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  • Jean-David 15 novembre 2011 à 06:23
    l'affiche réalisée par Michel Bouvet pour le spectacle d'Aimé Césaire "la Tragédie du Roi Christophe" cadre bien dans votre sélection...

    http://bdw-img.s-dzp.com/articles/18/images/La-Tragedie-du-roi-Christophe-1996-Michel-Bouvet

  • thierry paul 14 novembre 2011 à 23:00
    Dans six mois, ce sera la nuque de Sarko...Pour des raisons différentes que les motifs de la démission mais encore une fois, force est de constater dans l'actualité que l'entente franco-allemande relève de la mascarade. Angela Merkel en a marre de donner le biberon au p'tit....

  • mamie mon kiki 14 novembre 2011 à 20:40
    T'cheu, je reste pantoi, c'est grand!

    Deux par deux si dit en espagnol "de dos en dos", c'est aussi le titre d'un livre de Nivel basico e intermedio "de dos en dos". Ce bouquin est un essais sur "l'Exercices interactifs de production orale" édité à la Maison des Langues dont voici la couverture:

    http://www.decitre.fr/livres/De-dos-en-dos-Nivel-basico-e-intermedio.aspx/9788484431374

    interessant! ceci n'est toujours pas une...et encore moins une performance capture...de dos!

    T'chÔ.

  • Malagom 14 novembre 2011 à 16:48
    Voté pour Utamaro. Merci pour l'image de la femme qui se poudre le cou, quelle merveille !

  • Al Ceste 14 novembre 2011 à 13:21
    Et si Libé n'avait focalisé sur cette nuque tout simplement que pour, en plus de signer un départ; signifier que Berlu n'avait plus de figure (de l'expression, l'a pas de figure, lui, pour stigmatiser un type au culot everestien)

    Et bien nous montrer ses faux cheveux de faux jeune ?

    (Vous auriez pu aussi nous montrer la nuque de Myriam-j'enlève-le-haut ? Oui, bon, personne ne l'aurait regardée là...)

  • Compunet 14 novembre 2011 à 06:55
    pas glop sa nuque !!
    ....le cavaliere doit manu mlitari envoyer ses consiglieri faire la peau (sans doute déjà bien étirée) de son [s]chir[/s] NipTucker personnel pour ce massacre pfff cette petite béance capillaire au niveau de la nuque et toussa pour ramener quelques implants recolorés à l'avant...humpfff...pas glop !....

  • poisson 13 novembre 2011 à 22:38
    Berlusconi's back.
    Berlusconi is back.

    Tellement d'encre sur la couverture qu'on pourrait imprimer un journal entier avec.
    J'ai hâte que libé arrête ses unes d'hebdo.

  • Gavroche 13 novembre 2011 à 21:17
    Rien à voir, mais j'avais envie de le partager ici, je viens de regarder un doc sur l'église du Raincy, sur Arte. Passionnant.

    Et l'architecte, Auguste Perret,, surnommé le "maître du béton armé", a construit une merveille... Et c'était un fils de communard. Qui a donc construit une église hors du commun pour un curé désargenté.

  • Alain CARDUNER 13 novembre 2011 à 19:34
    "Quand un personnage est de dos, tu vois ce qu'il voit. Il a probablement la même sensation que moi, je suis dans sa peau. Et je subodore qu'il n'a pas la même pensée que moi sur ce qu'il voit"
    Cardon dans la préface de sa BD "Vu de dos"

  • charlie.lapared 13 novembre 2011 à 10:42
    Quelquefois, les nuques sont beaucoup plus "parlantes" que les visages...
    J'aimais mater les nuques des hommes dans les transports en commun parisiens... et imaginer ce qu'elles suggéraient (un peu à la nippone) !
    Souvent c'était bien mieux que la réalité ;o))...

  • sgd (bientôt disponible ) 13 novembre 2011 à 01:02
    Ils étaient quatre qui n'avaient plus de tête,
    Quatre à qui l'on avait coupé le cou,
    On les appelait les quatre sans cou.

    Quand ils buvaient un verre,
    Au café de la place ou du boulevard,
    Les garçons n'oubliaient pas d'apporter des entonnoirs.

    Quand ils mangeaient, c'était sanglant,
    Et tous quatre chantant et sanglotant,
    Quand ils aimaient, c'était du sang.

