poisson 5 novembre 2015 à 23:18
Bon sang mais cette affiche a une pyramide comme l'affiche de Francofonia une pyramide luminescente avec collée une tête en trophée de part et d'autre.

Quand même leurs têtes de Janus diffèrent un peu de celles du catalogue d'affiches. C'est passé pas loin d'être réussi.

yann rogier 5 novembre 2015 à 22:24
J'ai vu le film. Et l'ai trouvé excellent. L'affiche le dessert, mais ne pas en rester là. Et j'ai vu le film sans reconnaître F. Damiens. L'avantage des festivals, c'est qu'on peut découvrir les films sans (sur)informations préalables.

LPR 3 novembre 2015 à 09:42
Personnellement, le plus gros probleme de l'affiche de "cowboys" c'est que le "catalogue de poncifs" est realise a la mord moi le noeud ...

Que des affiches ressemblent a des affiches precedentes, on peut difficilement l'eviter ( comme nous le voyons regulieremnt dans cette chronique ), mais lorsque la realisation est affreuse ca ne fonctionne vraiment plus.

Ici, outre la composition innexistante, le detourage des personnages est ni fait ni a faire. Et ce detourage mal fait saute d'autant plus aux yeux que la fond est du pure blanc.

En tout cas, merci pour la chronique ( et la gallerie d'affiches )

Salfra 2 novembre 2015 à 20:58
Je propose d'autres parallèles avec des affiches où des gusses font la gueule en se tournant un peu le dos :
- Butch Cassidy (avec Paul Newman et Robert Redford)
- Drive Hard (avec J Cusack et T Jane)
etc. on peut en trouver des brouettées, en effet...

LPR 2 novembre 2015 à 19:22
Encore une chronique emotionaliste sur la violence ...

poisson 2 novembre 2015 à 18:03
Il faudrait des affiches de cinéma neutres. Toutes de couleur vert olive et avec le nom du film écrit en petit tout en bas. Tous les films avec la même police (enfin selon les pays comme la vraie police).
Comme les paquets de cigarettes neutres.
Et des photos de soldats mutilés, d'enfants à la morgue, de pères pendus après avoir tiré sur leur femmes, leurs enfants, de crânes explosés d'avoir retournée l'arme contre soi après avoir tué des inconnus. Et écrit en gros entouré de noir LE CINE TUE...
Comme sur les paquets de cigarettes.
On continue à ignorer l'effet nocebo: les affirmations pour faire peur, les photos outrancières augmentent peut-être le nombre de cancers dus au tabac+additifs des cigarettes, mais personne ne s'en préoccupe.

Robert· 2 novembre 2015 à 17:37
Aorès le décor qui se fond dans les personnages, le personnage qui se fond dans le décor de
Liu Bolin. que vous citâtes ici.

Faab 2 novembre 2015 à 17:12
D'après cet article, Bidegain assume la référence à La Prisonnière du Désert.
Vous êtes tombé juste, dommage en effet que l'affiche soit assez nulle. Je n'avais même pas reconnu François Damiens, et on pourrait croire à une série-b étatsunienne.

Juléjim 2 novembre 2015 à 16:28
Arg ! euh... sans "h" ? ah bon... pas facile de faire "Argh !" sans "hache"... enfin sans "h" si vous préférez.

C'est quoi le sujet de la chro ? ah oui, les films de cow-boy, John Wayne, les affiches... toussa toussa...

Argh !!! j'ai rien à (re)dire, ni à (mé)dire de spécial. En fait.

;-)