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Coin-coin l'Araignée 2·0
« Nous on a la chance d'être vivants, on est heureux. » (Professeur Choron)
Fonds : RTBF / Émission : BULLETIN D'INFORMATION / Genre : JOURNAL TELEVISE / Diffusion : 11-09-1991 / Lieux : Mons, Belgique / Intervenant(s) : Choron (Georges Bernier, Professeur) (Intervenant), Daniel Stevens (Journaliste), Françoise Palange (Présentateur) / Mots clés : affiche, politique, exposition, humour, dessin - illustration / Publié le :
22 mai 2015 -
Strumfenberg ( Aloys von )
http://www.leonor-fini.com/fr/wp-content/uploads/sites/2/2013/01/leonor-fini-peintures-huiles-1949-hst-l-ange-de-l-anatomie-53x31cm.jpg -
Ervé
Quand je pense que toutes ces filles dénudées assises sur des cercueils, vont se retrouver un jour à l'intérieur, j'ai comme un vieux coup de blues. -
grrrz
un joli hommage de Siné Hebdo
http://www.sinemensuel.com/wp-content/uploads/2014/02/sine-mensuel-28-cavanna1.jpg -
Phileas Frogg
C'est bien dommage de dénigrer ainsi de si gentils animaux. -
Pat de Saint-Rémy
Magnifique et jubilatoire, Alain Merci !
Finalement la seule erreur d'Hara Kiri aura été de situer Renoma et la rue de la Pompe dans le 13ème Arr (qui n'était pas encore Chinatown)
Autrement ils avaient tout bon, j'ai vu Cavanna dans le ciel de Saïgon tout à l'heure, il rigole encore !
PG -
tchd
Les diarrhées sont de retour ... -
tdescordes
Moi aussi, je suis vieille mais je ris toujours autant, et même plus, de revoir ces pubs ;))
Hara Kiri s'est moqué de tout, même de cette catastrophe de Los Alfaques, à côté d'un camping et qui a fait 217 morts.
Je cherche, depuis longtemps, la page de couverture de cet Hara Kiri, paru après le drame, où on voit un type maquillé en grand brulé. Il s'agit du frère de ma mère, un certain JM Debusscher et dont je n'ai plus la trace. Peut-être que vous en connaissez le numéro et que vous pourriez alors me le faire parvenir.
Un grand merci pour cette chronique et pour toutes les autres ! -
Gamma gt
Putain, tu m'as foutu le blues...
C'est si loin ! hè oui je suis vieux.
super ;-)
gamma -
patrick naze
Héritier des anciennes revues anarchistes, tel que l'Assiette au beurre ou le Crapouillot, Hara Kiri a été lu en son temps avec délice par toute une nouvelle génération de l'après-guerre, non pas parce qu'il déconnait à mort, ou qu'il n'eut aucuns tabous, – certes il faisait chier tout le monde, il conchiait la guerre, le pouvoir, le fric, la religion –, sa modernité résidait particulièrement dans cette violence transgressive qui n'avait jamais été exprimée par ses prédécesseurs.
Collectant çà et là des nouveaux talents prêts à en découdre avec les institutions, ce journal apparut en un premier temps radicale et fut un extraordinaire laboratoire de la liberté d'expression.
Politiquement positionné à la lisière des mouvements de contestation des années 60, comme le fut plus tard Actuel de jean françois Bizot, il fut durant plus de 20 ans un tantinet nihiliste, pacifiste, contre les lois scélérates, les fachos, souvent anticléricale, plus ou moins ecolo, utopiste, se contentant avant tout de se foutre de tout de belle manière. Quant bien même sa cible fut très vite de s'attaquer à une nouvelle arme, pire que la propagande des années funestes : la publicité, il n'en demeure pas moins que la gaudriole les rendit très vite hélas faussement subversif. -
pow wow
J'avoue que les romans-photo de mon blog sont sûrement dus en partie à mes lectures assidues de Hara Kiri ainsi que Fluide glacial. Aaah, il en aura probablement fait naître des vocations, ce con de professeur Choron ! -
Lucas Taïeb
Je rajouterais, aux cinq ouvrages indispensables cités, un autre qui l'est tout autant car il fait une place unique au Dessin, trop souvent éclipsé par la Photo : "La gloire de Hara-Kiri", sorti en fin d'année 2013 chez Glénat et qui, comme l'a dit dernièrement Delfeil de Ton, fut l'ultime beau cadeau que nous a laissé Cavanna. En effet, il est connu que ce dernier était parfois assez déçu que l'on n'ait retenu de l'Oeuvre hara-kirienne que les publicités trash alors que c'était un espace artistique qui a aussi et surtout révolutionné l'art graphique et la narration séquentielle, même si l'on oublie trop souvent de citer cet apport dans l'Histoire officielle de la BD adulte, préférant faire commencer ladite Histoire à Barbarella ou à L'Echo des Savanes, comme si Gébé, Willem ou Reiser n'avaient pas fait de la BD alors qu'ils en ont fait mieux que personne, pardi ! Dont acte. Hara-Kiri, c'était des traits. -
Ervé
Le premier Hara-Kiri que j'ai lu, c'est une fille qui me l'a proposé dans la rue.
Je connaissais pas, j'ai cru que c'était un journal gratuit. J'étais lycéen. Jeune et con à l'époque. Elle m'a dit que non, il faut payer, mais si tu as pas assez d'argent, pas grave, je te le reprends. Je l'ai finalement gardé et payé en me disant que je m'étais fait arnaquer.
Mais pas du tout. Après l'avoir lu, je suis tout de suite devenu moins con. Merci, Cavanna. -
Robert·
peut-être 300 (je n'ai pas la complète de 1960 à 1986 J'ai acheté mon premier numéro dans la rue ( rue Jeanne d'Arc , près de la gare à Rouen à Choron je crois) . Il y a eu des trous. Je peux la peser mais pas ce soir ! -
Robert·
Moi, j'ai la collec et, putain, j'aurai pas le temps de la relire .... -
petit - saconnex
très remarquable article .Merci -
Tony A
Un superbe hommage à un grand Monsieur. -
Fan de canard
La chronique la plus rock 'n' roll du site, merci Alain.
"CHÔMEURS ! ce n'est pas avec cette tête-là que vous trouverez du boulot ! RASEZ-VOUS ! " -
Sémir
Mazel Tov !
SEMIR -
alain-b
Génial, merci Alain !