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  • Ervé 12 avril 2016 à 13:44
    Un de ces prochains jours, il faudra que je me décide à mettre de l'ordre dans mon grenier.

  • caton 14 février 2014 à 17:16
    Alain..! je partage vos avis sur les "préférences" papales...!!!.
    Par contre ,votre insistance a souligner les "petites bajoues" d'écureuil d’Anne Hidalgo...me semble ...acrimonieuse ,voir déplacée !!!
    Feriez vous preuve d'autant d'insistance ...sur,la bedaine du Président,sur la maigreur attristante de NKM,sur la houppette gélifiée de Ayrault,sur la moue sirupeuse du bel Arnaud ,,sur la dégaine empruntée et les traits abruptes du petit homme a talonnettes,manager connu d'une chanteuse aphone etc....
    Anne Hidalgo comme tant d'autres...n'a plus 20 ans !!!

  • Ervé 21 janvier 2014 à 19:58
    Quelques toiles du Caravage passent dans cette surprenante animation.

  • Pierre38330 27 septembre 2013 à 12:59
    Je ne savais pas comment vous soumettre ceci. Il s'agit de la photo officielle de a poignée de de main entre Nôtre Vénéré Président et ce môssieur Rohani. A mes yeux c'est une caricature digne des plus belles années soixante.
    Je ne sais comment vous envoyer l'image. C'est à la une du Monde de ce jeudi 26 septembre.

  • Patrick Paris 23 septembre 2013 à 17:39
    Bonjour !

    Comme à son habitude, A.K. truffe ses chroniques avec beaucoup de détails pertinents : félicitations !

    Admirateur des tableaux de CARAVAGE je ne connais pas l'existence de ce Christ enfermé au Vatican ; si quelqu'un peut me diriger sur un lien montrant ce tableau, je le remercie à l'avance.
    Pat.

  • Pierrot B 23 septembre 2013 à 13:40
    Bravo Alain, bel article.

  • Mon Nombril 22 septembre 2013 à 14:11
    Je profite du sujet pour dire que récemment, je me suis retrouvé devant ce tableau que je connaissais pour l'avoir croisé dans des livres.

    Et ben, là, à 50 cm, il m'a mis KO ce tableau.

    Rappelons donc, que c'est au pied de la peinture qu'on voir l'mieux la peinture, et allez aux musées !!

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 22 septembre 2013 à 14:09
    Bizarre qu'il n'y ait pas ça sur sa play-list: http://www.youtube.com/watch?v=4EU1W_U2w2Q

  • tchd 22 septembre 2013 à 13:29
    - Et incarnatus est ( messe en Ut, Mozart )
    - Mozart interpreté par Clara Haskil
    - Beethoven par Furtwängler
    - Erbarme Dich ( passion selon saint Matthieu, Bach )
    - la Tétralogie dans l’interprétation de Furtwängler à la Scala en 1950
    - Parsifal dirigé par Knappertsbuch ( l'interprétation de 1962 que cite François est introuvable )

  • Yanne 22 septembre 2013 à 11:15
    : )

  • sgd (bientôt disponible ) 22 septembre 2013 à 10:48
    @A.Korkos : A -t-on une idée des goûts en peinture de Benoît et de Jean-Paul les prédecesseurs ? Cela pourrait donner une idée de leur rapport à la peinturlure et de leur vision du monde...?
    Je trouve très intéressant qu'il s'agisse de Chagall et du Caravage puisque l'on n'est pas ici dans les représentations allégoriques et glorieuses de Christ en majesté / de Christ dominant / et de la cohorte de saints et saintes auréolées de leur martyr et élus /... mais des représentations de Jésus dans la Cité, dans l'actuel, dans le monde "ici-bas" ...

  • petit - saconnex 22 septembre 2013 à 08:29
    merci pour cette chronique

  • Nicolas Choureau 22 septembre 2013 à 01:37
    Ma première pensée fut : "Mais qu'est-ce que j'en ai à... ?". Puis en fait non.
    La croix de Scorzelli, je vais probablement pas retenir le blaze, mais juste elle claque.
    J'achète pas le mytho, mais vous avez un bath logo, les mecs !

    Ce qui ne semble pas être l'opinion de tout le monde puisqu'en cherchant d'autres vues de l'athlète papal, je suis tombé sur l'histoire de ce malheureux Christ retiré d'une église anglicane car il faisait débander les fidèles. Article succint mais assez réjouissant :

    http://www.bbc.co.uk/blogs/ni/2009/01/church_removes_crucifix_becaus.html

  • Sylvain B. 21 septembre 2013 à 23:50
    Un homme qui admire le Caravage ne peut pas être totalement mauvais.

