions nous taire. -
lila
on dit qu'une image vaut mille mots , mais ici des mots sonnent creux, Cassandre prône la politesse mais traite de "débile" quelqu'un qui entre sur le forum, c'est vrai que ces querelles de personnes et ces petits clans qui se forment (cassandre et urbidan se font des compliments entre eux...et n'aiment pas les nouveaux venus) éloignent des vrais débats...Oui DS fait bien de montrer que certains sujets font parler, car ils sont autrement intéressants que de savoir qui a plus ou moins de légitimité à débattre sur un forum.... -
Nagababa
Comme j'ai pu le signaler sur le forum de la chronique de Daniel S.,
la dernière relance mail d'@SI en direction de ceux qui tardent à se réabonner,
vantait la polémique autour de la chronique de AK, en l'occurrence ce forum, comme argument d'intérêt pour le site.
Après tout ce qui a pu être dit sur la récupération et l'exploitation d'une image pour faire de l'argent ou de l'audience....
je trouve vraiment limite qu'@SI utilise la même ficelle pour appâter le chaland.
Mais visiblement tous les moyens sont bons, et l'indignation d'un forum sur la légitimité de cette image
devient un argument de vente d'abonnements.
C'est vraiment fort cette mise en abîme.... -
Nagababa
Pour le reste, relisez avec attention le début de mon post précédent.
Merci de votre attention. -
lila
C'est vrai qu'il n'est pas nécessaire ,urbidan, d'encombrer la discussion avec des coupés-collés , nous sommes assez grands pour naviguer dans les discussions et les chroniques , nous n'avons pas besoin d'être ainsi pris par la main. La question de fond reste ; que faisons nous de l'information, interpellons nous nos hommes politiques bien prudents sur leurs prises de position sur ce conflit? Que de barvardages ici... -
Jack
Monsieur Korkos,
Pensez-vous que vous auriez fait le même article si cette photo avait été en noir et blanc ?
Couleur et / ou noir et blanc. Rien à voir...
Peut-être est-ce un sujet que vous pourriez traiter dans un de vos articles.
Cordialement -
Julien Bezolles
Bonjour,
Bon.
J'arrive trop tard comme d'habitude, mais que voulez vous, il y en a aussi qui travaillent ;-) et j'imagine que, comme mes précédents posts sur d'autres sujets, je n'aurai pas davantage de réponse.
Mais je vais quand même poser la question que je n'ai pas vu posée (il est vrai que je n'ai pas réussi à tout lire) et dont je n'ai par conséquent pas vu la réponse.
Pourtant cette question me semble fondamentale et préliminaire, alors qu'on se jette à longueur de contributions morale et éthique à qui mieux mieux. Il me semble que c'est celle qui devrait permettre de ne pas être dans le discours intellectuel complaisant, théorique et désincarné sur une souffrance qu'il est agréable de commenter derrière son ordinateur, car on sait très bien, quelque part, que ça ne nous concernera jamais directement, et qu'en fait on s'en fout quand même un peu.
Cette question, la voilà :
"Les parents de cette fillette ont ils donné leur autorisation pour que la photo de leur enfant soit publiée à la une de l'Humanité en France, et que sa photo soit instrumentalisée pour prendre parti dans le conflit actuel ?"
Que celui qui a la réponse me la donne. Merci d'avance.
Bien à vous. -
monique dupuy - larcade
Cette photographie me semble très dérangeante car elle instrumentalise(sans respect pour elle) une enfant pour "vendre" un journal (qui s'apparente alors à Paris-match);si l'on se réfère à la célèbre photo de la petite fille brûlée au napalm au Vietnam,on sait malheureusement qu'une image n'a jamais éveillé les consciences internationales au point de faire cesser une guerre.Je crois pour ma part davantage à l'efficacité des explications politiques(de l'analyse donc)qui font appel à la RAISON plutôt qu'à l'EMOTION.Il ne s'agit pas de nier lâchement l'horreur en s'en détournant pour ne pas "vomir" comme le dit un internaute,mais de chercher à comprendre une situation politique complexe(ici le Moyen-Orient)pour ensuite prendre parti et agir ,en citoyen responsable,pour que cesse le carnage. -
Patrick Prado
a vouloir "équilibrer" le Hamas et Israel, je crois que je vais me désabonner.
"Jamais une photographie n'a mis fin à une guerre." dirtes vous, c'est faux, la seule photo que vs n'ayez pas publiée est celle de la petite vietnamienne nue sous les bombes au napalm a été un vecteur essentiel de la prise de conscience des usiens pour cesser la guerre.
si on avait publié une photographie d'une petite israelienne comme celle de la petite palestinienne, qu'auriez vous dit
c'est trop
PPrado -
marie Terrien
Monsieur Korkos, j ' avoue ne pas vous comprendre.Pensez-vous que la guerre est jolie?Cette photo que vous reprochez à Pierre Laurent d 'avoir mis à la Une de L'Huma, moi elle ne me fait pas vomir mais plutôt pleurer; celle-là et beaucoup d'autres aussi.Et si elle peut secouer quelques Français , je dis :"Bien, P.Laurent a fait son boulot de journaliste".Des photos comme celle-ci, nous qui militons dans une Association de solidarité avec les Palestiniens, nous en recevons tous les jours de nos amis palestiniens.Elles nous font très mal mais elles nous donnent la force de manifester, de témoigner,de ne pas nous effondrer devant tant d ' horreur et aussi devant l'agressivité de certains , l'ignorance des autres, ou le mensonge , la couardise.
