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  • emanoN 7 novembre 2016 à 19:41
    Cela dit, La Madone de Bentalha elle est peut-être pas Chrétienne, mais La Madonne ne l'était pas non plus.... Elles ont peut-être au moins ça en commun...

  • philv76 7 novembre 2016 à 12:22
    En vérité, je vous l'annonce: Alain Korkos est un cador! Amen

  • billeentete 6 novembre 2016 à 17:58
    Depuis que j'ai lu sur asi la polémique autour de l'éclaircissement ou le noircissement de la peau de cette anglaise (voir le vite-dit), je ne regarde plus les portraits de gens un peu colorés de la même manière. Ainsi, pour le portrait de l'écrivain en clair obscur que mentionne Alain Korkos, je m'interroge. Certes ça ne change rien à la qualité des personnes photographiées, mais maintenant, j'ai le doute. Pour dire ma grande naïveté, Je ne m'étais pas imaginé qu'on ait besoin de le faire. Quoi que... j'ai aussi lu que le choix de Rosa Parks s'était porté sur elle, une femme noire, mais pas trop...

  • DéLecteurdeVraiThé 6 novembre 2016 à 16:47
    Belle chronique en effet

    Les photographes se trimbalent heureusement une culture et ne sont pas des snipers de photos comme d'autres de selfies

  • sgd (bientôt disponible ) 6 novembre 2016 à 14:03
    La Mort et le Guerrier.


    « Sur un front noble et fier porte ton blanc panache,
    C’est ça, Guerrier, vite, arme-toi,
    Je suis Seigneur,—mais de la Tombe, Moi,
    Et ne crains ton épée, encor moins ta rondache !

    « Dis adieu, jeune Chef à l’objet de ta flamme,
    Dis-lui de calmer son émoi,
    Tu viens, vois-tu, demeurer avec moi,
    Son chagrin passera comme un rêve de l’âme.

    « Ta nef peut s’élancer sur la mer écumante,
    À travers champ ton palefroi,
    Ils vont tous deux, fidèles à ma loi
    Te porter vers un lieu de sommeil, et d’attente ! »…

    « Cette voix que j’entends, est-ce ta voix, ô Mort !
    Et mon heure est-elle si proche ?
    Du champ d’honneur, alors mon cœur s’approche,
    Puis à ce cri : 'Victoire !' il s’éteint sans effort.

    « Et quand je tomberai les notes du clairon
    Sonneront fanfares guerrières,
    Et sur ma tombe on verra les bannières
    Doucement s’incliner,—majestueux fleuron.

    « Bien des cœurs valeureux envieront si beau sort,
    Et quand le barde de ma tombe
    Dira. le lieu,—les yeux de ma colombe
    Verseront des pleurer ;—va, je ne te crains pas, Mort ! »

    « Tu portes, ô Guerrier le cœur hautain d’un brave…
    Je vais abattre ton orgueil !—
    Peux-tu savoir quand couvrirai ton deuil
    Si tu seras alors héros ou bien esclave ?

    « Et ne se peut-il pas qu’au camp de l’Infidèle
    Et sous les chaînes du vainqueur
    Je ne te prenne engourdi de douleur…
    Car j’ai des moyens sûrs de mater un rebelle ! »…

    « Oh ! s’il en est ainsi, malheureux est mon sort,
    La fatalité le domine ;
    Mais vois… la croix brille sur ma poitrine,
    Avec si noble signe on peut te braver, Mort !

    « J ‘embrasse de tout cœur ta cause ô Saint Tombeau !
    Sonne clairon, sonne trompette,
    De toi mon Dieu la volonté soit faite !
    Je te défie ô Mort et nargue ton niveau ! »


    Anonyme
    Beautés de la poésie anglaise
    Traduction par François Chatelain.
    Rolandi, 1860 (volume 1, pp. 28-29).

  • sgd (bientôt disponible ) 6 novembre 2016 à 13:41
    Regardez, comme je suis beau
    J’ai chassé la taupe dans les Ardennes
    pêché la sardine sur la côte belge
    Je suis un ancien combattant

    Si la Marne se jette dans la Seine
    c’est parce que j’ai gagné la Marne
    S’il y a du vin en Champagne
    c’est parce que j’y ai pissé

    J’ai jeté ma crosse en l’air
    mais les tauben m’ont craché sur la gueule
    c’est comme ça que j’ai été décoré

    Vive la république
    J’ai reçu des pattes de lapin dans le cul
    j’ai été aveuglé par des crottes de bique
    asphyxié par le fumier de mon cheval
    alors on m’a donné la croix d’honneur

    Mais maintenant je ne suis plus militaire
    les grenades me pètent au nez
    et les citrons éclatent dans ma main

    Et pourtant je suis un ancien combattant
    Pour rappeler mon ruban
    je me suis peint le nez en rouge
    et j’ai du persil dans le nez
    pour la croix de guerre

    Je suis un ancien combattant
    regardez comme je suis beau

    Hymne des anciens combattants patriotes
    Benjamin Péret

  • Larry 5 novembre 2016 à 23:34
    J'adore cette chronique, de manière générale !

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 5 novembre 2016 à 17:03
    A ma connaissance, Maître Korkos est le seul sur la toile à atteindre régulièrement une telle profondeur. Je ne sais pas comment nos laïcistes - dont je suis- supportent cette équivalence de la foi et de l'athéisme.

  • BIBI 5 novembre 2016 à 16:57
    la" Pietà de Manille"http://www.lesechos.fr/monde/asie-pacifique/0211182975883-drogue-la-maniere-forte-de-rodrigo-duterte-2019567.php

  • tchd 5 novembre 2016 à 16:26
    "la peinture occidentale doit tout à la peinture religieuse."

    Cette affirmation n'est pas très Charlie.


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