  • Hurluberlu 21 septembre 2013 à 23:22
    J'ai lu l'entretien du pape. Les compte-rendus des médias, qui se sont focalisés sur les phrases sur les homosexuels, l'avortement ou les divorcés remariés, sont une façon à mon sens étroite de considérer l'entretien. Car oui, il ne faut pas s'attendre à ce que le pape annonce par voie de presse les changements dogmatiques de l'église; mais le fait qu'il invite ses subordonnés à "ne pas se focaliser" sur ces questions est déjà une indication d'une volonté de réforme doctrinale. Et il ne faut pas non plus s'attendre à ce que l'Eglise devienne libertaire en matière de moeurs. Il faut à mon sens prendre cet article dans les revues jésuites (l'ordre religieux dont il vient et dont il fut un supérieur provincial pour l'Argentine-Uruguay, puisqu'il est le premier pape jésuite) pour une première manoeuvre politique/médiatique après les premiers mois de prise de contact avec cette administration particulièrement retorse qu'est la Curie Romaine: « Si, je peux peut-e?tre dire que je suis un peu ruse? (un po’furbo), que je sais manœuvrer (muoversi), mais il est vrai que je suis aussi un peu inge?nu.". De fait, il vient aujourd'hui d'annoncer quelques nominations/changements au sein de la Curie. Les premières. Comme par hasard la publication de l'entretien est concomitante. Et un collège de huit cardinaux nommé il y a quelques mois (venus du Tiers Monde essentiellement) remettront un rapport sur les réformes à faire dans l'organisation de l'Eglise au début Octobre. Et ils se rendront avec le Pape à Assise. Or un pape s'appelant François se rendant à Assise doit certainement avoir envie d'y faire quelque chose de plus qu'une simple prière: il y annoncerait la tenue d'un nouveau concile que ça ne m'étonnerait guère: Benoît XVI avait cherché à figer, et empêcher, les avancées doctrinales et organisationnelles de Vatican II, or dans l'entretien le pape montre clairement qu'il entend prolonger les enseignements de ce Concile qui fut le premier à affronter la modernité (c'est d'ailleurs le premier pape ordonné prêtre après Vatican II).

    Par exemple: Bergoglio revient sur son expérience ecclésiastique passée du provincial des Jésuites: "Au de?part, ma manie?re de gouverner comme je?suite comportait beaucoup de de?fauts. C’e?tait un temps difficile pour la Compagnie : une ge?ne?ration entie?re de je?suites avait disparu. C’est ainsi que je me suis retrouve? Provincial tre?s jeune. J’avais 36 ans : une folie (una pazzia) !" En fait, le mouvement jésuite était profondément tiraillé entre ceux qui cherchaient à intégrer les pensées de 68 au sein de l'Eglise et une hiérarchie catholique qui n'apprécie guère cette liberté intellectuelle: d'où un départ important de jésuites de la Compagnie car ils refusent l'orthodoxie et préfèrent continuer à agir et penser hors des ordres, mais aussi une effervescence intellectuelle chez une partie de ceux qui sont restés (ex: le jésuite salvadorien Rutilio Grande, assassiné), et qui donne lieu notamment à la théologie de la libération en Amérique du Sud, tolérée a minima par Paul VI avant que Jean-Paul II et Ratzinger ne la condamnent définitivement. Donc Bergoglio a vécu cette période intellectuellement riche et politiquement trouble au sein de l'Eglise (une envie de rupture intellectuelle à la base, un rappel à la tradition au sommet, et un départ important de la génération qui le précédait) depuis un poste de pouvoir, où il était chargé et d'administrer l'ordre en ébullition, et d'obéir aux injonctions de Rome, le tout dans un environnement politique troublé dans tout le continent Sud-américain. Pas étonnant qu'il considère qu'il a été un mauvais supérieur provincial, comme il le reconnaît. Et, s'il n'est certes pas un théologien de la libération, il cite dans l'interview comme influence intellectuelle Michel de Certeau, lequel avait failli se faire virer de l'ordre des jésuites justement pour sa liberté de parole et sa critique de l'Eglise, et qui fut proche intellectuellement de la théologie de la libération (mais il était philosophe, historien et même co-fondateur avec Lacan de l'école freudienne de Paris, mais non théologien).

