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  • PONTEUXIN 11 avril 2016 à 19:29
    Ah! Le caporal ordinaire! Le gris qu'on prend entre ses doigts et qu'on roule...

  • Yanne 10 avril 2016 à 22:50
    Est-ce qu'on ne se pose pas la question dès le départ s'il s'agit d'une femme ?

    En tout cas, je trouve cette pub admirablement faite pour une cigarette électronique.
    Le côté "civilisé", maîtrise de la nature sauvage, et donc de ses instincts, à travers ce troupeau au milieu de grands espaces sans limites, avec cette symbolique phallique.
    Par opposition à ces cigarettes "sauvages" qui sont dangereuses pour les poumons et provoquent de l'accoutumance.
    Tout en utilisant les codes de ces mêmes cigarettes.

    Et bravo pour les points bleus. Superbe.

  • sgd (bientôt disponible ) 9 avril 2016 à 20:30
    la cigarette

    Aujourd’hui le temps est épouvantable :
    Il pleut et mon coeur s’embête à pleurer.
    J’ai pris, d’un paquet traînant sur ma table,
    Une cigarette au fin bout doré ;
    Et j’ai cru te voir en toilette claire
    Avec tous tes ors passés à tes doigts,
    Traînant par la vie, élégante et fière
    Sous les yeux charmés du monde et de moi.

    Ah ! la bonne cigarette
    Que j’ai fumée…
    Pourtant mon coeur la regrette,
    O bien-aimée !
    Ah ! la bonne cigarette
    Que j’ai fumée…
    Pourtant mon coeur la regrette,
    O bien-aimée !

    J’ai pris une braise au milieu des cendres
    Et je me suis mis alors à fumer
    En m’entortillant dans les bleus méandres
    De ma cigarette au goût parfumé ;
    Et j’ai cru sentir passer sur mes lèvres
    Un baiser pareil aux baisers brûlants
    De ta bouche en feu, par les nuits de fièvres
    Où je m’entortille entre tes bras blancs.

    J’ai jeté ce soir parmi la chaussée
    Cigarette morte au feu du tantôt ;
    Un petit voyou qui l’a ramassée
    Part en resuçant son maigre mégot ;
    Et, devant cela, maintenant je pense
    Que ton corps n’est pas à moi tout entier,
    Que ta chair connaît d’autres jouissances
    Et que je te prends comme un mégottier.

    Gaston Couté

  • Robert· 9 avril 2016 à 16:44
    "cibiche à vapeur."
    Et la cibiche à voile alors ?

  • Juléjim 9 avril 2016 à 15:50
    Raaah !!! ouf... Encore heureux qu'ils n'aient pas touché au chédeuvre du grand Miles !

    ... pas encore touché du moins... mais chutttttttttttttttttt !

    J&J fan de blues

  • Ervé 9 avril 2016 à 13:51
    J'commençais à trouver l'Ouest terne,
    Tu l'fais briller comme une lanterne...

    Bleue.
    Il fumait beaucoup, Nougaro.
    Comme le cow-boy de Marlboro.


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