    Quand ils couraient, c'était du vent,
    Quand ils pleuraient, c'était vivant,
    Quand ils dormaient, c'était sans regret.

    Quand ils travaillaient, c'était méchant,
    Quand ils rôdaient, c'était effrayant,
    Quand ils jouaient, c'était différent,

    Quand ils jouaient, c'était comme tout le monde,
    Comme vous et moi, vous et nous et tous les autres,
    Quand ils jouaient, c'était étonnant.

    Mais quand ils parlaient c'était d'amour.
    Ils auraient pour un baiser
    Donné ce qui leur restait de sang.

    Leurs mains avaient des lignes sans nombre
    Qui se perdaient parmi les ombres
    Comme des rails dans la forêt.

    Quand ils s'asseyaient, c'était plus majestueux que des rois
    Et les idoles se cachaient derrière leurs croix
    Quand devant elles ils passaient droits.

    On leur avait rapporté leur tête
    Plus de vingt fois, plus de cent fois,
    Les ayant retrouvés à la chasse ou dans les fêtes

    Mais jamais ils ne voulurent reprendre
    Ces têtes où brillaient leurs yeux,
    Où les souvenirs dormaient dans leur cervelle.

    Cela ne faisait peut-être pas l'affaire
    Des chapeliers et des dentistes.
    La gaieté des uns rend les autres tristes.

    Les quatre sans cou vivent encore, c'est certain.
    J'en connais au moins un
    Et peut-être aussi les trois autres.

    Le premier, c'est Anatole,
    Le second, c'est Croquignole,
    Le troisième, c'est Barbemolle,
    Le quatrième, c'est encore Anatole.

    Je les vois de moins en moins,
    Car c'est déprimant, à la fin,
    La fréquentation des gens trop malins.

    Robert DESNOS 1934

  • Gavroche 12 novembre 2011 à 22:44
    Et pis sinon, Berlusconi, et le mètre et talonnettes, ils me font penser à la valse des pantins...

    Un de perdu, hop, remplacé par un autre...

    Droite, gauche, y-at-il une différence, hein ?

  • bysonne 12 novembre 2011 à 22:42
    J'adore toutes ces descentes de nuque (d'eunuques) ;-))

  • Oblivion 12 novembre 2011 à 22:34
    Oh ! ben ! je viens de découvrir que la pochette de l'album de Gary Numan est inspirée du Principe de plaisir de Magritte !
    Vous voyez qu'on clique sur les liens !

  • Super Annie 12 novembre 2011 à 20:24
    jolie nuque qu'on aurait bien envie de trancher
    c'est vrai que parler de surréalisme avec ce vieux beau qui se fait des teintures à la Jean Lefebvre tout en se tapant des dames de petite vertu c'est très opportunn

  • alain-b 12 novembre 2011 à 20:01
    Six minutes de poésie, de musique et de nuque, je suis membre.
    Et quitte à faire de la pub, je mets son dernier clip réalisé par Papillon Paravel..

  • caius lapsus 12 novembre 2011 à 19:33
    Berlu c est tout un poeme.Et son copain , le louis de Funes de la République, il n est pas mal non plus. Du fouquets en passant par le yacht de bolloré , pour finir par le G20 pour sauver le monde ,et j en passe, une fumisterie de plus.La paille et la poutre.

  • Salfra 12 novembre 2011 à 19:16
    Moi, pour Berlusconi, ça m'inspire que vous lui avez percé la nuque, au sonar (oui, contrepèterie)

  • Gavroche 12 novembre 2011 à 19:06
    Outch... Quelle chronique... Pleine de poésie.
    Elle m'a fait penser à plein d'autres images ...

    Parce que tourner le dos, c'est aller ailleurs, j'ai pensé à celle-là, évidemment...

    Parce que ça peut être aussi une volonté de se cacher, par peur du regard des autres, j'ai pensé à celle-là...

    Elle est extraite du seul film produit par Samuel Beckett, et qui s'appelle ... film.... Ce film date de 1965, et c'est aussi le dernier rôle de Buster Keaton.

    J'ai aussi pensé à Miles Davis, qui au début de sa carrière, tournait le dos à son public blanc. Je n'ai pas trouvé d'image, hélas.

    Bref, merci à vous de nous ouvrir les yeux et l'esprit...

  • Mon Nombril 12 novembre 2011 à 17:12
    Et moi, qui suis plutôt Terrot-san, je repense à cette autre nuque., celle de la condition de la femme.


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