ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • munstead 16 février 2016 à 10:54
    Quel est le sens de cet article? Faire remarquer que le MAD organise des expositions sponsorisées? C'est non seulement bien connu mais figure probablement dans les statuts de ce musée appartenant à l'UCAD, organisme privé financé par l'industrie, mais recevant certes d'importantes subventions de l'État. Depuis l'origine, c'est même sa raison d'être, le musée collabore avec des entreprises. L'expo Barbie n'est pas la première de ce genre. Critique-t-on le fait que Barbie soit au musée. rappelons qu'il s'agit d'un musée des arts décoratifs et que les jouets entrent parfaitement dans son domaine d'action et de compétence. Pour les amateurs, lire Wölfflin, Brunn, Semper, historiens d'art qui n'étaient pas vraiment des rigolos, sur le style et les objets de la vie quotidienne. Et Barthes. Enfin, mais c'est peut-être de la naïveté, on peut aussi espérer que les familles et petites filles qui entreront pour la première fois dans ce musée pour y retrouver les poupées Barbie auront envie de faire un tour dans les autres salles…. C'est aussi une façon d'ouvrir une institution un peu rébarbative à un public plus vaste. Donc que veut dire cet article, en dehors d'une remarque sur l'origine de la poupée Barbie?

  • DéLecteurdeVraiThé 15 février 2016 à 17:25
    En lisant trop vite "C’est la première fois que Barbie® fait l’objet d’une véritable invitation dans une institution muséale française", j'ai compris "une institution nauséale française".
    En tous les cas, z'ont pas oublier les copyrights®.
    Je mets donc un copyright sur "nauséale® "

    Pour ma part, je ferais bien une exposition® sur toutes les vicissitudes® auxquelles ont été sujettes® les rares Barbie® qui ont abouti malgré nos précautions dans l'univers® de jeu de nos enfants®®®®®®. Bras perdus, cheveux agglomérés dans du fudge ou caramel, maquillage épais au marqueur, yeux effacés, têtes perdues sans intervention du bon docteur Guillotin, etc etc.

    Peut-être Alain Korkos en a déjà parlé mais à tout hasard voici Chris Jordan et ses tristes statistiques avec des poupées Barbie

  • vpl 15 février 2016 à 14:43
    Une expo Barbie - la même ? - était cet automne au (magnifique) Mudec de Milan.

    On a fait la queue pour une autre expo, queue plus courte qui drainait moins de petites filles habillées en rose, puis une fois à l'intérieur on a quand même pris le billet.
    A part les premiers modèles qui peuvent avoir un intérêt, c'était en gros un rayon jouet, dans le genre luxueux avec l'accumulation des versions limitées...
    Je m'attendais à une réflexion plus ou moins au deuxième degré sur Barbie en tant que représentation féminine... Ttss tss, c'était juste la totalité du catalogue Barbie depuis les origines.

    Assez pitoyable en effet...

  • Sebastien Lemar 15 février 2016 à 14:37
    "Un peu plus loin dans le texte, toutefois, le musée est bien forcé de reconnaître que la poupée de Mattel est «inspirée de la poupée publicitaire allemande Lili »
    Ouais.... A moins que ce ne soit cette Lili ci...

  • Bruanne 15 février 2016 à 13:28
    Ce musée est étonnant.
    J'y vais avec plaisir, mais parfois j'ai un peu l'impression d'être à Ikea.

  • Coin-coin l'Araignée 2·0 15 février 2016 à 12:48
    « Personne ne gagne rien à critiquer ; c'est fatigant et cela aigrit l'âme du juste », disait Jean Dion, célèbre journaliste sportif québécois.


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.