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  • Coin-coin l'Araignée 2·0 19 septembre 2017 à 18:49
    Les droits d'auteur du selfie vont-il revenir à Naruto (le macaque) ou à David Slater (le photographe qui lui avait prêté un appareil) ? La presse est unanimement partagée ces derniers jours :
    - « Le macaque Naruto touchera finalement des droits d'auteur sur son selfie », titre L'Express ;
    - « Les droits du "selfie de singe" reviennent au photographe », titre Le Figaro ;
    - « Affaire du selfie de singe, suite et fin : les droits d'auteur seront partagés », titre Le Monde (75 % pour le photographe qui reversera les 25 % restant au singe).

    Mais il faut lire Numerama pour comprendre qu'en fait les selfie de singe restent dans le domaine public, et que donc Naruto et David Slater vont se partager des pourcent de rien du tout :

    « On ne connaîtra pas le mot de la fin, sur le terrain juridique, de l'affaire du singe ayant fait un autoportrait avec un appareil photo. Alors que l'affaire devait aller en cour d'appel, un accord à l'amiable a été trouvé. [...]
    [...]
    25 %
    [...]
    Cette conclusion a quand même de quoi étonner, dans la mesure où les deux parties concernées ne sont techniquement pas en mesure de prétendre avoir des droits sur la photo ».

    20 minutes, un site d'actualité gratuit, semble être aussi les seuls avoir compris (mais peut-être qu'ils ont traduit en français un article venu d'ailleurs).

  • freT 2 septembre 2014 à 15:48
    Sans rapport aucun.

    Très bien votre vite-dit "cartables roses et bleus à Puteaux" !

  • joelle lanteri 31 août 2014 à 11:44
    savoir qu'on peut encore faire la pige aux américains m'enchante

  • Germain RITAL 31 août 2014 à 10:19
    Révélation. "Le chevalet" (retourné) de Rembrandt (1629) évoque on ne peut plus fortement ce qui m'apparaît maintenant comme le plus important dans "Les Ménines" de Vélasquez (1656). Non point une influence du premier sur le second, mais l'origine des deux, et sans doute de la peinture en son essence: à savoir la méditation du regard qui a précédé chaque coup de pinceau comme sa condition de possibilité. Plus généralement encore, ainsi qu'un peintre l'a dit, étant donné que "L'art ne reproduit pas le visible, mais rend visible" (Klee), les deux tableaux - celui de Rembrandt et celui de Vélasquez - nous font voir ainsi d'où provient et en quoi consiste le pouvoir de l'art, lequel s'éprouve solidairement, réciproquement, chez le "créateur" et chez l' "amateur". Autre mot de peintre que je ne puis hélas pour l'heure "citer" que de mémoire et "en substance": je ne peins pas sur la toile, mais sur l'oeil du spectateur (Matisse).

  • asinus erectus 31 août 2014 à 10:15
    Dans les usines aussi, les machines ont remplacé les ouvriers.
    Cette chronique ne risque-t-elle pas de donner de drôles d'idées au capitaine ?

  • Ervé 31 août 2014 à 10:10
    Le schéma du premier dénoyauteur de cerises imaginé par Leonardo.
    Me demandez pas comment ça fonctionne, tous ces rouages, ces bielles, ces manivelles... ah il aimait en rajouter le Léonard, mais c'est sûr que c'en est un et pas réservé qu'aux cerises, puisqu'on peut lire en bas à gauche, parmi les gribouillis: denocciolatore tutti frutti.
    Ce qu'on peut dire, c'est qu'Aristide de Gondrecourt a plutôt bien fait de le simplifier, parce que je me vois mal poser cet engin sur le plan de travail de ma cuisine, quand je prépare un clafoutis.

  • JC2 31 août 2014 à 03:06
    Rien à voir avec la [s]choucroute[/s] chronique (excellente par ailleurs), mais pour revenir sur le vite-dit Yes, we tan. Se trouverait il un ou une @SInaute charitable pour expliquer en des termes pas trop compliqués à un type qui, comme moi, est totalement inapte en matière de mode ou même de goût vestimentaire, en quoi le costume d'Obama est shocking? Non pas que ce soit particulièrement intéressant mais comme ça je me dis que je mourrai moins bête.
    D'avance merci

  • sgd (bientôt disponible ) 30 août 2014 à 22:53
    Et le singe devint con

    Par un point
    Tsoin, tsoin
    Pris hors d'une droite
    Moite, moite,
    On peut
    Poil aux yeux
    Faire passer une
    Blonde ou brune
    Parallèle
    Belle belle
    Et on ne peut
    Repoil aux yeux
    En faire passer
    C'est forcé
    Qu'une
    Voilà.
    C'est mon postulat à moi.
    Tra la la.

    François Cavanna

  • sgd (bientôt disponible ) 30 août 2014 à 22:51
    Par un point situé sur un plan
    On ne peut faire passer qu’une perpendiculaire à ce plan.
    On dit ça…
    Mais par tous les points de mon plan à moi
    On peut faire passer tous les hommes, tous les animaux de la terre.
    Alors votre perpendiculaire me fait rire.
    Et pas seulement les hommes et les bêtes
    Mais encore beaucoup de choses
    Des cailloux
    Des fleurs
    Des nuages
    Mon père et ma mère
    Un bateau à voiles
    Un tuyau de poêle
    Et si cela me plaît
    Quatre cents millions de perpendiculaires.

    Robert Desnos

  • Oblivion 30 août 2014 à 20:39
    Ma machine à découvrir les bonnes chroniques réagit assez bien, là.

  • Robert· 30 août 2014 à 20:29
    Vous avez manqué le point commun entre tous les tableaux de votre chronique : aucun d'entre eux n'est construit en utilisant le nombre d'or!

  • philippe 93 30 août 2014 à 20:07
    Brillante démonstration.

  • poisson 30 août 2014 à 19:53
    Si on s'était douté..., ils auraient pu y penser avant à cette histoire d'influence.
    On aurait pu créer les droits d'auteur idoines.
    On aurait déposé "fenêtre vue de l'intérieur", "fenêtre vue de l'extérieur", "arbre", "coucher de soleil", etc.
    À la société des peinteurs compositionneurs, serait dévolue la charge de répartir les sous.Comme en musique.

  • Julot Iglésias 30 août 2014 à 19:31
    Pythagore crée le carré de l'hypoténuse, Léonard de Vinci conçoit le parachute, Denis Papin met au point l'autocuiseur à roulettes, le général Aristide de Gondrecourt fabrique le premier dénoyauteur de cerises

    Parmi les inventeurs qui ont modifié le destin de l'humanité, il ne faut jamais oublier de citer le génial Jérémie Victor Opdebec qui, selon Francis Blanche, inventa la pince à linge, ainsi que la machine à épépiner les groseilles et la muselière à fourmis.

  • tchd 30 août 2014 à 19:08
    Les chercheurs partent d'un principe erroné. Ils écrivent : "An artist cannot influence another artist in the past."

    Borges a démontré, en étudiant Kafka, que chaque artiste crée ses propres précurseurs.

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 30 août 2014 à 18:25
    La science se rit de ceux qui se gaussent d'elle.


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