Etes-vous allé en Palestine monsieur Korkos pour vous permettre de donner des leçons?Moi oui et je sais comment sont traités les Palestiniens .
Et puis voyez-vous, l'attaque d'une école à Gaza a fait réagir certains . Je regrette qu'il ait fallu celà pour qu'enfin on lise nos tracts, on comprenne notre action - quand j'écris"on", il s'agit d'un nombre encore restreint de personnes mais chaque personne touchée est une victoire pour les Palestiniens.Oui on en est là , par la faute des gouvernements européens, leur partialité, leur indifférence , par la faute des médias qui disent , montrent ou écrivent ce qu'on leur dit de dire,montrer...
J' ai été indignée quand j 'ai entendu D.Schneiderman dire que les images des massacres à Gaza ne le touchaient pas , par leur caractère répétitif, toujours la même chose , des corps, du sang , des blessés , des personnes qui fuient,où?, qui pleurent...Pensez-vous à ces enfants qui ne se remettront jamais de ces traumatismes, de cette fureur, de ces détonations pendant que vous , vous chipotez à propos d' une photo qui ne serait pas efficace parce que trop horrible.
Alors oui à Pierre Laurent qui a choisi CELLE-LA. -
Alain Korkos
Bonjour à tous, et tout d'abord, permettez-moi de vous présenter mon mot d'essecuzes, signé par ma môman : je suis depuis dimanche dernier en déplacement professionnel et n'ai pas le temps de seurfer sur internet, pas le temps de lire ce forum. Qui affiche 451 commentaires à l'heure où j'écris ! Je n'en ai lu qu'une soixantaine, désolé pour les autres.
Alors je vais assurer un service minimum (mais de qualité !) en ne répondant qu'à un seul commentaire, qui a le mérite de regrouper pas mal d'interrogations. Allez hop c'est parti, il s'agit d'un comm' signé Arya.
1. La photo de Virgin Killer
Il me semble qu'elle aurait dû rester là où elle était, c'est-à-dire dans l'oubli. Faire tout un foin à son sujet au prétexte qu'elle figurait dans une note de Wikipedia, en appeler à la censure, ouvrait la porte à d'autres censures. C'était extrêmement dangereux, et l'organisme qui voulait voir supprimée cette image a finalement changé d'avis.
2. Les photos de la Shoah
Ces photos n'ont pas été prises en vue d'être rendues publiques, et surtout pas à la une d'un quotidien. On ne peut donc pas les comparer avec celle qui fut publiée par l'Huma.
Aujourd'hui, elles sont utilisées dans un cadre pédagogique avec une contextualisation très forte. Là aussi, rien à voir avec notre une qui n'affiche qu'une photo choc, hors contexte : nulle part on ne nous dit où et quand elle fut prise, aucune explication n'est fournie, aucune légende n'y est associée. Car le titre "les photos du carnage" n'explique rien, bien sûr.
Quant à mon projet personnel relatif à ces photos des camps de la mort, il était rempli de doutes qui maintenant sont levés. (Mais je n'en dirai pas plus, évidemment.)
3. Comment distinguer voyeurisme et information ?
Le point 2 répond à la question, me semble-t-il. L'information, c'est une photo légendée assortie de moult explications. Le voyeurisme, c'est une photo muette qui ne mobilise que l'émotion : le dégoût devant une telle horreur, ou la haine pour les auteurs de ce massacre.
Le problème avec le dégoût, c'est qu'il détourne le lecteur du journal qui s'abstiendra de l'acheter, n'aura pas accès aux pages intérieures expliquant le conflit.
Le problème avec la haine, c'est qu'elle n'a jamais rien résolu : elle dure depuis plus de trente ans, et les cadavres s'amoncellent sans qu'un espoir de résolution du conflit ne se profile à l'horizon.
4. Les photos de la guerre en Afghanistan
Je déplorais que les photographes ne puissent y travailler librement. Je déplorais qu'ils n'aient d'autre solution que de se livrer pieds et mains liés aux forces militaires (mais on donne à cette posture un autre nom, on parle de photographes "embarqués", voire "embedded" si on veut se la jouer Amerloquie dans le texte).
Supposons maintenant que les photographes puissent travailler librement en Afghanistan, et supposons que ce conflit "bénéficie" de la même couverture médiatique que la guerre à Gaza. Si un quotidien avait publié en première page une photographie montrant le cadavre d'une gamine afghane dont n'émergeait que la tête, si en plus elle avait été accompagnée du même titre : "les photos du carnage", alors j'aurais écrit la même chronique mot pour mot, à un près. J'aurais remplacé "Gaza" par Afghanistan". Car la nature et le lieu du conflit ne sont d'aucune importance quand s'agit d'invoquer une certaine morale de l'image, et plus particulièrement de l'image de guerre.
