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  • tchd 21 avril 2014 à 15:41
    Toujours pas d'élucidation de la présence incongrue des deux angelots postraphaélites ? Peut-être juste pour intriguer les bavards que nous sommes ?

  • Nicol 9 avril 2014 à 23:12
    Cher maître Korkos, ce que vous n'avez pas noté, c'est que nos chers flamands qui osent ne sont... pas forcément flamands !

    Au moins l'un d'entre eux, en tous cas, car il s'agit de Fu'ad Aït Aattou, acteur et mannequin français aperçu notamment dans Ce que le jour doit à la nuit d'Alexandre Arcady, adapté du livre de Yasmina Khadra. Je me disais bien que cette tête aperçue dans le métro me disait quelque chose, jusqu'à ce que je remette un nom dessus !

    C'est donc de la publicité mensongère : on n'a pas besoin d'aller jusqu'en Flandre pour voir ces flamands si entreprenants : on les a déjà en France !

  • Robert· 7 avril 2014 à 20:37
    Merci à Maître Korkos de mettre en évidence que les publicitaires, mêmes flamands, ne sont pas nécessairement incultes.

  • alain-b 6 avril 2014 à 12:18
    Je propose un morceau d'un des plus célèbres groupe de rock flamand, s'exprimant en angliche dEUS.

  • Jean-Michel M 6 avril 2014 à 12:15
    Roh-la-la...

    Quel tortionnaire ce Schneidermann.

    Avec internet, il doit être possible au serf Korkos d'allier retraite à Cap-Breton et nouvelles chroniques, non ?

  • zouzou32 6 avril 2014 à 09:20
    permettez moi de m'insurger, Monsieur Korkos!
    Les parkings de supermarchés de Fort-de-France n'ont rien à envier à ceux de la métropole. Le Samedi après midi, je dirais même qu'on y cuit plus qu'ailleurs !

  • Lea Andersteen 6 avril 2014 à 01:10
    Pour information, et je pense que ça mériterais d'être réfléchi, mais 90% des habitants de Bruxelles sont Francophones et Bruxelles est une région indépendante de la Flandre, n'en déplaise au Vlams Belang. Cette campagne comprend aussi une revendication flamande de s'approprier Bruxelles.

  • sgd (bientôt disponible ) 5 avril 2014 à 19:27
    Je suis Hans van Ruisbroeck et je rentre chez moi.
    Malgré mes vingt-trois berges,
    je me coiffe comme à quinze
    quand j’ai appris avec la Kierejeugd
    l’impureté.

    Je porte un pantalon flanelle flasque ton très clair,
    un blazer gris ciel de Belgique
    avec des boutons dorés et deux passe-pets
    ad liberandum l’épaisseur de mon cul ; et sur mon nez,
    l’inévitable binocle à fine monture dorée.
    Autour de moi, sur les banquettes, d’affreux postiers wallons
    parlent femmes, saucisse, visite médicale du pantalon,

    il est temps, il est grand temps,
    qu’on mette fin à tout cela.

    Je lis (c’est pénible, mais il faut, je dois)
    le Psychologische investigatie
    der pubertaire evolutie
    par Dr J.K. van der Put O.S.B.
    et Prof. Dr K.J. Kaekevoet S.J.
    Leur prose flamande est plus lourde que nos cageots de witloofs,
    mais il faut, je dois.
    Je suis dans le chapitre III :
    « De kwestie van de masturbatie »
    et j’attends avec impatience le chapitre IV :
    « Het probleem van de homosexualiteit ».
    Sans objectivation et conscientification
    de toutes ces questions,
    pas de possible libération.
    Ah qu’il fait chaud dans ce train,
    et que les faubourgs de Bruxelles sont horribles !
    Mes examens n’ont pas été trop mal.
    J’ai surtout brillé dans l’explication textuelle
    de Kerkhofblom de Guido Gezelle,
    notre plus grand poétaillon national
    qui s’il n’a pas eu son prix Nobel,
    c’est bien à cause d’une cabale
    de la francophonie européenne.

    Il est temps, il est grand temps,
    qu’on mette fin à tout cela.

    Concentrons-nous, concentrons-nous.
    Le train empesté par le bétail en navette,
    l’industrie qui dresse partout ses cheminées et ses tuyaux,
    ces lignes de maisons sans gaieté ni recherche,
    tout est si triste et ennuyeux.
    Je décroise mes jambes,
    soulage un peu mon sexe,
    pudiquement le couvre d’un pan de veste,
    et me replonge en soupirant dans ma lecture
    dont je traîne les mots et avec eux les phrases
    comme un grand filet rempli de cailloux.
    Le pays est noyé dans la brume,
    mon teint est pâle comme la cire
    et mes yeux sont gris rêve de mer.
    J’ai un petit nez qui-pleut-dedans.
    Toute ma chair est chaude et douce
    à force de tartines et de café au lait.
    Voilà le train qui s’arrête.
    Je prends mes affaires et je descends.

    William Cliff
    Né à Gembloux (Belgique). Études de lettres et de philosophie. Ses poèmes, remarqués par Queneau, furent d’abord publiés chez Gallimard.

  • philippe 93 5 avril 2014 à 19:27
    Merci Alain.

  • tchd 5 avril 2014 à 17:29
    Il faudrait leur dire pour Michel Audiard ...

  • pow wow 5 avril 2014 à 16:53
    Je me suis toujours demandé comment ça se passait au niveau du code de la route quand deux infantes genre celles de Velasquez se croisaient dans un couloir de château, et s'il fallait passer un permis pour porter des robes à la con dans ces conditions extrêmes.

  • Julot Iglésias 5 avril 2014 à 16:18
    Ce n'est qu'un avis personnel, qui peut se discuter, mais je place Johan Cruyff un cran au-dessus de Rembrandt (lequel n'a pas démérité).

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 5 avril 2014 à 14:42
    Maître Korkos pousserait-il la perversion jusqu'à nous rendre publiphiles ?

  • Ervé 5 avril 2014 à 13:42
    Une campagne de pub très convaincante.
    C'est décidé, le mois prochain je pars en vacances en Italie.


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