Les étoiles sont très différentes aujourd'hui

Alain Korkos - - De Rembrandt à Tarzan - 36 commentaires

(Ou retour sur David Bowie à travers ses pochettes de disques)

David Bowie était un musicien, un raconteur d'histoires et un fabricant d'icônes. Il faudrait examiner en détail tous ses textes, dénicher toutes les images qu'ils contiennent, passer au crible tous ses clips, toutes ses photos de concert, pourchasser ses multiples avatars : Ziggy Stardust, Aladdin Sane, Thin White Duke ou le Pierrot d'Ashes to Ashes ; il faudrait consacrer un livre à l'iconographie de Bowie. On se limitera ici à l'examen trop rapide des couvertures de ses disques en excluant les singles, les albums live et les compilations, sauf une.



Tout commence avec :

david bowie, 1967

Une photo de premier de la classe, assortie d'une typographie psychédélique dans l'air du temps, inspirée de celle des affiches de concert du Fillmore à San Francisco :


Jefferson Airplane et Grateful Dead, 1966
Jefferson Airplane et The Jay Walkers, 1966


space oddity, 1969


Le visage de Bowie qui déjà commence à se morceler par-dessus une oeuvre de Vasarely, le peintre des ronds qui donnent mal à la tête :



Cette pochette ci-dessus est en vérité une réédition de 1972, car cet album s'intitulait à l'origine David Bowie en Grande-Bretagne et Man of Words/Man of Music aux USA :



Il faut s'arrêter une s...

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