ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • Sebastien Lemar 29 mai 2016 à 17:11
    Mais c'est Pasqua !

  • sgd (bientôt disponible ) 28 mai 2016 à 23:26
    Méditation sur un visage

    J’ai douloureusement médité devant vous
    Et j’ai pleuré sur vous, vieille dame étrangère,
    Qui ne pouviez savoir ma jeunesse légère
    Occupée à fixer vos traits pâles et mous.

    Je m’étonnais si fort que vous fussiez rieuse,
    Moi qui d’abord pensais que vous n’aviez plus rien
    Ayant à tout jamais perdu l’unique bien
    D’être tentante, d’être étrange et vaporeuse.

    La vie est-elle donc moins dure qu’on ne croit,
    Puisqu’elle soigne encor comme une bonne mère,
    Qu’elle sait égayer cette vieillesse amère
    Où tout semblait devoir n’être que morne et froid !

    Et pourtant avec quelle épouvante cachée
    Je regardais, songeant à la blancheur des lys
    De nos âges, la peau ravagée et tachée
    De ce masque qui fut jeune femme, jadis !

    — Moi qui veux vivre jusqu’au bout ; est-il possible
    D’imaginer qu’ainsi je pourrai rire un jour
    Lorsque je n’aurai plus ce trésor indicible :
    L’audace, la beauté, l’entrain, l’orgueil, l’amour ?...

    Lucie Delarue-Mardrus

  • Pierre38330 28 mai 2016 à 17:42
    Encoe bravo.
    Une question me turlupine cependant.
    La duchesse moche a-t-elle des chaussettes archi-moches ?
    Si ses chaussettes sont archi-moches, vont-elles sécher plus vite que les chaussettes de l'archiduchesse qui n'est pas moche ?

    Nous avons le droit de savoir !

  • tchd 28 mai 2016 à 12:47
    «Peler [les images] comme des oignons pour en trouver le cœur, la substantifique moelle », écrivent les animateurs du Crayon à propos de leurs ateliers d'éducation à l'image. On ne saurait mieux dire.




    Vous trouvez ? La métaphore de l'oignon signifie précisément l'absence de cœur: il n'y a que de la peau. Quand on a enlevé la peau, on est confronté au vide. La substantifique moelle du pelage de l'oignon est dans l'acte en lui-même.

  • Bruanne 28 mai 2016 à 12:16
    Ah ah ...., va peut-être falloir que les concepteurs de l'atelier en question changent leur corpus, non ?


    La maladie en question, ce n'est pas celle des célébrissimes frères de Temps X et la 4ème dimension ?


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.