Pour finir (et ce qui suit ne concerne pas le commentaire d'Arya sur lequel est appuyé ce qui précède), je rappellerai que je ne suis pas un journaliste politique, mais un simple chroniqueur qui s'intéresse aux images et qui parfois s'arrête dessus. @rrêt sur images. Telle est la vocation de ce site, et j'ai l'impression de remplir mon contrat.
J'ai, bien sûr, un avis sur ce conflit. Un avis de citoyen, qui ne vaut pas plus et pas moins que le vôtre. Daniel Schneidermann, homme avisé, ne me paie pas (une véritable fortune !) pour que j'étale ici mes opinions politiques et ceux qui croient savoir ce que je pense à ce propos se fourrent le doigt dans l'oeil jusqu'à l'omoplate droite. Ou gauche si vous préférez, c'est à vous de voir.
Bonjour chez vous ! -
Cassandre
Plus de 300 enfants ont été tués et plus de 1.500 autres blessés dans la Bande de Gaza, a déclaré mercredi la directrice général du Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF). -
Cassandre
Stéphane Hessel : "un véritable crime contre l'humanité" à Gaza -
Cassandre
lu sur le blog de Charles Enderlin :
"Le CRIF affirme :
"Par ailleurs, France 2 a diffusé le 29 décembre 2008 des images censées montrer la famine à Gaza : on voyait dans un magasin, les étals soi-disant vides, mais la réflexion de la vitre du réfrigérateur montrait que le reste du magasin était plein…"
C'est une accusation totalement infondée... Le palestinien interviewé dans le reportage
parle clairement (en "in") du manque de produits frais dans le réfrigérateur. Dans la réflexion de la vitre on voit des conserves... Visiblement le CRIF ne rate aucune occasion pour attaquer France2... Même en utilisant de fausses accusations." -
AZERT Y
Merci à Pierre Labate de m’avoir aidé à me remettre les idées en place.
Il m’a rappelé qu’il ne fallait jamais « plaider hors de la cause » comme disait je ne sais plus qui.
Merci à @si qui permet ces débats et réflexions, ce recul nécessaire… -
LPR
Quatre jours et des centaines de messages ...
Tous les @sinautes restant etonnament courtois dans les discussion en general, et surtout se repondant intelligement : ce qui prouve qu'au moins la plupart des intervenants lisent et donc sont en contact avec des idees qui ne sont pas les leurs. Il y a donc un certain espoir.
Pourtant deux choses me tracassent par rapport a de nombreuses reactions a l'article d' Alain Korkos : Et il me semble que ,soit pas mal de gens n'ont pas lu tout l'article, ou alors, ont lu ce qu'ils ont bien voulu lire.
Un des reproches majeurs adresses a AK serait qu'il veuille censurer cette image !? Mais ca n'est pas un argument valable : Non seulement ceux qui ont deja lu des chroniques precedentes d' AK savent que s'il y a une personne qui milite fortement contre la censure, c'est bien AK. Le point de cette chronique est de demontrer l'inneficacite de montrer cette photo, et les explications, malheureusement ne peuvent pas nous plaire, car elles nous forcent a nous regarder dans le miroir et voir que nous sommes loin d'etre aussi beaux, bons et parfait qu'on aimerait le penser.
Alors a court d'arguments par rapport au texte, il faut bien en inventer un et croire que cet article demande a censurer cette image, et il est facile de se persuader et de faire croire que ca veut dire qu'AK veut censurer toutes les images des crimes commis a Gaza et que donc il prend parti : C'est le raisonnement exactement employe par tous ceux qui reprochent a AK une demarche intellectuellement malhonnete .... Quand on parle de mirroir .....
Il semblerait egalement que personne n'a lu la conclusion de la chronique :
"Je crois enfin, comme l'écrit Patrick Apel-Muller en conclusion de l'éditorial qu'il signe en page 3 de cet Huma du mercredi 7 janvier 2009, que « Les grandes causes humaines exigent de l'humanité… C'est bien elle qu'il faut convoquer face aux crimes et aux images d'apocalypse qui le signent. »
Convoquer l'humanité face aux crimes et aux images d'apocalypse. C'est déjà bien de le dire, il ne reste plus qu'à le faire."
Non seulement cette critique n'est pas une croisade contre l'Huma, non seulement AK ne nie jamais l'horreur des crimes qui sont commis a Gaza, comme il lui est a tord reproche plus d'une fois, mais s'il prend effectivement parti, c'est pour celui d'une recherche de paix reelle, mais qui ne peut se faire que par l'action. Par notre action individuelle avant toute chose.
C'est de devoir agir qui bien sur fait peur, et qui, bien sur, fait peur surtout a ceux qui detournent le vrai message de cette chronique.
Avant de critiquer avec hauteur une demarche intellectuelle biaisee de la part de l'auteur, essayons nous tous d'etre les premiers a essayer d'avoir cette honnetete intellectuelle lorsque nous lisons puis reagissons par rapport a des articles ou chroniques.
Quand on parle de miroirs ...