    Bref, tout ça pour dire que quand Bergoglio dit "je n'ai jamais été de droite", quand il remet en cause une herméneutique de la tradition (celle que postulait Benoît XVI), quand il cite Michel de Certeau, ou qu'il parle de la place de la femme et dénonce le machisme, etc... ça annonce quelques chambardements doctrinaux, voire dogmatiques, assez radicaux par rapport à ses prédecesseurs. Je pense qu'il y a du Concile dans l'air, mais je risque de me tromper. En tous cas, il est clair que il y aura des réformes importantes. Et peut-être une réhabilitation de la théologie de la libération. Attendons de voir.

  • Ervé 21 septembre 2013 à 22:08
    En passant, Jésus vit un homme assis au bureau des taxes et qui s'appelait Matthieu. Il lui dit : "Suis-moi." Cet homme se leva et le suivit.

    Bah ils étaient dociles et pas bégueules les agents des impôts de l'époque !
    Tentez la même expérience aujourd'hui. Rendez vous à l'hôtel des impôts de votre ville, et demandez à être reçu par un contrôleur ou un inspecteur.
    Dès que vous entrez dans son bureau, dites lui : "Suis moi". Il y a fort à parier qu'il vous fixera avec des yeux ronds, vous demandera qui vous êtes pour le tutoyer comme ça, et qu'en définitive, il restera le cul bien vissé sur sa chaise.
    OK, je dis pas que Jésus avait pas un certain charisme que vous possédez pas forcément. Mais quand même.

  • tchd 21 septembre 2013 à 21:51
    J'ai beau relire, moi y-en a pas comprendre en quoi ses propos sont géométriquement variables. Des journalistes déforment ( ou tronquent ) ses propos: il n'en est pas responsable. Une personne qui n'est pas en recherche de Dieu ( pas de bonne volonté ) n'est pas dans son "périmètre". Par ailleurs, il exprime la position de l'Église sur l'avortement, position peu sympathique mais où est l'incohérence ?

  • alain-b 21 septembre 2013 à 21:20
    Allez, un petit bout d'un concert des mythiques Vatican Commandos et je m'en vais voir les peinturlures papales.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 21 septembre 2013 à 21:08

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • sgd (bientôt disponible ) 21 septembre 2013 à 20:22
    (...) Rome l’unique objet de mon ressentiment
    et le voilà la lanterne à la main
    le voilà qui suit son petit bonhomme de chemin
    son petit bonhomme de chemin le mène à Rome
    comme tous les autres chemins
    parfaitement
    parfaitement
    à Rome devant le Vatican
    parfaitement
    pauvre veilleur de nuit le voilà perdu en plein jour
    au beau milieu d’une ville peuplée de gens qui ne parlent
    pas la même langue que lui
    triste voyage
    soudain il voit une petite fumée qui monte dans le ciel au-dessus des maisons
    alors il crie au feu
    mais un Italien lui explique en italien que toujours
    il y a une petite fumée qui monte dans le ciel
    quand un nouveau pape est élu
    le veilleur de nuit n’y comprend rien
    il hoche la tête
    et le soir tombe sur la campagne électorale à Rome le pape est élu
    aux quatre coins cardinaux il y a des cardinaux
    qui font la gueule en coin
    ils ne seront pas pape
    tout est foutu
    c’est alors qu’au balcon
    sérieux comme un pape
    parait le pape
    entouré de ses sous-papes
    il a sur la tête la coiffure à trois cornes appelée tiare
    et il étend la main
    la foule se prosterne
    la foule cherche sa salive
    la foule trouve sa salive
    la foule crache par terre
    la foule se roule dans son crachat
    le pape fait avec sa main de pape un geste de pape
    on ferme la fenêtre
    et la foule s’en va
    s’en va par la ville en répétant
    Ça y est
    nous l’avons vu
    nous l’avons touché du regard
    un peu plus tard assis sur ses fesses dans son carrosse de nougat doré le grand taulier du Vatican fait le tour de son quartier réservé et puis il rentre au Vatican où fier lui aussi comme un pape son vieux papa l’attend
    effusions familiales
    grandes eaux lacrymales
    le père a une tête de vieux paysan
    il fume la pipe
    il est simple
    hélas hélas
    la pipe au papa du pape Pie pue (...)

    J. Prévert La crosse en l'air - Paroles par Reggiani en 2 parties 1ère et là


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